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- Bonjour l'âne,
- Bonjour toi, comment vas tu
- Je vais bien, et toi tu as l'air tout heureux, que t'arrive t'il de bien !
- Je suis souriant, mais également un peu triste
- Ah bon et d'où vient cette joie
- Figure toi que j'ai lu les journaux ce matin
- Oui et alors c'est pas toujours réjouissant, surtout en ce moment !
- Justement, je lis les journaux, et ensuite ce me fait réfléchir et j'ai bien reflechis
- Bien mais que penses-tu alors ?
- Et bien, vois tu, depuis des années, ici comme ailleurs, on mesure le "taux de croissance", notamment celui du PIB, c'est à dire l'augmentation d'une période sur l'autre de notre Production Intérieure Brute. C'est très bien de mesurer ce que le travail que l'on fait ici génère comme production et de voir comment cela évolue. Plus on travail, plus on est heureux car puisque le pays produit plus, il est plus riche.
- Bien oui, je te suis, tout va bien alors ?
- Hélas non, travailler plus, enrichit peut-être le pays, mais ne rends pas les gens plus heureux, car on n'améliore pas pour autant les conditions de vie. L'ensemble de la société est tout orienté vers l'optimisation de tout, l'augmentation des marges pour les industriels, les grandes entreprises, comme pour les banquiers ou les assurances. Afin de gagner plus d'argent, plus de pouvoir, tout est optimiser au profit de ceux qui dirigent et au détriment la majorité qui participent.
- Bien oui, cela fait des années, mais que propose tu ?
- Que penses tu d'un système, certes révolutionnaire, mais qui ne soit pas une course au taux de croissance, mais une course au taux de bonheur. Il n'est pas nécessaire de faire mieux que son concurrent, mais plutôt utile de faire uniquement, tout en faisant dans le bonheur. Le simple fait de faire, procure du bienfait a ceux qui font, plutôt que du stresse pour faire mieux à un moindre cout.
- Tu préconise alors une émulation positive avec enchainement du bonheur de cause a effet
- Exactement, je vois que tu as tout compris ! Pour mesurer cela, il faut alors inventer le taux de bonheur, celui qui mesure au niveau national le Bonheur Intérieur Brut en révélant ainsi le pays où il fait bon vivre.
- Bravo pour cette démonstration, mais pourquoi tu m'a dit être triste ?- Et bien s je suis triste, c'est qu'il faudrait un réelle révolution pour changer les mentalités, car le bonheur pour la majorité est une évidence pour tout en chacun, sauf peut être pour ceux qui ont du pouvoir et préfèrent gagner encore plus.
- Comme je te comprends, c'est beau ce que tu dit, tu es un âne intellectuel et très humain.
- Je suis content d'avoir bavardé avec toi, tu reviendras ?
- Oui
- Alors à bientôt !!
- Bonjour toi, comment vas tu
- Je vais bien, et toi tu as l'air tout heureux, que t'arrive t'il de bien !
- Je suis souriant, mais également un peu triste
- Ah bon et d'où vient cette joie
- Figure toi que j'ai lu les journaux ce matin
- Oui et alors c'est pas toujours réjouissant, surtout en ce moment !
- Justement, je lis les journaux, et ensuite ce me fait réfléchir et j'ai bien reflechis
- Bien mais que penses-tu alors ?
- Et bien, vois tu, depuis des années, ici comme ailleurs, on mesure le "taux de croissance", notamment celui du PIB, c'est à dire l'augmentation d'une période sur l'autre de notre Production Intérieure Brute. C'est très bien de mesurer ce que le travail que l'on fait ici génère comme production et de voir comment cela évolue. Plus on travail, plus on est heureux car puisque le pays produit plus, il est plus riche.
- Bien oui, je te suis, tout va bien alors ?
- Hélas non, travailler plus, enrichit peut-être le pays, mais ne rends pas les gens plus heureux, car on n'améliore pas pour autant les conditions de vie. L'ensemble de la société est tout orienté vers l'optimisation de tout, l'augmentation des marges pour les industriels, les grandes entreprises, comme pour les banquiers ou les assurances. Afin de gagner plus d'argent, plus de pouvoir, tout est optimiser au profit de ceux qui dirigent et au détriment la majorité qui participent.
- Bien oui, cela fait des années, mais que propose tu ?
- Que penses tu d'un système, certes révolutionnaire, mais qui ne soit pas une course au taux de croissance, mais une course au taux de bonheur. Il n'est pas nécessaire de faire mieux que son concurrent, mais plutôt utile de faire uniquement, tout en faisant dans le bonheur. Le simple fait de faire, procure du bienfait a ceux qui font, plutôt que du stresse pour faire mieux à un moindre cout.
- Tu préconise alors une émulation positive avec enchainement du bonheur de cause a effet
- Exactement, je vois que tu as tout compris ! Pour mesurer cela, il faut alors inventer le taux de bonheur, celui qui mesure au niveau national le Bonheur Intérieur Brut en révélant ainsi le pays où il fait bon vivre.
- Bravo pour cette démonstration, mais pourquoi tu m'a dit être triste ?- Et bien s je suis triste, c'est qu'il faudrait un réelle révolution pour changer les mentalités, car le bonheur pour la majorité est une évidence pour tout en chacun, sauf peut être pour ceux qui ont du pouvoir et préfèrent gagner encore plus.
- Comme je te comprends, c'est beau ce que tu dit, tu es un âne intellectuel et très humain.
- Je suis content d'avoir bavardé avec toi, tu reviendras ?
- Oui
- Alors à bientôt !!
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