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Vers un mouvement diplomatique dans les grandes capitales
Amar Bendjemaâ, ambassadeur d’Algérie à Bruxelles
L’ancien secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et ambassadeur conseiller, Amar Bendjemaâ, a été nommé ambassadeur plénipotentiaire de la République algérienne à Bruxelles en remplacement de Halim Benatallah.
Cette nomination qui intervient dans la
foulée du nouveau remaniement diplomatique effectué par le chef de l’État laisse penser à un mouvement plus large qui concernera les grandes capitales comme Paris, Londres, Rabat, Tunis, Le Caire et Madrid, à l’exception de Washington dont le changement avait été effectué en septembre 2008 avec la nomination de Baâli, ancien représentant de l’Algérie auprès des Nations unies.
Il reste à s’interroger sur les raisons du changement intervenu pour la capitale de l’Union européenne, d’autant que le rappel de Halim Benatallah à Alger intervient à une année du bilan de l’accord d’association signé avec l’Algérie par rapport à certains axes de la coopération. Une question alors : Benatallah suivra-t-il le dossier à partir d’Alger ou s’achemine-t-on vers une nouvelle définition des relations algéro-européennes ?
Liberté
Amar Bendjemaâ, ambassadeur d’Algérie à Bruxelles
L’ancien secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et ambassadeur conseiller, Amar Bendjemaâ, a été nommé ambassadeur plénipotentiaire de la République algérienne à Bruxelles en remplacement de Halim Benatallah.
Cette nomination qui intervient dans la
foulée du nouveau remaniement diplomatique effectué par le chef de l’État laisse penser à un mouvement plus large qui concernera les grandes capitales comme Paris, Londres, Rabat, Tunis, Le Caire et Madrid, à l’exception de Washington dont le changement avait été effectué en septembre 2008 avec la nomination de Baâli, ancien représentant de l’Algérie auprès des Nations unies.
Il reste à s’interroger sur les raisons du changement intervenu pour la capitale de l’Union européenne, d’autant que le rappel de Halim Benatallah à Alger intervient à une année du bilan de l’accord d’association signé avec l’Algérie par rapport à certains axes de la coopération. Une question alors : Benatallah suivra-t-il le dossier à partir d’Alger ou s’achemine-t-on vers une nouvelle définition des relations algéro-européennes ?
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