Paris est entrain d’étudier la possibilité de la promulgation d’une loi permettant aux algériens, nés à l’époque coloniale, de porter la nationalité française, indique-t- on de source diplomatique.
Selon les mêmes sources, des diplomates français tentent de mesurer l’éventuelle réaction des autorités algériennes à propos d’une telle loi, en se rapprochant des responsables, des hommes d’affaires et des personnalités faisant partie de l’élite, pour connaître leurs avis. Dans ce sens, certains responsables qui ont été ciblé ont déclaré que cette procédure a pour objectif d’attirer l’intérêt des classes influentes dans le pays, et de mesurer leur disposition à porter les couleurs françaises, comme il avait été le cas pour leurs concitoyens, qui avaient adopté la double nationalité, notamment les hauts responsables, certains ministres et des cadres de l’Etat.
En prévision de la promulgation de cette loi, des centaines de femmes de hauts responsables de l’Etat préfèrent aller donner naissance à leurs bébés, dans des cliniques européennes, et en particulier dans des cliniques françaises, pour bénéficier du « droit du sol». Il y a lieu de rappeler que le président de la République a critiqué sévèrement, en décembre 2006, les algériens portant la double nationalité, en les qualifiant « d’enfants désobéissants », ajoutant « nous ne distinguons plus l’algérien de l’étranger ».
Par ailleurs, les lois algériennes n’interdisent pas le port d’une deuxième nationalité et garantit la nationalité algérienne des enfants d’une mère algérienne et un père étranger. En revanche, les lois françaises permettent aux étrangers concluant un contrat de mariage avec un citoyen français d’acquérir la nationalité française, après deux ans de mariage, mais les mêmes lois exigent d’autres conditions.
A relever que les conventions d’Evian, et la Déclaration du 1er Novembre 1954, ont donné le choix aux colons de préserver la nationalité française, ou bien d’adopter la nationalité algérienne.
.....................El khabar..25/9/2009.
Selon les mêmes sources, des diplomates français tentent de mesurer l’éventuelle réaction des autorités algériennes à propos d’une telle loi, en se rapprochant des responsables, des hommes d’affaires et des personnalités faisant partie de l’élite, pour connaître leurs avis. Dans ce sens, certains responsables qui ont été ciblé ont déclaré que cette procédure a pour objectif d’attirer l’intérêt des classes influentes dans le pays, et de mesurer leur disposition à porter les couleurs françaises, comme il avait été le cas pour leurs concitoyens, qui avaient adopté la double nationalité, notamment les hauts responsables, certains ministres et des cadres de l’Etat.
En prévision de la promulgation de cette loi, des centaines de femmes de hauts responsables de l’Etat préfèrent aller donner naissance à leurs bébés, dans des cliniques européennes, et en particulier dans des cliniques françaises, pour bénéficier du « droit du sol». Il y a lieu de rappeler que le président de la République a critiqué sévèrement, en décembre 2006, les algériens portant la double nationalité, en les qualifiant « d’enfants désobéissants », ajoutant « nous ne distinguons plus l’algérien de l’étranger ».
Par ailleurs, les lois algériennes n’interdisent pas le port d’une deuxième nationalité et garantit la nationalité algérienne des enfants d’une mère algérienne et un père étranger. En revanche, les lois françaises permettent aux étrangers concluant un contrat de mariage avec un citoyen français d’acquérir la nationalité française, après deux ans de mariage, mais les mêmes lois exigent d’autres conditions.
A relever que les conventions d’Evian, et la Déclaration du 1er Novembre 1954, ont donné le choix aux colons de préserver la nationalité française, ou bien d’adopter la nationalité algérienne.
.....................El khabar..25/9/2009.
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