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(AFP - 10/09/2009)
La police militaire turque a annoncé jeudi avoir investi une villa cossue d'Istanbul et libéré neuf femmes persuadées qu'elles participaient à une émission de téléréalité.
La police a précisé que le raid avait eu lieu lundi dans une villa de Riva, une station balnéaire située dans les faubourgs d'Istanbul où les neuf femmes étaient captives depuis deux mois.
Selon les médias turcs dont l'agence privée Dogan, leurs gardiens ont fait croire aux neuf femmes, dont une adolescente de 15 ans, qu'elles étaient filmées pour une émission du type "Big Brother". En réalité, les ravisseurs revendaient sur Internet les images de ces femmes en tenue légère, rapportent les médias sans citer de source.
La police s'est portée au secours de ces neuf femmes quand des membres de leurs familles se sont vus interdire tout contact avec elles.
Selon les premiers éléments, les neuf femmes, originaires de la station balnéaire d'Antalya en Méditerranée et du port d'Izmir en mer Egée, avaient répondu à une petite annonce recherchant des candidats pour une émission de téléréalité qui serait diffusée sur une grande chaîne turque.
Une fois sélectionnées, elles devaient signer un contrat par lequel elles s'engageaient à n'avoir aucun contact avec le monde extérieur ou leurs familles sous peine d'une amende de 50.000 livres turques (23.000 euros) si elles s'avisaient de quitter l'émission avant deux mois.
Selon l'agence Dogan et le quotidien "HaberTurk", les femmes se sont vite rendues compte de la supercherie et ont demandé à quitter la villa. Elles ont alors été menacées par leurs gardiens.
On ignore encore dans quelles circonstances exactes la police a été alertée et a pu les libérer.
Selon "HaberTurk", les jeunes femmes n'ont pas été abusées ou harcelées sexuellement. Toutefois, ajoute le quotidien, leurs ravisseurs leur ont demandé de se battre entre elles, de porter des bikinis ou encore de danser dans la piscine de la villa.
La police a interpellé quatre personnes qui vivaient en permanence avec les neuf femmes. Ces personnes dont l'identité n'a pas été divulguée ont été remises en liberté en attendant leur procès.
La police militaire turque a annoncé jeudi avoir investi une villa cossue d'Istanbul et libéré neuf femmes persuadées qu'elles participaient à une émission de téléréalité.
La police a précisé que le raid avait eu lieu lundi dans une villa de Riva, une station balnéaire située dans les faubourgs d'Istanbul où les neuf femmes étaient captives depuis deux mois.
Selon les médias turcs dont l'agence privée Dogan, leurs gardiens ont fait croire aux neuf femmes, dont une adolescente de 15 ans, qu'elles étaient filmées pour une émission du type "Big Brother". En réalité, les ravisseurs revendaient sur Internet les images de ces femmes en tenue légère, rapportent les médias sans citer de source.
La police s'est portée au secours de ces neuf femmes quand des membres de leurs familles se sont vus interdire tout contact avec elles.
Selon les premiers éléments, les neuf femmes, originaires de la station balnéaire d'Antalya en Méditerranée et du port d'Izmir en mer Egée, avaient répondu à une petite annonce recherchant des candidats pour une émission de téléréalité qui serait diffusée sur une grande chaîne turque.
Une fois sélectionnées, elles devaient signer un contrat par lequel elles s'engageaient à n'avoir aucun contact avec le monde extérieur ou leurs familles sous peine d'une amende de 50.000 livres turques (23.000 euros) si elles s'avisaient de quitter l'émission avant deux mois.
Selon l'agence Dogan et le quotidien "HaberTurk", les femmes se sont vite rendues compte de la supercherie et ont demandé à quitter la villa. Elles ont alors été menacées par leurs gardiens.
On ignore encore dans quelles circonstances exactes la police a été alertée et a pu les libérer.
Selon "HaberTurk", les jeunes femmes n'ont pas été abusées ou harcelées sexuellement. Toutefois, ajoute le quotidien, leurs ravisseurs leur ont demandé de se battre entre elles, de porter des bikinis ou encore de danser dans la piscine de la villa.
La police a interpellé quatre personnes qui vivaient en permanence avec les neuf femmes. Ces personnes dont l'identité n'a pas été divulguée ont été remises en liberté en attendant leur procès.
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