U n livre, son titre "j'ai quinze ans et je ne veux pas mourir"
N i tes frères, ni tes soeurs n'ont pu, depuis, le lire
E t toi, petit frère, il te restait quelques pages à finir
L 'accident a impitoyablement balayé tes quinze printemps
A mers, chagrinés tu as rendu tes parents, frères et soeurs
R age, douleur, tu as planté dans nos petits coeurs
M iséricorde, un autre malheur est venu nous affliger
E t nos parents, famille, de nouveau ne sont pas épargnés
E t oui mon second frère très cher, tu n'as pas supporté
N i ton épouse d'ailleurs la disparition de votre cher Bébé
C e chagrin qui t'a rendu si faible, tellement influençable
A u point que des gens sans scrupule, si lamentables
D écidèrent de ton avenir, horreur, ils t'ont perdu
E t nos parents impuissants qui te cherchent mais où es-tu ?
A vec toutes ces années passées sans nouvelles
U n signe suffirait, nous dire "je suis bien", destin cruel !
D 'années en années, on s'interroge, on s'inquiète
E t juste te savoir heureux serait pour nous une fête
N e penses-tu pas, dis, à ceux qui t'ont donné la vie
O h! Secte, que je te hais de nous l'avoir pris
E t chaque Noël, mon coeur verse en silence une larme
L a maintenant, mes frères chéris, je suis sans armes.
Noël 2005
Cette poésie, un cri du coeur, je l'ai écrite ce jour de Noël à l'intention de tous ceux qui ne peuvent, par pudeur, exprimer la vive douleur d'avoir perdu un des leurs, un enfant, un père, une mère, un frère, une soeur
N i tes frères, ni tes soeurs n'ont pu, depuis, le lire
E t toi, petit frère, il te restait quelques pages à finir
L 'accident a impitoyablement balayé tes quinze printemps
A mers, chagrinés tu as rendu tes parents, frères et soeurs
R age, douleur, tu as planté dans nos petits coeurs
M iséricorde, un autre malheur est venu nous affliger
E t nos parents, famille, de nouveau ne sont pas épargnés
E t oui mon second frère très cher, tu n'as pas supporté
N i ton épouse d'ailleurs la disparition de votre cher Bébé
C e chagrin qui t'a rendu si faible, tellement influençable
A u point que des gens sans scrupule, si lamentables
D écidèrent de ton avenir, horreur, ils t'ont perdu
E t nos parents impuissants qui te cherchent mais où es-tu ?
A vec toutes ces années passées sans nouvelles
U n signe suffirait, nous dire "je suis bien", destin cruel !
D 'années en années, on s'interroge, on s'inquiète
E t juste te savoir heureux serait pour nous une fête
N e penses-tu pas, dis, à ceux qui t'ont donné la vie
O h! Secte, que je te hais de nous l'avoir pris
E t chaque Noël, mon coeur verse en silence une larme
L a maintenant, mes frères chéris, je suis sans armes.
Noël 2005
Cette poésie, un cri du coeur, je l'ai écrite ce jour de Noël à l'intention de tous ceux qui ne peuvent, par pudeur, exprimer la vive douleur d'avoir perdu un des leurs, un enfant, un père, une mère, un frère, une soeur
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