Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Les enfants de harkis ont beaucoup payé pour leur père

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Les enfants de harkis ont beaucoup payé pour leur père

    Au moment où la France annonce la création d’une fondation sur la guerre d’Algérie ainsi qu’une série de mesures en faveur des harkis, retour sur une tragédie avec Rabah Zanoun, réalisateur du Le choix de mon père.


    Hier, en France, c’était la Journée nationale d’hommage aux harkis, ces soldats d’origine algérienne qui se sont battus, entre 1957 et 1962, aux côtés de l’armée française contre des Algériens qui revendiquaient l’indépendance. En tant que fils de harki, cette Journée d’hommage représente-t-elle quelque chose ?
    D’abord, je ne me considère pas comme un fils de harki. Cela tendrait à dire que je reconnais un « statut » ou une « appellation », chose que je ne revendique pas. Donc, je ne parlerai pas en tant que fils de harki, mais en tant que citoyen français. Je suis né en France, j’ai fait mes études dans ce pays, j’y vis et j’y travaille. Comme toutes les commémorations, cette journée a plutôt une valeur de symbole. Elle cherche, à mon avis, surtout à satisfaire des revendications politiques, et une reconnaissance d’une souffrance. Etait-elle attendue ? De moins en moins. Cette journée reconnaît le mérite des harkis, mais il ne règle en aucun cas le problème. A savoir, la responsabilité de la France, la libre circulation, l’effort que doit fournir ce pays à ces personnes. Cette journée s’est installée dans le paysage commémoriel français, mais elle est dissipée dans la multitude de journées d’hommage.
    Le mot « harki » vient d’un mot arabe qui signifie « mouvement », mais aussi « escarmouche » ou « guérilla ». Mais en France ou en Algérie, il est synonyme, dans l’imaginaire collectif, du mot « traître ». Les harkis s’étant rendus coupables de nombreux massacres contre les Algériens. Une proposition de loi française vient d’être déposée en France pour punir ceux qui insultent les harkis. Fallait-il le faire ?
    Malheureusement, cela risque de ne pas changer grand-chose. Vous savez, depuis la fin de la guerre, les harkis n’ont cessé d’être l’objet d’insultes, de la part des Algériens mais aussi d’une partie des Français, particulièrement de gauche. Georges Frèche, président de la Région Languedoc-Roussillon, en France, traite les harkis de sous-hommes sans que cela n’émeuve grand monde. Pourtant, l’insulte « sous-hommes », untermensch en allemand, devrait rappeler à beaucoup ce que ce concept a amené en France. Quant au président Bouteflika, qui traite les harkis de collabos, il est dans son rôle : garantir une unité nationale, en bannissant d’une certaine manière les harkis de la vie sociale algérienne. Et il s’est bien rendu compte des dégâts qui ont été faits au sein de la population. Un jour, certainement que l’Algérie se rendra compte, à travers son comportement envers les harkis, de la destruction du lien social dans la nation. D’où tire-t-il sa légitimité ? De son passé révolutionnaire, même si certains pensent que le président algérien a exagérément glorifié son parcours. Je crois qu’il fait surtout plaisir aux moudjahidine, qui représentent encore en Algérie une force puissante.
    Vous êtes l’auteur d’un documentaire diffusé sur France 3, Le choix de mon père, qui raconte l’histoire de votre propre père, membre du FLN, et qui, ayant refusé d’abattre un représentant du MNA en 1959, fut condamné à mort par le FLN et s’engagea dès lors comme harki avec les autorités françaises… En quelques mots, racontez-nous….
    Pour résumer, mon père quitte la Kabylie en 1955 pour émigrer en France. A partir de là, il rejoint le FLN comme sympathisant, et en 1959 il intègre un commando de choc. La mission de ce commando consistait à assassiner un membre du MNA (Mouvement national Algérien), adversaire du FLN. Mon père refuse, se sachant condamné à mort par le FLN pour cela, il trouve refuge auprès des autorités françaises et s’engage comme harki. Et ma volonté pour ce film, a été de comprendre comment on devient harki et non pourquoi, de lever le voile sur une histoire enfouie, une mémoire meurtrie. La plupart des harkis se sont enfermés dans le silence. Oubliés par les Français, méprisés par les Algériens. Mon film est l’occasion de lutter contre les raccourcis historiques.
    Est-ce que cet engagement comme harki était-il un choix forcé par les événements ? N’y avait-il pas d’autres moyens que de s’engager avec les autorités françaises de l’époque ? Votre père passe quand même du FLN à l’armée française…C’est un grand écart !
