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Le Forum économique mondial, mardi, a publié son rapport sur la compétitivité mondiale 2009-2010, qui montre que les Émirats arabes unis ont considérablement amélioré leur position compétitive, en progressant de huit places.
Cette progression de huit places reflète une évaluation plus favorable des institutions, une mise à niveau technologique et une capacité d’innovation. En outre, ses marchés financiers résistent mieux à la crise financière que de nombreux autres pays, d’après un communiqué de presse.
Plusieurs pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord se classent dans la moitié supérieure avec, dans les premières positions, le Qatar, les Émirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, le Koweït et la Tunisie, avec un amélioration remarquable pour les États du Golfe, qui continuent leur tendance ascensionnelle de ces dernières années.
Le Qatar progresse de quatre places. Les Émirats arabes unis (E.A.U.) se hissent à la 23e position, principalement grâce à une évaluation plus favorable des institutions, à une mise à niveau technologique et à leur capacité d’innovation. Les marchés financiers des E.A.U. montrent une meilleure résistance à la crise financière que de nombreux autres pays.
« La forte interdépendance des économies mondiales rend cette crise économique vraiment mondiale, dans tous les sens du terme. Actuellement, les décisionnaires cherchent désespérément des façons de faire face à ces nouveaux défis économiques, tout en préparant leur économie à bien se comporter dans un paysage économique futur caractérisé par une incertitude croissante.
Dans cet environnement économique mondial difficile, il est plus important que jamais que les pays mettent en place des principes fondamentaux forts pour orienter la croissance et le développement économiques » explique Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.
Ce classement du rapport sur la compétitivité mondiale s’appuie sur l’indice de compétitivité mondiale (GCI).
Le GCI est basé sur 12 piliers de compétitivité, qui proposent une image complète du paysage compétitif dans les pays du monde, quel que soit leur niveau de développement.
Ces piliers sont les institutions, les infrastructures, la stabilité macroéconomique, la santé et l’éducation primaire, l’enseignement supérieur et la formation professionnelle, l’efficacité du marché des marchandises, l’efficacité du marché du travail, le niveau d’évolution du marché financier, le niveau technologique, la taille du marché, le niveau d’évolution commerciale et l’innovation.
Emirates News Agency
Cette progression de huit places reflète une évaluation plus favorable des institutions, une mise à niveau technologique et une capacité d’innovation. En outre, ses marchés financiers résistent mieux à la crise financière que de nombreux autres pays, d’après un communiqué de presse.
Plusieurs pays du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord se classent dans la moitié supérieure avec, dans les premières positions, le Qatar, les Émirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, le Koweït et la Tunisie, avec un amélioration remarquable pour les États du Golfe, qui continuent leur tendance ascensionnelle de ces dernières années.
Le Qatar progresse de quatre places. Les Émirats arabes unis (E.A.U.) se hissent à la 23e position, principalement grâce à une évaluation plus favorable des institutions, à une mise à niveau technologique et à leur capacité d’innovation. Les marchés financiers des E.A.U. montrent une meilleure résistance à la crise financière que de nombreux autres pays.
« La forte interdépendance des économies mondiales rend cette crise économique vraiment mondiale, dans tous les sens du terme. Actuellement, les décisionnaires cherchent désespérément des façons de faire face à ces nouveaux défis économiques, tout en préparant leur économie à bien se comporter dans un paysage économique futur caractérisé par une incertitude croissante.
Dans cet environnement économique mondial difficile, il est plus important que jamais que les pays mettent en place des principes fondamentaux forts pour orienter la croissance et le développement économiques » explique Klaus Schwab, fondateur et président exécutif du Forum économique mondial.
Ce classement du rapport sur la compétitivité mondiale s’appuie sur l’indice de compétitivité mondiale (GCI).
Le GCI est basé sur 12 piliers de compétitivité, qui proposent une image complète du paysage compétitif dans les pays du monde, quel que soit leur niveau de développement.
Ces piliers sont les institutions, les infrastructures, la stabilité macroéconomique, la santé et l’éducation primaire, l’enseignement supérieur et la formation professionnelle, l’efficacité du marché des marchandises, l’efficacité du marché du travail, le niveau d’évolution du marché financier, le niveau technologique, la taille du marché, le niveau d’évolution commerciale et l’innovation.
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