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Liban: President Sleimane critique Israël

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  • Liban: President Sleimane critique Israël

    Le président libanais Michel Suleiman a demandé à l'Assemblée générale de l'ONU de forcer Israël à se retirer des territoires occupés.


    Le président libanais a déclaré qu'Israël devait cesser ses violations quotidiennes de la souveraineté du Liban, et ses menaces continuelles envers les institutions et infrastructures du Liban. Michel Suleiman a aussi indiqué que la question palestinienne était au coeur du conflit au Moyen-Orient. Il a exprimé l'espoir que l'ONU persiste dans ses tentatives pour faire respecter les droits et établir la justice, à travers des efforts internationaux actifs et impartiaux.


    "Le recours à la force par Israël, pour imposer un fait accompli, est futile et ne pourra affaiblir ni la volonté ni la détermination du peuple arabe à restaurer leurs droits. Les solutions partiales et unilatérales ne permettent pas d'obtenir une vraie paix. Les solutions injustes ne durent pas."

    video Tv Chinoise - programme francophone

    http://fr****tv.com/program/journal/...6/101406.shtml
    http://www****tv.com/francais/info/index.shtml
    Dernière modification par Sioux foughali, 27 septembre 2009, 07h55.

  • #2
    http://www.lorientlejour.com/categor...a_la_paix.html



    Sleiman exhorte le monde à « prendre des mesures contraignantes » pour amener Israël à la paix



    Liban
    Sleiman exhorte le monde à « prendre des mesures contraignantes » pour amener Israël à la paix



    S'adressant à l'Assemblée générale des Nations unies, lors de sa 64e session générale, hier, le président Michel Sleiman a exhorté la communauté internationale à « commencer à prendre les mesures contraignantes susceptibles d'amener Israël à honorer ses obligations internationales à l'égard du processus de paix ».

    Pour le chef de l'État, qui a été vivement applaudi, les « composantes principales » d'un règlement de la question du Proche-Orient sont le respect de la légalité internationale, la Conférence de Madrid et l'initiative de paix arabe. Il a particulièrement insisté sur l'attachement du Liban au respect de la résolution 1701 et le refus de l'implantation.
    Sur le plan interne, le chef de l'État a parlé du processus de formation d'un gouvernement d'union nationale, affirmant qu'il « permettra de relancer la dynamique de l'action étatique et de lancer le chantier des réformes (...) que les Libanais appellent de leurs vœux.

    Voici des extraits significatifs du discours du président Sleiman :
    « Une solution à la question du Proche-Orient nécessite avant tout une véritable volonté politique chez les différentes parties concernées d'aller vers la paix et de se conformer à ses exigences. Cependant, une telle volonté n'existe pas chez la partie israélienne où la polémique se poursuit, tant au niveau gouvernemental que sur le plan populaire, sur la pertinence et la convenance d'une paix juste. Dans le même sens, Israël ne cesse de lancer des menaces d'agression et de guerre comme moyen d'imposer sa domination et son hégémonie et de consacrer le fait accompli, si ce n'est dans une intention d'expansionnisme, de déportation de populations et de violation de droits des peuples palestinien et arabes. En contrepartie, les États arabes ont soumis une initiative de paix globale approuvée à l'unanimité au Sommet de Beyrouth en 2002.
    « Il est donc aujourd'hui plus que jamais nécessaire d'exhorter la communauté internationale à commencer à prendre les mesures contraignantes adéquates pour amener Israël à honorer ses obligations internationales à l'égard du processus de paix, dans des délais bien définis et raisonnables, conformément aux recommandations du dernier Sommet arabe qui s'est tenu à Doha. Sinon, comment parviendrons-nous à convaincre nos peuples de l'aptitude de la communauté internationale à imposer une solution globale et juste des diverses dimensions du conflit du Proche-Orient, y compris le retrait de tous les territoires arabes occupés et l'instauration d'un État palestinien indépendant avec Jérusalem pour capitale, alors que cette communauté n'a pas été jusqu'ici en mesure de contraindre Israël à arrêter la construction de ses colonies, de lever le blocus arbitraire de Gaza et de mettre fin aux opérations de judaïsation de la terre à Jérusalem ».

