Des fois je dépose des textes assez vieux, alors je m’excuse s’il peuvent paraitre obsolètes!"
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Dire qu'on part
Et ne point partir que pour rester
Peut importe que l'on fasse appel
A l'improvise espoir,
Fatum, destin ou bien fatalité
Pourvu qu'une chaste renaissance
Amplement habile que notre réalité
Vienne renouveler nos rêves consumés..
C'est dans ces rêves jadis nargués
Aux agréments des vents d'ambivalences
C'est dans ces rêves ordonnés futiles..
Loin du commun,
De l'intérêt antique,
De la routine à déchirure,
Au continent apolitiques
Où l'âme à l'état pure,
N'a nulle crainte de s'envoler..
Peut importe que l'on fasse appel
A l'improvise espoir,
Fatum, destin ou bien fatalité
Pourvu qu'une chaste renaissance
Amplement habile que notre réalité
Vienne renouveler nos rêves consumés..
C'est dans ces rêves jadis nargués
Aux agréments des vents d'ambivalences
C'est dans ces rêves ordonnés futiles..
Loin du commun,
De l'intérêt antique,
De la routine à déchirure,
Au continent apolitiques
Où l'âme à l'état pure,
N'a nulle crainte de s'envoler..
Dire qu'on part..
Par les sentiers ou vous rattrape la distance
Quand l'épreuve devient un feuilleton interminable
Comme un vertige qui vous timbre la conscience
Comme un concert assourdissant !
A la tangente rythmique de sa danse
Par les sentiers ou vous rattrape la distance
Quand l'épreuve devient un feuilleton interminable
Comme un vertige qui vous timbre la conscience
Comme un concert assourdissant !
A la tangente rythmique de sa danse
Aux labyrinthes de l'inconnu imminent,
Aux malheur à plaindre dans nos prières,
Désormais fléau à la courbure des ères
Que la nuit soit rude au plus pis possible !
Que le jour ait déchu air et lumière !
Car soleil comme lune, à ce qu'on vous nie
En plein milieu de la foule, la solitude amère ;
Ont bien étaient venin dans la gorge..
Aux malheur à plaindre dans nos prières,
Désormais fléau à la courbure des ères
Que la nuit soit rude au plus pis possible !
Que le jour ait déchu air et lumière !
Car soleil comme lune, à ce qu'on vous nie
En plein milieu de la foule, la solitude amère ;
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