Suite à un échange sur la prestation de Tariq Ramadan chez Ruqier, j’ouvre ce fil pour continuer la discussion.
Le point de départ est pour répondre à ibnrochd suite à mon intervention suivante :
Les réponses d’ibnrochd :
Le contraire de quoi :
- On devrait demander à dieu de nous raffermir la foi ?
- Personne n’est à l’abri d’une diminution de foi ?
- Le savoir théologique vise d’abord à parfaire la pratique plutôt que de combler un manque de culture ?
Le questionnement est le chemin de la foi, la voie d’Ibrahim (Alayhi assalam). Par contre ce questionnement n’est pas une fin en soi et il est indissociable d’une demande sincère à dieu de nous guider et de nous donner la certitude, stade ultime de la foi.
Comment cela ?
Peux-tu développer stp?
Il faut être cohérent dans la vie : accuses-tu le texte (quelqu’il soit) à chaque fois que tu éprouves des difficultés à en faire la projection dans « le réel » ?
Pour servir les autres, pour vivre une vie meilleur dans ce monde et l’au-delà (cf. An Nahl 97) ?
Désolé si je ne partage pas cette croyance du grand complot des religieux sadiques qui font bloc pour tromper le bon petit croyant que nous sommes tous. Dieu a pris l’engagement de préserver son livre et donc nécessairement la langue qui nous permet de le comprendre, la bonne récitation pour le lire et la sunna authentique pour l’expliquer.
Ceci est le degré zéro de la foi en islam. Si on ne l’a pas, le débat est tout autre.
La vie est elle-même une prison, au mieux, une salle d’attente. Il n’y a que la foi pour rendre cette attente plus douce et le départ plus désirable.
Le sentiment d’oppression que certains pourraient ressentir n’est que la douleur nécessaire pour briser les chaînes de la servitude envers tous ce qui est éphémère : notre santé, notre confort, nos biens terrestres, nos envies…
Dieu dans sa miséricorde ne fait pas souffrir ses serviteurs par des passions qu’ils ont consenti à abandonner pour lui plaire, sois-en sûr !
Ca peut être vrai dans certains cas…
Supposons que ça soit le cas, que proposes-tu ? Qu’ils se lâchent ?
Notre religion dans sa sagesse s’est beaucoup intéressée aux relations entre individus dans la société : celui qui initie une bonne œuvre a le même mérite que ceux qui la feront après lui, ce qui encourage le travail dans ce sens. Idem pour celui qui initie une mauvaise œuvre, tendance ou exemple. Montrer son pire visage ne soulagera personne mais encouragera pour sûr à faire baisser les standards à récolter autant de torts qu'on a contribué à faire apparaître chez les autres.
Et puis, qu’est-ce qui est préférable pour les générations futures : naître dans une société où tout est à recommencer, où le milieu n’est pas favorable ou plutôt l’inverse ?
Toujours ce complot des savants… Que penser alors des savants morts pauvres, en prison ou torturés hier et aujourd’hui et qui sont tout aussi « figés » et « rigoristes »?
On ne pourrait pas parler des secondes sans abandonner les premières ?
Le point de départ est pour répondre à ibnrochd suite à mon intervention suivante :
Demandons à dieu qu'il nous raffermisse dans sa foi (personne n'est à l'abri!) pour qu'au moins on n'ait pas à se poser ce genre de questionnement à notre petit niveau de citoyen lambda (le savoir théologique étant une connaissance pratique avant d'être une culture).
je pense exactement le contraire
- On devrait demander à dieu de nous raffermir la foi ?
- Personne n’est à l’abri d’une diminution de foi ?
- Le savoir théologique vise d’abord à parfaire la pratique plutôt que de combler un manque de culture ?
la foi ne doit pas etre un frein aux questionnement de tous genre .
elle doit etre etre mise a l'epreuve du reel ...
la verité des chose ne saurait pour un croyant etre en contradiction avec la realité divine et dieu nous impose de chercher le reel ..la verité ..si tu la trouve tu trouveras dieu ..
si tu trouve une verité contraire au texte c'est que tu lis mal ou interprete mal le texte .
si non pourquoi la raison ? pourquoi cette capacité extraordinaire .
loin de chercher la verité ..certain ont prit la parole d'allah ..l'on enrobé; recadré , travesti meme parfois au non du pouvoir ...
Ceci est le degré zéro de la foi en islam. Si on ne l’a pas, le débat est tout autre.
d'une religion liberatrice on a fait un systeme de coercision , une prison mentale ...
Le sentiment d’oppression que certains pourraient ressentir n’est que la douleur nécessaire pour briser les chaînes de la servitude envers tous ce qui est éphémère : notre santé, notre confort, nos biens terrestres, nos envies…
Dieu dans sa miséricorde ne fait pas souffrir ses serviteurs par des passions qu’ils ont consenti à abandonner pour lui plaire, sois-en sûr !
et le pire c'est qu'on considere ses savant comme une verité supreme . et l'adoration de dieu s'est transformé en "adoration" des cheikh flene ou feltene .. on parles plus de kala ibn/abou machin que de coran.
le processus est bien connu : c'est celui de la religiosiré (tadahour biddine) .
Notre religion dans sa sagesse s’est beaucoup intéressée aux relations entre individus dans la société : celui qui initie une bonne œuvre a le même mérite que ceux qui la feront après lui, ce qui encourage le travail dans ce sens. Idem pour celui qui initie une mauvaise œuvre, tendance ou exemple. Montrer son pire visage ne soulagera personne mais encouragera pour sûr à faire baisser les standards à récolter autant de torts qu'on a contribué à faire apparaître chez les autres.
Et puis, qu’est-ce qui est préférable pour les générations futures : naître dans une société où tout est à recommencer, où le milieu n’est pas favorable ou plutôt l’inverse ?
les masses musulmanes tres attachée a la religion et acculturés par la colonisation pousseront toujours vers un islam figés rigoristes et les savant actuel le savent bien et il profitent de cela en allant dans ce sens ...
les questions infinies sur les yadjouz la yadjouz sont la pour tenir le peuple loin des question de fond : la justice et la lutte contre la pauvreté .
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