Le peuple de la lune
Poème de l’espoir et de la rencontre
Avec les monde des miroir, de la vérité immonde et la lâcheté humaine…
En premier chapitre le trou sur l’épître fut ahurissant
Nous fîmes reporté la soirée de lecture sur un autre temps
Et la pluie déversa ses haines par la force d’un vent qui se déchaine
Le matin fougueux, nous troublâmes le passage sur le récif des flots
Sur des barges de fortunes
Le poète mort sans rancune sans son chapeau de l’enclume
Sous son regard d’écume
Une lettre d’un bavard sanctum
Les louanges ou l’espoir des humbles sous la lune
Ainsi parlait le tribal de la lune :
Je le méprise ce chant insolant
Des tristes vagabonds de l’espoir
Qui se martyrise et qui se consume avec leurs paroles
Ainsi parlais l’angle de la lune
Pour conter une histoire de mille nuits sans lune
Ainsi parlait le ciel des lanternes
Pour faire d’une tribu l’âme de la dune
Que les autres tribus ne pouvaient plus traversé
La vérité demeura au-delà de l’obscurité de la dune
Il se regarde dans son miroir avare et cocu
Sur ses bans s’assirent des petites cigales
Qui lui chantèrent le bon temps des satires
Qui lui chancirent les airs de piété
comme
Mille espoir sans l’ombre d’une vérité
Et la vérité fut la caprice des dieux
Comme
Une flute aux mains d’argents des folkloristes avaricieux
Dans le miroir de la cité les anges conversaient
Quand les démons de la citadelle convulsaient
Ainsi parlait le génie des sens de votre réputation
Flagellée sur la pointe d’une montagne sacré
« Mes ancêtres ne retourneront plus dans leurs tombes »
Il voulut anéantir la lune sans merci
Epuisé son encre blanche et noircir sa percée
Assez de cette valse médiocres avare petit Bourgois
Pantin du foyer des petites gens sans augure
Sans lumière né sans connaissance pure
Assez de cet encre sur les papiers qui brulent
Assez de ses flammes mortelles qui tue en toi
Le temps qui tue le roi sans gloire
Je te récite cette saga des chants fougues
Les louanges d’espoir sont d'une trame perdu
Poème de l’espoir et de la rencontre
Avec les monde des miroir, de la vérité immonde et la lâcheté humaine…
En premier chapitre le trou sur l’épître fut ahurissant
Nous fîmes reporté la soirée de lecture sur un autre temps
Et la pluie déversa ses haines par la force d’un vent qui se déchaine
Le matin fougueux, nous troublâmes le passage sur le récif des flots
Sur des barges de fortunes
Le poète mort sans rancune sans son chapeau de l’enclume
Sous son regard d’écume
Une lettre d’un bavard sanctum
Les louanges ou l’espoir des humbles sous la lune
Ainsi parlait le tribal de la lune :
Je le méprise ce chant insolant
Des tristes vagabonds de l’espoir
Qui se martyrise et qui se consume avec leurs paroles
Ainsi parlais l’angle de la lune
Pour conter une histoire de mille nuits sans lune
Ainsi parlait le ciel des lanternes
Pour faire d’une tribu l’âme de la dune
Que les autres tribus ne pouvaient plus traversé
La vérité demeura au-delà de l’obscurité de la dune
Il se regarde dans son miroir avare et cocu
Sur ses bans s’assirent des petites cigales
Qui lui chantèrent le bon temps des satires
Qui lui chancirent les airs de piété
comme
Mille espoir sans l’ombre d’une vérité
Et la vérité fut la caprice des dieux
Comme
Une flute aux mains d’argents des folkloristes avaricieux
Dans le miroir de la cité les anges conversaient
Quand les démons de la citadelle convulsaient
Ainsi parlait le génie des sens de votre réputation
Flagellée sur la pointe d’une montagne sacré
« Mes ancêtres ne retourneront plus dans leurs tombes »
Il voulut anéantir la lune sans merci
Epuisé son encre blanche et noircir sa percée
Assez de cette valse médiocres avare petit Bourgois
Pantin du foyer des petites gens sans augure
Sans lumière né sans connaissance pure
Assez de cet encre sur les papiers qui brulent
Assez de ses flammes mortelles qui tue en toi
Le temps qui tue le roi sans gloire
Je te récite cette saga des chants fougues
Les louanges d’espoir sont d'une trame perdu