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le boycott d’Israël. Pourquoi ? Comment ? (vidéo)

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  • le boycott d’Israël. Pourquoi ? Comment ? (vidéo)

    Olivia Zémor, présidente de Capjpo-EuroPalestine, invitée à s’exprimer sur le boycott d’Israël à la soirée organisée le 13 septembre 2009 par l’association belge EGALITE.

    Capjpo-EuroPalestine

  • #2
    Israel cherche à faire passer de nouvelles loi pour essayer d’échapper aux multiples plaintes



    500 plaintes ont été déposées contre l’Etat d’Israël par des Palestiniens, pour blessures physiques ou dommages sur la propriété, causés par les soldats de Tsahal depuis le début de la seconde Intifada. Le parlement israélien cherche activement des moyens de renforcer l’impunité de son armée, rapporte le Jérusalem Post


    "De nombreuses autres plaintes seraient à prévoir, a prévenu lundi un responsable du ministère de la Justice au Comité juridique de la Knesset (parlement israélien).

    Le Comité s’était réuni pour préparer les 2e et 3e lectures d’une proposition de loi destinée à réduire le nombre de plaintes et fournir une meilleure défense aux actions des soldats.

    Cette loi serait un amendement d’une juridiction datant de 1952. Elle stipule qu’Israël ne peut être attaqué en justice pour une opération exécutée en situation de guerre. Après les deux Intifadas, qui ont débuté respectivement en 1987 et 2000, la question s’est posée de savoir en quoi consistait une "opération militaire".

    Il ne s’agissait effectivement pas d’une situation de guerre classique où deux armées s’affrontent.

    D’après un amendement antérieur, la loi reconnaissait qu’ "une opération de guerre incluait toute action entreprise pour combattre le terrorisme, les actes hostiles ou d’insurrection". La loi actuelle préconise que "tout soldat, qu’il opère en Israël, en Judée Samarie, ou dans un pays étranger, doit prouver que sa vie était en danger pour que ses actions soient considérées comme "opération militaire".

    Avec la nouvelle proposition de loi, cette obligation ne s’appliquerait pas aux soldats postés en Judée Samarie ou dans un pays étranger, car la loi part du principe que la vie des soldats opérant en dehors d’Israël est, de nature, en péril.

    En Israël, le soldat doit continuer de prouver que sa vie était en danger, dans la mesure où les forces de sécurité ne prennent pas forcément de risque et sont souvent employées à des actions de surveillance plutôt que militaires. Une clause supplémentaire de l’amendement permettrait à l’Etat de déclarer si une zone est un "territoire hostile".

    Ainsi, tant qu’une certaine zone de Judée Samarie est considérée comme tel, les Palestiniens ne peuvent pas poursuivre l’Etat pour des incidents survenus à partir du moment où la déclaration a pris effet. Elle stipule également que Gaza est un territoire hostile depuis le désengagement unilatéral de 2005.

    Le Comité juridique de la Knesset a émis de nombreuses objections à la proposition de loi, ainsi que d’autres organismes publiques.

    http://fr.jpost.com/servlet/Satellite ?cid=1251804574195&pagename=JFrench/JPArticle/ShowFull

    CAPJPO-EuroPalestine

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