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    Alger- Alors qu’Alger, la capitale blanche est devenue la capitale les mendiants et des vagabonds, les riches algériens prétendent faire la charité en cachette et en secret. Dans le monde entier, y compris dans les pays arabes les gens nantis se bousculent pour les œuvres caritatives, où des prix sont décernés pour les meilleurs œuvres sociales et humanitaires, à l’instar du prix des riches d’ « El Kassim » en Arabie Saoudite ou le prix « Al Nahyane » aux Emirats Arabes Unies.
    • Ces pays qui comptent beaucoup sur les œuvres caritatives pour la relance du développement dans les régions isolées, étant l’un des facteurs qui aident à la construction de la société grâce aux initiatives humanitaires des citoyens. Ce qui est certain, c’est que la classe des riches dans ces pays contribue largement dans le bien être de leurs sociétés, pendant que chez nous, Alger devient au fil des jours la capitale des mendiants. Alors, la question qui vient à l’esprit est : pourquoi n’y-a-t-il pas de concurrence pour les œuvres caritatives chez nous ?
    • Est-ce parce que le riche algérien donne avec la main droite ce que la main gauche ne voit pas ?
    • Pour en savoir plus, nous nous sommes rapprochés de quelques uns d’entre eux.
    • Ould Abbas à Ennahar : Les riches d’Algérie refusent de dévoiler leur identité.
    • Selon notre ministre de la solidarité nationale, de l famille et de la communauté algérienne à l’étranger, Djamel Ould Abbas, les riches algériens contribuent dans les aides présentées aux pauvres et démunis en Algérie mais ces derniers refusent de dévoiler leurs identités. « Nous avons constaté que la majeure partie des riches algériens qui donnent des aides destinées aux pauvres et aux couches démunies de la société préfèrent garder l’anonymat. Nous avons constaté cela depuis longtemps, puisqu’il est impossible de connaître l’identité des personnes charitables qui contribuent généralement en faisant dons de produits alimentaires qui sont envoyés soit directement aux familles démunies ou au ministère qui se charge de les distribués sur ces familles. »
    • Selon Ould Abbas, contacté hier au téléphone, les raisons derrière l’absence d’association de riches pour la prise en charge des personnes démunies sont dues à la politique de l’état concernant ce genre de dossier, a-t-il dit, avant d’ajouter : « La philosophie de l’état se base sur les principes du premier novembre et le premier et dernier mot en ce qui concerne les familles nécessiteuses revient à l’état ». « L’apparition de ce genre d’associations diminuerait le rôle de l’état dans la protection des citoyens…mais ceci ne veut pas dire l’exclusion des particuliers en ce qui concerne ce genre d’initiatives. Ces gens sont les bienvenus mais ils doivent savoir que le premier et le dernier mot reviennent à l’état ».
    • Pour ce qui concerne les aides reçues par le ministère de la solidarité, de la famille et de la communauté algérienne à l’étranger, Ould Abbas nous confie qu’une partie est envoyée au Communes et Assemblées de wilayas alors que le reste est répartis sur les centres et les 650 restaurants qui existent sur l’ensemble du territoire national. Le budget annuel des dépenses effectué dans le cadre des aides au profit des familles nécessiteuses et pauvres varie entre 15 et 20 Milliards de dinars.
    • Isaâd Rabrab, patron de Cevital :
    • « Le Hajj est ici en Algérie, nul besoin d’aller à la Mecque !
    • Isaâd Rebrab, ou l’homme d’affaire le plus riche d’Algérie vivait avec son épouse dans un F2. Aujourd’hui il vit dans un palace ! Il participe à des œuvres caritatives à longueur d’année en secret, sans que personne ne sache, et ce, parce que notre religion nous enseigne cela. Nous voyant insister, le PDG de Cevital nous raconte comment il contribue aux activités caritatives d’une manière générale sans rentrer dans les détails. « Pour ceux qui veulent accomplir le Hadj, ils peuvent le faire ici en Algérie avant d’aller le faire à la Mecque ». « Aider les pauvres est en quelques sorte équivalent au Hadj. Pourquoi nous n’aidons pas ces pauvres et ces familles qui sont dans le besoin ici dans mon pays ». Ennahar/ Habiba Mahmoudi
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