    L'éternelle question de l'implantation
    « (...) Une telle solution, a poursuivi le chef de l'État, ne pourrait, en aucun cas, outrepasser le droit naturel et légitime des Palestiniens au retour dans leur terre et leur pays d'origine et ne saurait se produire sans la participation des pays hôtes ou en contradiction avec leur souveraineté, leurs situations particulières ou leurs intérêts nationaux. D'où le refus exprimé par le Liban de l'implantation des réfugiés palestiniens sous toutes ses formes sur son territoire, dans le souci de préserver leur droit au retour et de respecter les stipulations de sa Constitution et de son pacte national, une position sur laquelle il ne saurait faire de concessions et à laquelle il n'acceptera jamais de renoncer. Cela dit, je saisis l'occasion pour exprimer notre gratitude aux États qui commencent à se montrer compréhensifs vis-à-vis de cette position libanaise et disposés à la défendre.
    « (...) Alors que les consultations pour la formation d'un gouvernement vont bon train, conformément aux dispositions de la Constitution et des exigences de la recherche du consensus, nous souhaitons que soit formé un gouvernement d'union nationale sans plus tarder, ce qui permettra de relancer la dynamique de l'action étatique et de lancer le chantier des réformes politiques, administratives et judiciaires que les Libanais appellent de leurs vœux. Un gouvernement qui, en définitive, s'emploiera à servir les intérêts de son peuple, afin de pouvoir réussir et aller de l'avant. Dans le même ordre d'idées, trois ans s'étant écoulés depuis l'adoption par le Conseil de sécurité de la résolution 1701, le Liban affirme aujourd'hui qu'il est indispensable de poursuivre les efforts en vue d'amener Israël à se conformer à toutes les dispositions de ladite résolution, en particulier l'obligation de se retirer de tous les territoires libanais qu'il continue d'occuper dans les fermes de Chebaa, les collines de Kfarchouba et la partie nord du village de Ghajar et d'arrêter ses violations quotidiennes de la souveraineté libanaise et ses menaces réitérées contre le Liban, ses institutions et son infrastructure...
    « À cet égard, le Liban tient à saluer le rôle assumé par la Finul (...) Par ailleurs, le Liban n'aura de cesse d'appeler la communauté internationale à œuvrer en vue d'amener Israël à dédommager convenablement le Liban pour les dégâts considérables occasionnés par ses attaques répétées contre son territoire, y compris les dommages causés par la marée noire qui s'est répandue sur les côtes libanaises suite à l'attaque israélienne menée contre la centrale électrique de Jiyeh durant l'été 2006. »
    En marge de l'Assemblée générale de l'ONU, le chef de l'État a rencontré les présidents français, Nicolas Sarkozy, et iranien, Mahmoud Ahmadinejad. Par ailleurs, le président Sleiman s'est entretenu avec l'émir du Qatar, le Premier ministre turc et le ministre égyptien des Affaires étrangères.
    Pour sa part, le chef de la diplomatie, Faouzi Salloukh, a participé aux cérémonies marquant le 60e anniversaire de la création de l'Unrwa.
    Dernière modification par Sioux foughali, 27 septembre 2009, 07h53.

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    • #3
      Le président libanais a déclaré qu'Israël devait cesser ses violations quotidiennes de la souveraineté du Liban, et ses menaces continuelles envers les institutions et infrastructures du Liban.
      Que fait l’armée libanaise...

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      • #4
        video en arabe


        video en français sur chaine internationale chinoise CCCtv

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        • #5
          L'armée libanaise a arrêté plus d'espions israeliens en 3 mois que tous les pays arabes reunis.

          L'armée libanaise est venu à bout à Nahr Al Bahred d'une tentative teleguidée d'implosion du Liban par le biais d'un groupe salafiste guerrier .

          Un groupe salafiste guerrier allié objectif des Cheney and Co et de cercles louches saoudiens ..pour creer un front armé contre le Hezbollah ... .selon differentes sources libanaises
          Dernière modification par Sioux foughali, 26 septembre 2009, 23h43.

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          • #6
            Et si il y a finalement poire coupée en deux sur le ministere des telecoms ( Qu'Aoun voulait pour un proche ) ...le gouvernement d'union nationale integrant Aoun et Hezbollah..verra le jour

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            • #7
              J espere que les occidentaux et arabes alliés ou modérés vont tout faire pour écarter ces gansters de hezbollah(on sait ou ca mene ces énerguments au pouvoir).
              Aucun pays ne devrait discuter avec ses energuménes qui ont fait souffrir le peuple libannais .

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              • #8
                NORTHCAROLINA,JE SUPPOSE QUE TES UNE JUIVE?JE LE SAIS,VOUS AVEZ TOUJOURS LA TENDANCE A INVERSE LES ROLES.QUI EST PLUS TERRORISTE ENTRE TSAHAL ET LE HEZ,MOI J AI MON IDEE ET C SURMENT PAS LE HEZBO,LE MONDE ENTIER VOUS REGARDENT FAIRE DES CRIMES CONTRE L HUMANITE.LA DONNE VA BIENTOT CHANGER ENVERS LES PALESTINIENS ET JE SERAIS LE PREMIER A ME TORCHE AVEC TON DRAPEAU

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                • #9
                  Gloire Au Hezbollah

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                  • #10
                    Israel est un etat violent et raciste ca on le sait tous,cela dit, la menace la plus sérieuse qui pèse sur le liban c'est celle du hezbollah....elle a pas entierement tord.

