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LE 11 SEPTEMBRE 2001 entre la realite et la fiction

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  • LE 11 SEPTEMBRE 2001 entre la realite et la fiction

    «Le meilleur moyen de contrôler une révolution, c’est de la faire soi-même.» Machiavel
    Le mardi 11 septembre 2001, quatre avions de ligne sont détournés par 19 pirates de l’air. Trois d’entre eux sont projetés contre des immeubles hautement symboliques: les tours jumelles du World Trade Center à Manhattan, New York, et le Pentagone, siège du département de la Défense des États-Unis, à Washington. Les tours s’effondrent moins de deux heures plus tard entraînant l’immeuble du Marriott World Trade Center dans leur chute. Le quatrième avion s’écrase en rase campagne à Shanksville, en Pennsylvanie. Le XXIe siècle débute ainsi, par cette attaque terroriste d’une ampleur inédite. En quelques heures, la face du monde a changé. La croisade américaine contre le terrorisme et les pays de l’Axe du mal débute. En 2004, la responsabilité d’Al Qaîda est établie par Washington. Fin 2001, Oussama ben Laden, le dirigeant du réseau terroriste, s’était félicité de ces attaques. Voilà pour la version officielle aux Etats-Unis et dans les gouvernements des pays occidentaux.
    Huit ans que la vérité sur le 11 septembre tarde à émerger. Depuis 2001, beaucoup de choses se sont passées avec: nous pouvons citer sans être exhaustifs. Nous pouvons constater un certain frémissement médiatique depuis quelques mois sur cette question du 11 septembre 2001...En France Le 25 mars dernier, l’eurodéputé et journaliste Giulietto Chiesa fut invité par la télévision bordelaise TV7 pour présenter son film documentaire Zéro, Enquête sur le 11 Septembre. Plébiscité par les médias italiens et sélectionné pour le Festival du cinéma de Rome en 2007, Zéro, Enquête sur le 11 Septembre est une rigoureuse enquête journalistique qui met en exergue les innombrables incohérences et inexactitudes de la version officielle des attentats du 11 Septembre. Deux semaines plus tard, le 6 avril 2009, le scientifique Niels Harrit fut l’invité du JT de TV2, l’une des deux chaînes danoises les plus respectées, suite à la récente publication dans la revue scientifique Open Chemical Physics Journal d’une étude internationale démontrant la présence d’explosifs de type nano-thermite dans les décombres du WTC. Le vent serait-il en train de tourner? Toujours est-il que les langues commencent à se délier aux Etats-Unis.(1)
    Un mois plus tôt, en mars 2009, ce fut le sénateur et membre de la commission d’enquête Bob Kerrey qui, dans un article paru dans le très respectable Newsweek, affirma qu’il y a désormais de «bonnes raisons de suspecter que nous nous sommes trompés sur certains aspects du complot du 11/9 et sur Al Qaîda». Kerrey ajouta qu’il faudrait une «commission permanente pour résoudre tous les mystères du 11/9». Même Thomas Keane et Lee Hamilton, respectivement président et vice-président de la Commission d’enquête du 11/9, ont pris leurs distances par rapport au rapport officiel en révélant dans leur livre Without Precedent: The Inside Story of the 9/11 Commission paru en 2006 que l’enquête «était vouée à l’échec» et qu’on leur avait menti.(2)

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    عيناك نهر من جنون... عيناك أرض لا تخون

