Enfance violée
l'ombre cadenassée,
L'âme décontenancée
Fêlure contractée
Comme mort né...
Écriture sainte
Comme une plainte
Odeur d'absinthe
De ce qui éreinte
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
Fragments idiots
Désespérance flagellée
Sur l'autel de bibelot
Enfance violacée...
Violence par alliance
Oncle repu, sadique
Ton corps en partance
Ton sourire abdique
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
le contact ignoble
De l'âge adulte
L'adultère englobe
Mes meilleures insultes
Paysages de satin
Trace de sang au matin
Atroce levé du jour
je m'éparpille dans la cour
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
Pourriture dominicale
Paroisse de salopards
Tout était vertical
On me sectionne une part
De ma vie, par l'ignominie
Je frappe le destin
A l'intestin
Mais jamais rien de fin...
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
De trop...
L'âme décontenancée
Fêlure contractée
Comme mort né...
Écriture sainte
Comme une plainte
Odeur d'absinthe
De ce qui éreinte
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
Fragments idiots
Désespérance flagellée
Sur l'autel de bibelot
Enfance violacée...
Violence par alliance
Oncle repu, sadique
Ton corps en partance
Ton sourire abdique
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
le contact ignoble
De l'âge adulte
L'adultère englobe
Mes meilleures insultes
Paysages de satin
Trace de sang au matin
Atroce levé du jour
je m'éparpille dans la cour
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
Pourriture dominicale
Paroisse de salopards
Tout était vertical
On me sectionne une part
De ma vie, par l'ignominie
Je frappe le destin
A l'intestin
Mais jamais rien de fin...
Ton rythme
Mon souffle
Mon cœur
La la la li
La la la
Je meurt
Mille fois
Je ne vis
Qu'une fois
De trop...
Chaarar,
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