L’année du renouveau économique
L’Algérie termine l’année 2005 par une note d’optimisme et d’espoir. Jamais les indicateurs économiques et financiers n’ont été aussi excellents et encourageants comme l’attestent tous les clignotants qui sont tous au vert. Le chômage qui était au rouge a viré à l’orange, en peu de temps et selon les tendances objectives et observées jusqu’à présent, il retrouvera dans un très proche avenir, un niveau très acceptable.
Tous les observateurs ont relevé cette bonne santé économique et financière de notre pays. Le va-et-vient incessant des hommes d’affaires, d’industriels et de banquiers prouve, si besoin est, que l’Algérie se trouve sur un «trend» porteur et qui offre d’excellentes opportunités d’investissements. De même, les institutions internationales en général, et les institutions de Bretton Woods, en particulier, ne tarissent pas d’éloges sur la bonne tenue des indicateurs du cadre macro-économique, d’une part, et la volonté et la détermination de notre pays de parachever les profondes réformes structurelles, d’autre part. Les réformes sont menées au rythme voulu, tout en créant une situation irréversible. Que ce soit pour la réforme tant attendue du système bancaire que celle relative au secteur public productif, le processus est en cours et ne cesse de s’amplifier.Cependant, la grande nouvelle de cette année est le démarrage effectif du programme de soutien à la croissance économique, s’étalant sur 5 ans et nécessitant 60 milliards de dollars. C’est le prolongement du PSRE qui, lui, a nécessité 7,5 milliards de dollars, consommés en 3 ans. Le programme quinquennal transformera radicalement le visage de l’Algérie. En effet, il donnera une formidable impulsion aux infrastructures de base et ce, dans tous les secteurs d’activité. Ainsi, tous les grands projets (autoroute, rail, métro, ligne à grande vitesse, logements, barrages...) seront entamés, et, pour la plupart d’entre eux, complètement achevés. Le retard cumulé sera comblé et, mieux que cela, l’Algérie sera dans le peloton de tête des pays émergents. Car, en plus de son potentiel agricole, minier, énergétique et industriel, couplé à la qualité de sa population et de ses infrastructures éducatives et sociales, ce programme quinquennal renforcera tous ses atouts. D’ailleurs, les institutions internationales ont unanimement salué la politique économique et sociale de l’Algérie et sa volonté de construire des infrastructures de base selon les normes internationales. Elles y voient là l’indice le plus probant de mieux relever les défis de la mondialisation. A ce programme quinquennal, le gouvernement a décidé de lancer un programme complémentaire en faveur de la région sud du pays, dont les conditions naturelles et climatiques sont si difficiles, doté d’une enveloppe de 600 milliards de dinars.
Ce qu’il convient de retenir, c’est ce que cette stratégie de développement renforcera considérablement la croissance économique et permettra ainsi de résorber le chômage. En outre, elle contribuera à améliorer les conditions de vie quotidiennes des citoyens.
C’est dire que l’année 2005 est annonciatrice d’un renouveau palpable, tangible et plein d’espérances pour notre peuple. L’Algérie entamera l’année 2006 avec beaucoup d’optimisme et d’espoir car toutes les conditions objectives sont réunies pour écrire une nouvelle page de son histoire.
El-Moujahid (Raouf C.) 27 décembre 2005
L’Algérie termine l’année 2005 par une note d’optimisme et d’espoir. Jamais les indicateurs économiques et financiers n’ont été aussi excellents et encourageants comme l’attestent tous les clignotants qui sont tous au vert. Le chômage qui était au rouge a viré à l’orange, en peu de temps et selon les tendances objectives et observées jusqu’à présent, il retrouvera dans un très proche avenir, un niveau très acceptable.
Tous les observateurs ont relevé cette bonne santé économique et financière de notre pays. Le va-et-vient incessant des hommes d’affaires, d’industriels et de banquiers prouve, si besoin est, que l’Algérie se trouve sur un «trend» porteur et qui offre d’excellentes opportunités d’investissements. De même, les institutions internationales en général, et les institutions de Bretton Woods, en particulier, ne tarissent pas d’éloges sur la bonne tenue des indicateurs du cadre macro-économique, d’une part, et la volonté et la détermination de notre pays de parachever les profondes réformes structurelles, d’autre part. Les réformes sont menées au rythme voulu, tout en créant une situation irréversible. Que ce soit pour la réforme tant attendue du système bancaire que celle relative au secteur public productif, le processus est en cours et ne cesse de s’amplifier.Cependant, la grande nouvelle de cette année est le démarrage effectif du programme de soutien à la croissance économique, s’étalant sur 5 ans et nécessitant 60 milliards de dollars. C’est le prolongement du PSRE qui, lui, a nécessité 7,5 milliards de dollars, consommés en 3 ans. Le programme quinquennal transformera radicalement le visage de l’Algérie. En effet, il donnera une formidable impulsion aux infrastructures de base et ce, dans tous les secteurs d’activité. Ainsi, tous les grands projets (autoroute, rail, métro, ligne à grande vitesse, logements, barrages...) seront entamés, et, pour la plupart d’entre eux, complètement achevés. Le retard cumulé sera comblé et, mieux que cela, l’Algérie sera dans le peloton de tête des pays émergents. Car, en plus de son potentiel agricole, minier, énergétique et industriel, couplé à la qualité de sa population et de ses infrastructures éducatives et sociales, ce programme quinquennal renforcera tous ses atouts. D’ailleurs, les institutions internationales ont unanimement salué la politique économique et sociale de l’Algérie et sa volonté de construire des infrastructures de base selon les normes internationales. Elles y voient là l’indice le plus probant de mieux relever les défis de la mondialisation. A ce programme quinquennal, le gouvernement a décidé de lancer un programme complémentaire en faveur de la région sud du pays, dont les conditions naturelles et climatiques sont si difficiles, doté d’une enveloppe de 600 milliards de dinars.
Ce qu’il convient de retenir, c’est ce que cette stratégie de développement renforcera considérablement la croissance économique et permettra ainsi de résorber le chômage. En outre, elle contribuera à améliorer les conditions de vie quotidiennes des citoyens.
C’est dire que l’année 2005 est annonciatrice d’un renouveau palpable, tangible et plein d’espérances pour notre peuple. L’Algérie entamera l’année 2006 avec beaucoup d’optimisme et d’espoir car toutes les conditions objectives sont réunies pour écrire une nouvelle page de son histoire.
El-Moujahid (Raouf C.) 27 décembre 2005
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