Une étude réalisée par le célèbre tabloïd anglais The Economist classe la ville d’Alger au 138e rang sur les 140 métropoles étudiées. Elle partage sa position avec Dacca la capitale du Bengladesh. L’étude rendue publique hier s’est basée sur 30 indices concernant notamment les conditions de vie. D’après le classement de The Economist, la vie à Alger n’est « pas motivante ». D’ailleurs, sa position au bas du classement reste inchangée par rapport à l’année dernière 2008. Parmi ces critères figurent non seulement les conditions de base de la vie quotidienne mais aussi la stabilité politique, la prise en charge médicale, la culture, l’environnement, l’éducation et les infrastructures. Les villes ayant fait l’objet de cette étude ont été classées sur une grille de notation de 1 à 100. Alger a été surclassée par des villes connues pour être « invivables » comme Karachi au Pakistan qui est parvenue à se classer à la 135e position, suivie par Lagos, la capitale du Nigeria, et la ville ivoirienne Abidjan.
Téhéran, quant à elle, occupe 129e position. A signaler enfin que la ville canadienne de Vancouver s’est adjugée la première place suivie par Vienne, l’autrichienne. Les Six villes canadiennes et australiennes se sont partagées les dix premières places.D’après l’hebdomadaire britannique The Economist
Téhéran, quant à elle, occupe 129e position. A signaler enfin que la ville canadienne de Vancouver s’est adjugée la première place suivie par Vienne, l’autrichienne. Les Six villes canadiennes et australiennes se sont partagées les dix premières places.D’après l’hebdomadaire britannique The Economist
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