    Il ne faut pas oublier qu’entre 1954 et 1962, il y a eu une guerre entre la France et les Algériens. A l’époque, la plupart des émigrés algériens en France étaient considérés comme des suspects. Mon père a fait le grand écart, comme vous dites, car sa situation était plus que compromise. Il n’avait aucune possibilité de retourner dans la vie civile. Le FLN voulait sa mort. Il était impossible pour lui de retourner auprès de ses amis et de sa famille. Il ne s’est pas engagé comme harki parce qu’il soutenait la France, il s’est engagé car le FLN voulait l’abattre. Existait-il une autre solution ? C’est sûr qu’aujourd’hui en 2009, il est plus facile de se poser cette question. L’exemple de mon père montre à quel point les harkis ont été pris dans le piège colonial. Les raisons sont multiples, et pour chaque individu s’engager auprès de la France n’était pas une mince affaire. Le grand écart, dont vous parlez, est la situation qui prévalait pour tout Algérien de l’époque. Pour le FLN, vous êtes avec nous ou contre nous, et pour la France, il s’agissait de rallier un maximum d’Algériens afin d’affaiblir le mouvement révolutionnaire.
    Une fois l’Indépendance de l’Algérie acquise, quel a été le sort de votre père ?
    Les accords d’Evian étaient censés protéger les harkis comme les révolutionnaires algériens. Malheureusement, pour nombre d’eux, ce fut le massacre ou le départ forcé pour la France. Quant à mon père, il fut arrêté en juillet 1962 chez lui en Kabylie. Il restera en prison, à Maison Carrée, jusqu’en 1967. Et depuis cette date-là, il vit en France avec ma mère, mes cinq sœurs et mon frère. Durant son incarcération, la période la plus dure a été celle où l’on regroupait les harkis avant de les emmener en prison. De juillet à novembre 1962, il était dans un camp de regroupement, dans le village de Camp de Maréchal. Et là, il a souffert des vexations, humiliations, tortures de la part de ceux qu’on appelle les « martiens », les révolutionnaires de la dernière heure. Dès son arrivée en France, il s’est installé en Lorraine, la sidérurgie avait besoin de beaucoup de main-d’œuvre. C’est aussi, une longue période de silence sur cet épisode de sa vie. On n’a pas envie de transmettre un destin chargé de larmes et de sang à ses enfants. Il est évident que cette incarcération durant cinq ans, sans jugement de la justice algérienne, l’a profondément marqué, lui qui n’a pas de sang sur les mains.
    En Algérie, près de cinquante ans après, le sujet est encore tabou… Les rancoeurs sont souvent légitimes. On se rappelle des propos du président Bouteflika qualifiant les harkis de collabos mais aussi d’autres propos plus apaisés, comme à Oran, où le président algérien a dit : « Le traitement du dossier des familles des harkis après l’Indépendance est l’une des plus graves erreurs commises dans le passé. Nous avons suscité en eux un sentiment de haine et de rancœur, portant ainsi un préjudice au pays. » Il parlait des enfants de harkis devenus membre du FIS puis terroristes pour venger le sort réservé à leurs parents. Vous avez eu des échos sur ces harkis restés en Algérie ?
    Convoquer le passé, recréer un bouc émissaire ont été les arguments du pouvoir pour légitimer la guerre contre le FIS. J’y vois plutôt l’ultime recours d’un Etat qui a échoué à créer une démocratie politique et sociale digne de ce nom. Et qui surtout était dépassé par le « monstre » qu’il a créé, l’islamisme politique.
    Quels sont vos rapports avec l’Algérie aujourd’hui ? Vous pouvez y aller ?
    Longtemps, j’ai refusé d’aller en Algérie. J’avais d’autres pays à visiter. Ce pays ne m’attirait pas du tout. C’est le pays de mes parents. Aujourd’hui, c’est le contraire, j’espère que l’Algérie va évoluer. J’ai encore beaucoup de membres de ma famille, surtout en Kabylie. Je ne suis allé qu’une fois, je dois dire que j’ai été reçu comme rarement dans un autre pays. Vous savez, ils voient en moi un membre de la famille, un cousin de France. Personne ne m’a parlé du passé de mon père, au contraire ils souhaitent qu’il puisse revenir un jour, voir sa terre natale. Et je dois avouer que la plupart des Algériens que j’ai rencontrés se soucient davantage de leur avenir.
    Sans être porte-parole des fils de harkis, avez-vous des doléances vis-à-vis de l’Algérie ? Les enfants paient-ils pour leurs parents ?
    Il faut que l’Algérie cesse d’écrire une histoire officielle de la guerre d’Algérie. Que derrière le mot « harki » se cachent bien des parcours et des vies très différents. Comment expliquer le nombre aussi important de harkis durant la guerre ? Par une volonté de soutenir le colonialisme ? Pas sûr. L’exemple de mon père le montre. Et aussi permettre une libre circulation. Comment mon père, citoyen français, peut se faire refouler par l’Algérie ? Il y une responsabilité française à cet égard, mais l’Algérie doit savoir que la guerre est finie. Que ces gens aspirent à terminer leurs vies dignement, revoir leur terre natale et leur famille. Et il faut aussi construire des passerelles entres historiens des deux rives de la Méditerranée. Travailler à apaiser les mémoires, être capable de dialogue. Regarder l’histoire, ne pas l’écrire. Quant aux enfants, ils ont beaucoup payé pour leur père. Combien d’enfants brisés ? Combien de suicides, d’échecs scolaires, de rancœur et d’amertume ?

