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Faire du commerce en noir, sans registre et sans être enregistré... fuir les impos…gagner sans impositions....Je pense que des statistiques sur terrain donneraient plus que ce chiffre donné par l’Union générale des commerçants et artisants algériens (UGCAA).
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Plus d’un million de commerçants activant au niveau de quelque 400 marchés informels ne disposent pas de registre de commerce, a indiqué hier le chargé de la communication de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), lors d’une conférence de presse tenue à Alger.
Pour parvenir à éradiquer les marchés informels et créer de nouveaux postes d’emploi, le même intervenant a mis en exergue la nécessité de recourir à la construction de nouveaux centres commerciaux. Le conférencier a précisé qu’il est impératif de remettre en activité, au profit des commerçants déclarés, les quelque 300 anciens Souks el-fellah et Galeries qui sont toujours fermés. Abordant le phénomène de la prolifération des marchés informels, le chargé de la communication de l’UGCAA a exhorté les collectivités locales à apporter leur contribution dans la lutte contre ce «fléau», pour que les commerçants exercent dans un cadre légal.
D’autre part, le conférencier a mis l’accent sur l’amendement de la loi des chambres de commerce au niveau des communes et a réitéré la proposition de l’Union quant à la désignation d’un ministre délégué, chargé de l’organisation du marché national auprès du ministre du Commerce. Intervenant lors de cette conférence de presse, le secrétaire général de l’UGCAA a lancé un appel en direction des communes pour mettre à la disposition de l’union des terrains non exploités au niveau de leurs communes pour la réalisation de marchés et centres commerciaux. Le même intervenant a indiqué dans ce sens que l’UGCAA a déjà procédé récemment à la construction de deux centres commerciaux à Sétif et El-Eulma, ajoutant qu’il faudrait penser à construire des marchés lors des constructions des cités. Le même intervenant a affirmé que l’UGCAA est capable de lutter contre la prolifération des marchés informels avec la participation des collectivités locales.
Cette conférence a été mise a profit par le représentant des galeries «El-Kheir» de la wilaya de Biskra pour donner un aperçu sur son expérience d’achat des galeries pour en faire un centre commercial abritant près de 85 commerçants «légaux».
Le Qutidien d'Oran.
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Plus d’un million de commerçants activant au niveau de quelque 400 marchés informels ne disposent pas de registre de commerce, a indiqué hier le chargé de la communication de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), lors d’une conférence de presse tenue à Alger.
Pour parvenir à éradiquer les marchés informels et créer de nouveaux postes d’emploi, le même intervenant a mis en exergue la nécessité de recourir à la construction de nouveaux centres commerciaux. Le conférencier a précisé qu’il est impératif de remettre en activité, au profit des commerçants déclarés, les quelque 300 anciens Souks el-fellah et Galeries qui sont toujours fermés. Abordant le phénomène de la prolifération des marchés informels, le chargé de la communication de l’UGCAA a exhorté les collectivités locales à apporter leur contribution dans la lutte contre ce «fléau», pour que les commerçants exercent dans un cadre légal.
D’autre part, le conférencier a mis l’accent sur l’amendement de la loi des chambres de commerce au niveau des communes et a réitéré la proposition de l’Union quant à la désignation d’un ministre délégué, chargé de l’organisation du marché national auprès du ministre du Commerce. Intervenant lors de cette conférence de presse, le secrétaire général de l’UGCAA a lancé un appel en direction des communes pour mettre à la disposition de l’union des terrains non exploités au niveau de leurs communes pour la réalisation de marchés et centres commerciaux. Le même intervenant a indiqué dans ce sens que l’UGCAA a déjà procédé récemment à la construction de deux centres commerciaux à Sétif et El-Eulma, ajoutant qu’il faudrait penser à construire des marchés lors des constructions des cités. Le même intervenant a affirmé que l’UGCAA est capable de lutter contre la prolifération des marchés informels avec la participation des collectivités locales.
Cette conférence a été mise a profit par le représentant des galeries «El-Kheir» de la wilaya de Biskra pour donner un aperçu sur son expérience d’achat des galeries pour en faire un centre commercial abritant près de 85 commerçants «légaux».
Le Qutidien d'Oran.
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