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Le tabouret de Sarkozy
Le président français Nicolas Sarkozy semble avoir de sérieux problèmes avec sa petite taille. Au pupitre de l’ONU il a exigé une estrade pour prononcer son discours à la 64e session de l’Assemblée générale.
D’où les quolibets émanant des médias surtout anglais. Le Daily Mail a eu ce titre: «Le président français utilise un podium pour prouver qu’il est à la hauteur de Brown et Obama.»
Ce n’est pas la première fois que Sarkozy attire l’attention sur sa taille. Le 3 septembre dernier alors qu’il était en visite à l’usine de Faurecia, en Normandie, la télévision belge Rtbf, qui couvrait l’événement, a rapporté l’entretien qu’a eu son journaliste avec une salariée présente parmi les ouvriers en tablier blanc, se tenant sur le podium où le président français a prononcé son discours: «On m’a dit que vous avez été choisie sur un critère de taille. Est-ce que c’est vrai?», interroge le correspondant de la chaîne belge. «Oui», répond cette femme. «Il ne faut pas être plus grand que le président?», insiste le journaliste. «Voilà», répond l’employée. Aucun psy français n’a commenté ce qui semble bien être un sérieux complexe.
L'Expression
D’où les quolibets émanant des médias surtout anglais. Le Daily Mail a eu ce titre: «Le président français utilise un podium pour prouver qu’il est à la hauteur de Brown et Obama.»
Ce n’est pas la première fois que Sarkozy attire l’attention sur sa taille. Le 3 septembre dernier alors qu’il était en visite à l’usine de Faurecia, en Normandie, la télévision belge Rtbf, qui couvrait l’événement, a rapporté l’entretien qu’a eu son journaliste avec une salariée présente parmi les ouvriers en tablier blanc, se tenant sur le podium où le président français a prononcé son discours: «On m’a dit que vous avez été choisie sur un critère de taille. Est-ce que c’est vrai?», interroge le correspondant de la chaîne belge. «Oui», répond cette femme. «Il ne faut pas être plus grand que le président?», insiste le journaliste. «Voilà», répond l’employée. Aucun psy français n’a commenté ce qui semble bien être un sérieux complexe.
L'Expression