  • #2
    Suite

    Avec du recul et selon votre intime conviction, votre père aurait-il eu le même engagement si cela était à refaire ?
    Honnêtement, je suis incapable de répondre à cette question. Le meilleur moyen de le savoir est de le lui demander. Je voudrais, juste rajouter une chose. Je suis né en Moselle, à Thionville, situé à une dizaine de kilomètres de la frontière allemande. Ici, je peux certifier que les habitants de mon village ont connu les affres de la Seconde Guerre mondiale. Population évacuée, incorporation des « malgré-nous », rattachement de l’Alsace et de la Moselle au Reich. Eh bien, ces deux pays, que sont l’Allemagne et la France, ont su construire une relation forte. Ils ont bâti ensemble l’Europe que l’on connaît. Comment ? En se respectant mutuellement, en ne niant pas le passé, mais en le regardant ensemble, parfois de manière douloureuse, et surtout dans la volonté de construire un destin commun, un espace de prospérité. D’ailleurs, l’Allemagne et la France ont signé un traité de paix en 1963. Un exemple que l’Algérie et la France pourrait s’approprier.
    Bio express Rabah Zanoun est né le 14 mai 1968 à Thionville en Lorraine ( France). Après des études en communication, il rejoint Paris pour travailler en tant que journaliste à Canal + et M6 puis à i télé. Il est l’auteur d’un documentaire Le choix de mon père ou comment un homme est devenu harki. Après avoir réalisé d’autres documentaires, notamment sur les 50 ans de l’indépendance du Maroc, Rabah Zanoun prépare un film sur l’immigration algérienne en Lorraine.

