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La grossesse extra-utérine était au centre de l’intérêt du troisième Work shop algéro-arançais de cœliochirurgie qui s’est ouvert hier au Centre hospitalo universitaire (Chu) Mustapha Bacha d’Alger.
Cette manifestation est organisée par la clinique de gynécologie obstétrique du professeur Addad Bouzid chef de service au Chu d’Alger, a regroupé des gynécologues et chirurgiens de l’ensemble de l'Algérie.
Deux experts français, les professeurs Mahnes et Haag ont encadré cette manifestation scientifique.
On compte 19 expériences nationales et française en matière de grossesse extra-utérine qui ont été passées en revue au cours de cette première journée.
Il s’agit des expérience de Blida, Bologhine, Beni-Messous, El- Harrach, Sidi Yahia, Bordj Bou-Arreridj, Reghaïa, Oran, Zemirli, Tlemcen, Constantine, Annaba et du Centre hospitalier de Vichy (France).
Le professeur Addad Bouzid, chef de service de gynécologie obstétrique au Chu Mustapha Bacha et d’Alger dira : «Cette table ronde nous permettra de déboucher sur un consensus pour la prise en charge et le traitement de la grossesse extra-utérine».
La cœlioscopie et torsion d’annexe seront les thèmes qui seront abordés aujourd’hui au cours de la seconde journée de cette rencontre. Une intervention chirurgicale en direct (live) est aussi prévue en fin de matinée.
La grossesse extra-utérine est l’urgence-type en gynécologie. Sa fréquence a augmenté ces dernières années avec l’évolution des maladies sexuellement transmissibles.
La grossesse extra-utérine met en danger la vie de la patiente et compromet la possibilité d’une grossesse ultérieure.
Cette grossesse qui se développe en dehors de l’utérus, généralement au niveau de la trompe, éclate durant son évolution eu égard au diamètre réduit de la trompe provoquant une hémorragie abdominale.
Le docteur Merrouche Nawel du Chu Mustapha Bacha d’Alger nous dira : «Sur les 6 368 grossesses enregistrées en 2006 au niveau du service gynécologie obstétrique, 33 cas de grossesse extra-utérine ont été prises en charge, ce qui représente un taux de 0,5%.
En 2005, le taux de grossesse extra-utérine était de 0,3%, soit une évolution de 60% en une année.Ce qui prouve que cette pathologie augmente sans cesse». La torsion d’annexe par contre est la rotation de l’ovaire ou de la trompe autour de leur axe empêchant l’arrivée du sang, ce qui entraîne la mort des tissus nécessaires à une grossesse.
La cœlioscopie qui est une intervention chirurgicale sans ouvrir le ventre permet de détordre cette torsion pour sa vitalité ou de supprimer si elle est morte sans préjudice esthétique.
A signaler que ce troisième Work shop algéro-français de cœlioscopie gynécologique est sponsorisé par le géant du médicament GSK.
Par la Nouvelle république
Cette manifestation est organisée par la clinique de gynécologie obstétrique du professeur Addad Bouzid chef de service au Chu d’Alger, a regroupé des gynécologues et chirurgiens de l’ensemble de l'Algérie.
Deux experts français, les professeurs Mahnes et Haag ont encadré cette manifestation scientifique.
On compte 19 expériences nationales et française en matière de grossesse extra-utérine qui ont été passées en revue au cours de cette première journée.
Il s’agit des expérience de Blida, Bologhine, Beni-Messous, El- Harrach, Sidi Yahia, Bordj Bou-Arreridj, Reghaïa, Oran, Zemirli, Tlemcen, Constantine, Annaba et du Centre hospitalier de Vichy (France).
Le professeur Addad Bouzid, chef de service de gynécologie obstétrique au Chu Mustapha Bacha et d’Alger dira : «Cette table ronde nous permettra de déboucher sur un consensus pour la prise en charge et le traitement de la grossesse extra-utérine».
La cœlioscopie et torsion d’annexe seront les thèmes qui seront abordés aujourd’hui au cours de la seconde journée de cette rencontre. Une intervention chirurgicale en direct (live) est aussi prévue en fin de matinée.
La grossesse extra-utérine est l’urgence-type en gynécologie. Sa fréquence a augmenté ces dernières années avec l’évolution des maladies sexuellement transmissibles.
La grossesse extra-utérine met en danger la vie de la patiente et compromet la possibilité d’une grossesse ultérieure.
Cette grossesse qui se développe en dehors de l’utérus, généralement au niveau de la trompe, éclate durant son évolution eu égard au diamètre réduit de la trompe provoquant une hémorragie abdominale.
Le docteur Merrouche Nawel du Chu Mustapha Bacha d’Alger nous dira : «Sur les 6 368 grossesses enregistrées en 2006 au niveau du service gynécologie obstétrique, 33 cas de grossesse extra-utérine ont été prises en charge, ce qui représente un taux de 0,5%.
En 2005, le taux de grossesse extra-utérine était de 0,3%, soit une évolution de 60% en une année.Ce qui prouve que cette pathologie augmente sans cesse». La torsion d’annexe par contre est la rotation de l’ovaire ou de la trompe autour de leur axe empêchant l’arrivée du sang, ce qui entraîne la mort des tissus nécessaires à une grossesse.
La cœlioscopie qui est une intervention chirurgicale sans ouvrir le ventre permet de détordre cette torsion pour sa vitalité ou de supprimer si elle est morte sans préjudice esthétique.
A signaler que ce troisième Work shop algéro-français de cœlioscopie gynécologique est sponsorisé par le géant du médicament GSK.
Par la Nouvelle république