Comme une vielle chanson
Tu bourdonne dans ma tête
Tu recouds tes notes
Et tu t’habilles de fête
Tes matins ensoleillées
Tes nuits aux guirlandes
Aux aurores réveillée
Pour réveiller le monde
Tu frappe à ma porte
Légère comme la brise
Que les amours morts
S’éveillent et te grisent
Ta solitude est telle
Que tu reviens vers moi
Pour ressusciter le mort
Enseveli d’autrefois
Mais ma maison est vide
Mon corps encore plus
L’âme que tu crois y réside
Dans ce corps ne vie plus
Le temps a prit le temps
de séparer nos mondes
Le tiens fait de dorures
Le miens triste et immonde
Dans tes yeux artificiels
Ne brille plus que ton rimmel
Ton regard terne et triste
n’abrite nulle étincelle
Ton âme fourvoyée
La mienne raide morte
Mon cœur suicidé
L’oubli est son escorte
Tu bourdonne dans ma tête
Tu recouds tes notes
Et tu t’habilles de fête
Tes matins ensoleillées
Tes nuits aux guirlandes
Aux aurores réveillée
Pour réveiller le monde
Tu frappe à ma porte
Légère comme la brise
Que les amours morts
S’éveillent et te grisent
Ta solitude est telle
Que tu reviens vers moi
Pour ressusciter le mort
Enseveli d’autrefois
Mais ma maison est vide
Mon corps encore plus
L’âme que tu crois y réside
Dans ce corps ne vie plus
Le temps a prit le temps
de séparer nos mondes
Le tiens fait de dorures
Le miens triste et immonde
Dans tes yeux artificiels
Ne brille plus que ton rimmel
Ton regard terne et triste
n’abrite nulle étincelle
Ton âme fourvoyée
La mienne raide morte
Mon cœur suicidé
L’oubli est son escorte
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