  • #2
    autre version

    L’autre version
    Les tours jumelles du World Trade Center de New York se sont effondrées suite à des explosions, et non pas en raison de l’incendie qui s’est déclenché après que les avions détournés par les terroristes se sont écrasés sur le bâtiment, selon un groupe d’experts. «L’affaissement des tours jumelles possède toutes les caractéristiques d’un effondrement dû à une explosion, et rien ne laisse penser qu’il ait été provoqué par un incendie», ont affirmé les experts du groupe «Architectes et ingénieurs pour la vérité sur les attentats du 11 septembre». Auparavant, l’enquête avait conclu que l’incendie avait provoqué l’effondrement des tours. Selon les experts, le fait que les tours se sont effondrées très rapidement confirme la version selon laquelle les tours ont explosé après le choc provoqué par les avions. En outre, les bruits d’explosions à l’endroit de l’impact des avions ont duré une seconde et des éclairs étaient visibles, ce dont peuvent témoigner les 118 personnes interrogées ainsi que des journalistes.
    La pulvérisation du béton dans les airs, les nuages de poussière et le fait que les structures des bâtiments n’ont pas empêché l’effondrement, «qui s’est produit en chute libre», confirment également le fait que les tours jumelles ont explosé. En outre, selon les experts, c’est ce dont témoigne également l’onde de choc qui s’est étendue jusqu’à cent mètres du point d’impact, et la destruction presque intégrale des bâtiments. Sur le lieu de l’effondrement, sous les décombres, les pompiers ont découvert des tonnes de métal fondu et figé, ce qui ne pouvait avoir lieu que suite à l’utilisation d’un mélange explosif contenant de la thermite. En outre, le professeur Steven Jones a découvert des traces de thermite, matière utilisée dans l’armée, dans le métal figé et dans les prélèvements de poussière réalisés sur le lieu de l’effondrement des tours. La théorie de l’explosion est encore confirmée par le fait qu’environ mille corps n’ont pas été retrouvés, et que 700 fragments d’os ont été découverts sur les bâtiments environnants. Pour leur part, les experts russes considèrent qu’il s’agit d’une version tout à fait vraisemblable. Il suffisait d’apporter quelque 400 kg de TNT ou de plastic en les faisant passer pour des matériaux de construction et de les activer au moyen d’un portable. Les tours se sont effondrées verticalement. Or, elles étaient si solides que les Boeing ne pouvaient qu’en couper une partie. Cela a attiré l’attention des architectes. «On a aidé les gratte-ciel à tomber», affirme Vladimir Boulatov, ancien officier du contre-espionnage russe. Cette tragédie constitue l’événement fondateur, la pierre angulaire d’une dérive ultrasécuritaire, qui conditionne les relations internationales de ce début de siècle: à travers ce choc planétaire, nous sommes entrés dans une nouvelle ère de tensions et de chaos dont nous dénonçons les prémices et les effets. Déclenchement des guerres illégales en Afghanistan et en Irak: mise en place d’une coalition dite internationale en Irak menée par les USA où l’on ignore tout jusqu’au nombre de victimes civiles. Augmentation drastique des budgets militaires des États-Unis, remise en cause des libertés individuelles aux États-Unis et dans de nombreux autres pays, avec par exemple les lois américaines «Patriotic Act», la légitimation de la torture, des détentions illégales, les accords entre l’Union européenne et les États-Unis pour le transfert des données confidentielles des passagers aériens, les vols secrets et les prisons secrètes de la CIA en Europe, les scandales des prisons d’Abou Ghraib et de Bagram, disparition de l’habéas corpus ou encore les fichiers Edvige en France. De plus en plus, les gens aux Etats-Unis, sont convaincus que les autorités américaines dissimulent leur participation à la tragédie du 9/11. Les déclarations des témoins, estampillées confidentielles pendant plusieurs années, prouvent maintenant que la démolition contrôlée a peut-être eu lieu. Le gouvernement US avait de longue date prévu un tel incident - comme l’indique le document de Défense républicain Reconstruction de l’Amérique de 2000. L’organisation 9/11Truth croit que les USA ont probablement orchestré un incident de ce genre pour justifier l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan, comme pour restreindre des libertés civiques US par l’introduction du Patriot Act.(3)
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    • #3
      L’Histoire nous a appris avec Machiavel que «le meilleur moyen de contrôler une révolution, c’est de la faire soi-même». Souvenons-nous de l’incendie du Reichstag, qui a permis à Hitler de prendre le pouvoir. Dans le même ordre, les Etats-Unis ont décidé de changer la face du monde à leur profit. En faisant appel à la puissance du symbole de Pearl Harbor, le lobby néoconservateur Project for a New American Century (Projet pour un nouveau siècle américain) recourt à cette analogie historique dans son document Rebuilding America’s Defenses (Reconstruire les Défenses de l’Amérique), publié en 2000.
      Dans ce document, ils émettent des hypothèses sur ce qui pourrait s’avérer nécessaire pour justifier un changement radical de la politique étrangère des États-Unis. Les auteurs expliquent qu’une transformation de la politique US promouvant le recours à la force serait difficile, car «...le processus de transformation, même s’il devait aboutir à des changements révolutionnaires, serait probablement long sans un événement catastrophique et catalyseur - comme un nouveau Pearl Harbor». L’histoire de l’hégémonie américaine est riche de scénarios de type incendie du Reischtag:
      «En 1846: la guerre mexicano-américaine. Après l’annexion du Texas pour envahir le Mexique, le président James Polk avait besoin d’un prétexte, un incident qui permettrait aux États-Unis d’envahir un pays bien plus faible et confisquer une bonne partie de son territoire. Pour cela, il a envoyé une armée, dirigée par le général Zachary Taylor, construire un fort au sud du Rio Grande. Cette provocation attira la riposte prévue: les Mexicains ont tenté de repousser l’incursion américaine, en tuant et en capturant des soldats. Bien que le président Polk ait été l’auteur de la provocation, il envoya néanmoins un message indigné au Congrès pour réclamer une déclaration de guerre. La guerre trouva des soutiens au sein du Congrès auprès des Sudistes, farouchement déterminés à étendre l’esclavagisme. La guerre elle-même fut de courte durée, mais les gains furent immenses.
      Les États-Unis obligèrent le Mexique à céder un vaste territoire qui recouvre aujourd’hui le Nouveau-Mexique, l’Arizona, l’Utah, le Nevada, la Californie, et une partie du Colorado. La série de provocations avait commencé.
      »(4)
      «En 1898: La guerre hispano-américaine fut déclenchée après une explosion accidentelle sur le navire américain USS Maine dans le port de La Havane.» Les Espagnols tentèrent d’éviter la guerre «Remember the Maine and to Hell with Spain!» (Souvenez-vous du Maine et au diable l’Espagne!). Pendant la guerre qui suivit, les États-Unis s’emparèrent non seulement de Cuba, mais aussi d’autres colonies espagnoles comme Porto Rico et les Philippines.(4)
      «En1915: Aux abords de la Première Guerre mondiale, d’autres "événements déclencheurs" se sont produits. Parmi les plus connus, on trouve le naufrage du bateau de croisière britannique Lusitania qui a aussi servi de prétexte, cette fois-ci pour entrer dans la Première Guerre mondiale. Lorsqu’un sous-marin allemand coula le paquebot, le président Woodrow Wilson engageait les États-Unis dans la Première Guerre mondiale.»(4)
      «En1941: La soi-disant attaque perfide de Pearl Harbor est un des plus grands mythes de l’histoire des États-Unis. Les éléments rassemblés par l’historien Robert Stinnett montrent qu’en réalité l’événement avait été provoqué par le gouvernement des États-Unis qui a laissé faire pour pouvoir manipuler l’opinion publique. Le mythe du "Jour d’infamie" de l’Amérique, longtemps enraciné dans l’inconscient collectif américain, consolide fortement l’idée que l’Amérique n’attaque que pour se défendre.»(4)
      En1964: L’«incident» du golfe de Tonkin déclencha une escalade massive de la guerre au Vietnam. Pour préparer une opinion publique réticente à entrer en guerre, la «riposte» a pris la forme de soi-disant attaques nord-vietnamiennes contre deux croiseurs US. Au mois d’août 1964, le premier navire a été prétendument attaqué par des torpilleurs vietnamiens. Deux jours plus tard, les médias ont annoncé que les Nord-vietnamiens avaient attaqué un second navire américain. Bien que le Pentagone ait affirmé que les assaillants avaient été repoussés, les officiers à bord du croiseur ont révélé plus tard que «nos destroyers ne faisaient que tirer sur des cibles fantômes...il n’y avait pas de torpilleurs devant nous».
      Néanmoins, quelques jours plus tard, le Congrès votait la résolution du golfe de Tonkin, sur la base d’événements qui n’avaient pas eu lieu, pour entraîner les États-Unis dans une «opération de police» désastreuse qui allait durer 10 ans, coûter la vie à plus de deux millions de personnes, et couvrir les États-Unis de déshonneur.(4)
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      • #4
        trois scenarios

