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Le peuple de la lune

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  • Le peuple de la lune

    Le peuple de la lune

    Poème de l’espoir et de la rencontre
    Avec les monde des miroir, de la vérité immonde et la lâcheté humaine…
    En premier chapitre le trou sur l’épître fut ahurissant
    Nous fîmes reporté la soirée de lecture sur un autre temps
    Et la pluie déversa ses haines par la force d’un vent qui se déchaine
    Le matin fougueux, nous troublâmes le passage sur le récif des flots
    Sur des barges de fortunes
    Le poète mort sans rancune sans son chapeau de l’enclume
    Sous son regard d’écume
    Une lettre d’un bavard sanctum
    Les louanges ou l’espoir des humbles sous la lune

    Ainsi parlait le tribal de la lune :

    Je le méprise ce chant insolant
    Des tristes vagabonds de l’espoir
    Qui se martyrise et qui se consume avec leurs paroles
    Ainsi parlais l’angle de la lune
    Pour conter une histoire de mille nuits sans lune
    Ainsi parlait le ciel des lanternes
    Pour faire d’une tribu l’âme de la dune
    Que les autres tribus ne pouvaient plus traversé
    La vérité demeura au-delà de l’obscurité de la dune

    Il se regarde dans son miroir avare et cocu
    Sur ses bans s’assirent des petites cigales

    Qui lui chantèrent le bon temps des satires
    Qui lui chancirent les airs de piété
    comme
    Mille espoir sans l’ombre d’une vérité
    Et la vérité fut la caprice des dieux
    Comme
    Une flute aux mains d’argents des folkloristes avaricieux
    Dans le miroir de la cité les anges conversaient
    Quand les démons de la citadelle convulsaient
    Ainsi parlait le génie des sens de votre réputation
    Flagellée sur la pointe d’une montagne sacré
    « Mes ancêtres ne retourneront plus dans leurs tombes »
    Il voulut anéantir la lune sans merci
    Epuisé son encre blanche et noircir sa percée

    Assez de cette valse médiocres avare petit Bourgois
    Pantin du foyer des petites gens sans augure
    Sans lumière né sans connaissance pure
    Assez de cet encre sur les papiers qui brulent
    Assez de ses flammes mortelles qui tue en toi
    Le temps qui tue le roi sans gloire
    Je te récite cette saga des chants fougues
    Les louanges d’espoir sont d'une trame perdu
    Dernière modification par postra, 15 septembre 2009, 13h40.
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?
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