La Russie n'exclut plus de nouvelles sanctions contre l'Iran en raison de son programme nucléaire, ont rapporté mercredi trois agences de presse russes.
Moscou est prêt à travailler pour parvenir à de nouvelles décisions sur des sanctions contre Téhéran, rapportent les agences RIA-Novosti, ITAR-Tass et Interfax, citant une source au sein de la délégation russe à l'Assemblée générale des Nations unies.
"Nous n'excluons pas de participer à l'élaboration de nouvelles décisions du Conseil de sécurité de l'ONU sur la question des sanctions relatives à l'Iran, s'il existe des raisons objectives", a déclaré cette source citée par RIA-Novosti.
Toutefois, a précisé cette source, "les critères ne sont pas les évaluations individuelles (par les pays occidentaux, NDLR), ou les conjectures, mais le rapport et les recommandations de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)".
La Russie, partenaire commercial de l'Iran, a jusqu'ici jugé que d'éventuelles nouvelles sanctions contre Téhéran seraient improductives. De nouveaux pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, Allemagne, France et Grande-Bretagne) auront lieu le 1er octobre à Genève.
Le haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères Javier Solana a affirmé mardi que les Six feraient preuve de fermeté face à Téhéran, qui est prêt à évoquer la non-prolifération nucléaire au sens large, mais a exclu d'aborder la question de l'enrichissement, pierre d'achoppement avec les Six.
Barack Obama a annoncé la semaine dernière l'abandon du projet de bouclier antimissile souhaité par George W. Bush. Une décision saluée par la Russie, qui est fermement opposée à ce dispositif.
source : AP
Moscou est prêt à travailler pour parvenir à de nouvelles décisions sur des sanctions contre Téhéran, rapportent les agences RIA-Novosti, ITAR-Tass et Interfax, citant une source au sein de la délégation russe à l'Assemblée générale des Nations unies.
"Nous n'excluons pas de participer à l'élaboration de nouvelles décisions du Conseil de sécurité de l'ONU sur la question des sanctions relatives à l'Iran, s'il existe des raisons objectives", a déclaré cette source citée par RIA-Novosti.
Toutefois, a précisé cette source, "les critères ne sont pas les évaluations individuelles (par les pays occidentaux, NDLR), ou les conjectures, mais le rapport et les recommandations de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)".
La Russie, partenaire commercial de l'Iran, a jusqu'ici jugé que d'éventuelles nouvelles sanctions contre Téhéran seraient improductives. De nouveaux pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et six grandes puissances (Etats-Unis, Russie, Chine, Allemagne, France et Grande-Bretagne) auront lieu le 1er octobre à Genève.
Le haut représentant de l'UE pour les Affaires étrangères Javier Solana a affirmé mardi que les Six feraient preuve de fermeté face à Téhéran, qui est prêt à évoquer la non-prolifération nucléaire au sens large, mais a exclu d'aborder la question de l'enrichissement, pierre d'achoppement avec les Six.
Barack Obama a annoncé la semaine dernière l'abandon du projet de bouclier antimissile souhaité par George W. Bush. Une décision saluée par la Russie, qui est fermement opposée à ce dispositif.
source : AP
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