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“Un jour, un film”, Un ouvrage qui evoque le cinéma algérien .

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  • “Un jour, un film”, Un ouvrage qui evoque le cinéma algérien .

    Boudjemaa Karèche évoque le cinéma algérien à travers son ouvrage “Un jour, un film”

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    De l’image aux mots



    Le livre de l’ancien directeur de la Cinémathèque d’Alger, Boudjemâa Karèche, Un jour, un film, paru aux éditions Jazz, a été présenté au public, jeudi, à la salle Mohamed-Zinet lors d’une vente-dédicace. Boudjemaâ Karèche, un des spécialistes du cinéma, qui se plaisait à répéter souvent qu’“un film est une œuvre d’art au même titre qu’un livre ou un tableau”, a rappelé au cours de la cette rencontre, organisée à l’occasion de la parution de cet ouvrage, que “passer de l’image à l’écrit est une manière de faire aimer cet art et de le rapprocher encore davantage du public”.
    L’auteur porte à travers Un jour, un film, un regard, parfois nostalgique, sur les lieux, les personnages, les artistes et les amis qui ont, à un moment ou un autre, partagé, le temps d’une projection, “des moments inoubliables”.
    Il a également évoqué et immortalisé, dans cet ouvrage de 260 pages, des souvenirs des grands moments de la cinémathèque, lieu où défilaient de grandes stars du monde du cinéma. Un lieu qu’il a fréquenté pendant plus de trente-cinq ans en tant que responsable, animateur et critique, mais aussi en tant que “cinéphile avant tout”.
    Dans son livre, l’ancien directeur de la Cinémathèque algérienne a retracé l’historique du septième art en Algérie, avec ses moments de gloire et aussi ses défaillances.
    Il a été écrit avec un regard critique de professionnel afin d’apporter sa vision sur l’avenir du cinéma en Algérie.
    Licencié en droit de la faculté d’Alger, c’est à la faveur du 1er Festival panafricain, qui s’est tenu à Alger en 1969, que Boudjemaâ Karèche débutera sa carrière à la cinémathèque. “Ce fut un été merveilleux. La foule débordait des théâtres, des stades, toute la nuit.
    La Cinémathèque offrait une rétrospective du film africain. J’ai découvert un univers. L’animateur était un coopérant technique qui devait retourner en France. Saisi par la passion, je me suis mis à participer à la programmation, l’animation, la presse... pendant huit ans. C’était un moment important, lié à la politique et à la liberté d’expression”, s’est-il rappelé d’un entretien paru en 1998. Ce n’est qu’en 1978 qu’il sera nommé directeur. Il y restera jusqu’à sa retraite.

    -Liberté
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