Tripoli, Libye - Le guide Mouammar Kadhafi a déclaré mercredi soir à Tripoli qu'il réclamerait aux Nations unies un siège permanent pour l'Afrique avec le droit de veto en compensation du passé, qu'il y ait ou pas une réforme de l'ONU.
Dans un discours prononcé devant le deuxième forum des rois, sultans, princes, cheikhs et maires d'Afrique, il s'est demandé comment il se faitqu'on accepte que tous les continents disposent d'un siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU avec un droit de veto à l'exception du continent africain qui représente le quart des pays membres de l'organisation.
Le leader Kadhafi a souligné la nécessité pour l'Afrique de retrouver sa place au sein du Conseil de sécurité, estimant que cela est un droit légitime.
Il a précisé que ce siège permanent doit revenir à l'UA et peut être occupé alternativement par les pays africains.
Par ailleurs, le guide Kadhafi a soutenu que le continent africain mérite d'être dédommagé à hauteur de 777 trillions de dollars américains pour l'esclavage, les massacres et le pillage de ses richesses, affirmant qu'il posera cette requête au monde par le biais les Nations unies.
Tripoli - 09/09/2009
Dans un discours prononcé devant le deuxième forum des rois, sultans, princes, cheikhs et maires d'Afrique, il s'est demandé comment il se faitqu'on accepte que tous les continents disposent d'un siège permanent au Conseil de sécurité de l'ONU avec un droit de veto à l'exception du continent africain qui représente le quart des pays membres de l'organisation.
Le leader Kadhafi a souligné la nécessité pour l'Afrique de retrouver sa place au sein du Conseil de sécurité, estimant que cela est un droit légitime.
Il a précisé que ce siège permanent doit revenir à l'UA et peut être occupé alternativement par les pays africains.
Par ailleurs, le guide Kadhafi a soutenu que le continent africain mérite d'être dédommagé à hauteur de 777 trillions de dollars américains pour l'esclavage, les massacres et le pillage de ses richesses, affirmant qu'il posera cette requête au monde par le biais les Nations unies.
Tripoli - 09/09/2009
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