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                    • #11
                      quelle type de menace ?

                      demain est un autre jour, la coalition du 8 Mars porte en elle, par delà les leaders qui la composent , des germes prometteurs de revolution du mental libanais......apres des decennies d'inequités. les 30 % de libanais chiites ou de culture religieuse chiite sont aussi libanais ! Apres des decennies de divisions encouragées à l'interieur et à l'exterieur.

                      Tous libanais patriotes , tous unis ....ce projet c'est plus la coalition du 8 mars qui le porte ......et d'ailleurs même Joumblatt du Parti Druze membre de la coalition du 14 mars semble un peu le reconnaître desormais .

                      Hariri , leader de la coalition du 14 Mars , n'a t il pas fini par dire..si gouvernement d'union nationale il y a..''le Hezbollah en fera partie ..que ça plaise ou non ''

                      Hommage à la peut être imparfaite mais ô combien prometteuse coalition du 8 Mars

                      Dernière modification par Sioux foughali, 26 septembre 2009, 23h18.

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                      • #12
                        Hariri , leader de la coalition du 14 Mars , n'a t il pas fini par dire..si gouvernement d'union nationale il y a..''le Hezbollah en fera partie ..que ça plaise ou non ''
                        bah tu sais,il a pas trop le choix.s'il fait pas ce qu'ils veulent il se fera botter le Cu.l comme pendant les evenements du 10 mai 2008 quand le hezbollah avait envahit beyrouth et encerclé les domiciles des pricipaux leader du 14 mars y compris sa villa de koraytim.
                        regerdez ca: http://www.youtube.com/watch?v=cMBACG01oMQ

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                        • #13
                          en attendant la paix...

                          ...il serait peut-être tout à fait juste que le "fruit" d'une colonie ayant donné lieu et acte à ces longs et irrésolus "litiges" puisse redonner les sens exacts de sa seule définition, intérieurement certains d'entre eux pourraient être susceptibles "d'affirmer" peu ou pas du tout quelques vérités, qu'elles soient politiques, populaires, humaines ou conventionnelles...du présent, ces états de faits, comme nulle part dans le "monde", se rendent au déséquilibre pluri-circonférenciels des états voisins et muti-circonstanciels des rencontres "mondiales"... du fait à cet actuel exemple, l'état en question autoriserait-il la venue d'un peuple ayant subi d'importantes difficultés humaines et naturelles ou ce peuple doit-il s'adresser ou se poursuivre auprès des "organisations mondiales" dont il dépend résoluement,... la non-résolution coloniale et historique d'un seul état demeure en ce nouveau siècle plus étrange que moderne...salam, merci
                          ...Rester Humain pour le devenir de l'Homme... K.H.R.

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                          • #14
                            Le Président Sleiman insiste sur la formation d’un gouvernement d’union

                            Sleiman insiste sur la formation d’un gouvernement d’union

                            Par Hoda CHÉDID | 29/09/2009

                            Baabda Depuis son retour de New York où il a présidé la délégation officielle libanaise à l'Assemblée générale des Nations unies, le président Michel Sleiman suit de près l'évolution des consultations engagées par le Premier ministre désigné, Saad Hariri, pour former son équipe.

                            Devant ses visiteurs, le chef de l'État, Michel Sleiman, a réaffirmé son espoir d'une formation rapide du cabinet et a insisté sur la mise en place d'un gouvernement d'union nationale « auquel toutes les parties participeront, sans exception aucune ». Toujours selon ses visiteurs, M. Sleiman a estimé que « la situation de fait qui a découlé des élections nécessite la présence de ce genre de gouvernement qui a à affronter de nombreux défis, à tous les niveaux ». Les dirigeants arabes et occidentaux rencontrés par le chef d'État durant son séjour à New York avaient tous exprimé le même souhait à différentes occasions.
                            Selon des sources informées des entretiens du président au Palais de Verre, ces derniers ont souligné la volonté de leurs pays respectifs d'aider le Liban à tous les niveaux et auraient assuré qu'ils soutenaient la candidature de Beyrouth à l'un des sièges non permanents du Conseil de sécurité pour un mandat de deux ans.

                            De mêmes sources, on a mis l'accent sur le caractère positif de toutes les discussions engagées par M. Sleiman avec ses homologues, notamment de l'entretien avec le président américain, Barack Obama, même s'il n'a duré qu'une dizaine de minutes durant la réception donnée par ce dernier en l'honneur des chefs d'État. Le président américain a assuré son homologue libanais du soutien de Washington aux efforts des Libanais pour réédifier l'État et a affirmé que le dossier des réfugiés palestiniens constitue une priorité pour Washington aussi. Il a aussi insisté sur le fait qu'un règlement régional ne se fera pas au détriment du Liban.
                            Selon les mêmes sources, l'entretien du président Sleiman avec son homologue français, Nicolas Sarkozy, a eu lieu en trois étapes et s'est inscrit dans le cadre de l'appui français au Liban.


                            source : ''l'orient le jour''

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