        Trois scénarios
        De fait, on peut penser à trois scénarios: la théorie de l’attaque surprise, ou complot extérieur, selon laquelle 19 pirates kamikazes appartenant à l’organisation terroriste de Ben Laden déjouent toutes les défenses américaines; c’est aujourd’hui la version dite officielle des événements. On peut penser aussi que le scénario du «laisser-faire délibéré» ou complot extérieur, est «encouragé» car c’est le prétexte pour mettre en place une nouvelle géopolitique américaine qui avait besoin de catalyseur.
        La mainmise sur le pétrole du Moyen-Orient est une donnée de base depuis que la dépendance américaine en pétrole a dépassé le seuil fatidique de 50%. La troisième théorie consiste à provoquer les évènements et les imputer à un ennemi extérieur dans les mêmes buts. Ce dernier semble le plus plausible.
        A ce jour, 200 politiques, militaires et agents du renseignement, 700 ingénieurs et architectes, 200 pilotes professionnels, 400 universitaires, 200 artistes et professionnels des médias, sans parler des 230 survivants et membres des familles de victimes du 11 Septembre se sont exprimés sur leurs doutes. Le professeur Niels Harrit a produit le 3 avril 2009 une étude qui démontrerait la présence de nano-thermite non activée dans les poussières du World Trade Center.
        Un explosif de dernière génération, produit exclusivement par l’armée, Et maintenant? où en sommes nous? On aurait pensé que la nouvelle administration américaine se démarquerait graduellement du mythe de l’attaque terroriste du 11 septembre. Il n’en n’est rien.
        Une preuve: le 6 septembre, la Maison-Blanche a contraint à la démission le conseiller du président Obama pour l’environnement. Son crime: avoir signé une pétition en 2004 qui remettait en doute la version officielle. «Business as usual». Ainsi va le monde...

        .................................................. ...l'expression
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