    Commentaire


    • #3
      Que fait cet article sur "Algerie-actualité, il ne concerne en rien les algeriens.
      " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

      Commentaire


      • #4
        Entièrement d'accord avec Iska...

        Commentaire


        • #5
          Hier, en France, c’était la Journée nationale d’hommage aux harkis,
          c'est pas un cadeau que la France leur fait avec cet hommage , elle leur fait juste rappeler qu'ils seront et resteront des Harkis jusqu'à la fin de leurs jours , même s'ils veulent tourner la page , cette date les rappellera a l'ordre , c'est tout ce qu'ils méritent , et y'en a qui sont content de la fêter ...un agheyoul restera un agheyoul tt sa vie ...
          "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

          Commentaire


          • #6
            ON critique les harkis mais pendant 132 ans ,toute les familles algeriennes ont eu des harkis sinon les francais n auraient jamais restés aussi longtemps .
            Il y en a aujourd hui qui jouent les héros quand la guerre est fini,mais qu auraient ils faient pendant ces 132 ans? ils auraient agis comme leurs ancetres,ils auraient collaborés.
            A certains,soyez modeste au lieu de jouer les super heros ou refaire la guerre d algerie.

            Commentaire


            • #7
              Il y en a aujourd hui qui jouent les héros quand la guerre est fini,mais qu auraient ils faient pendant ces 132 ans? ils auraient agis comme leurs ancetres
              Ne projette pas tes fantasmes historiques et tes élucubrations psychologiques sur les autres personnes car ça te trahit.

              ils auraient collaborés.
              Comme toi tu essayes de collaborer avec les *****d sur le dos des palestiniens? Sauf que tu es trop insignifiant et minable pour qu'ils te sollicitent.

              A certains,soyez modeste au lieu de jouer les super heros ou refaire la guerre d algerie.
              Ce n'est certainement pas un prosioniste vendu qui va nous parler d'honneur et d'héroïsme.
              T'en a pas marre de soutenir les causes tordus? T'es sur tous les fronts entrain soit de soutenir l'entité cancéreuse sioniste soit de défendre les harkis baisseurs de froc.

              Commentaire


              • #8
                Les algériens d'aujourdhui (du moins ceux ayant moins de 50 ans) :

                1. n'ont rien a reprocher au fils de Harkis et

                2. n'ont pas le droit de revendiquer un qlqconque heroisme de la guerre de libération

                cette histoire de Harki ne doit concerner que les personnes ayant effectivement participé à la guerre
                et encore!!!

                car après une guerre fratricide ; il y a l'amnestie générale

                Il faut apprendre à tourner la page

                Le probleme c'est que la nation algérienne base son mythe fondateur (au sens positif du terme) sur cette guerre
                et les fils de Harkis seront toujours les boucs émissaire même en 2062

                La peuve l'algérie a pardonné aux islamistes dont le sang de leurs victimes est encore fraiche et dont une partie porte encore les armes et n'arrive pas à pardonner aux FILS et PETITS FILS de harkis qui ont jeté les armes il y a 47 ans !!!!

                faut chercher la réponse ailleurs



                ou samhou lia
                .
                .
                ''La pauvreté ne sera plus séditieuse, lorsque l'opulence ne sera plus oppressive''
                Napoléon III

                Commentaire


                • #9
                  car après une guerre fratricide
                  Ils ont brisés les liens de fraternités à partir du moment où ils sont partis ce battre contre leurs frères muslims et ce sous les ordres de kouffars...

                  Ma réponse est assez clair je crois...


                  Concernant les fils de harkis, tant qu'ils essaieront de nous imposer la mémoire de leurs parents ils n'obtiendront rien... "Mon père la victime, mon père ci..."

                  En ce qui concerne l'Algérie, elle les a oubliés et leur cas est devant Dieu.

                  Commentaire


                  • #10
                    ON critique les harkis mais pendant 132 ans ,toute les familles algeriennes ont eu des harkis sinon les francais n auraient jamais restés aussi longtemps .
                    parle pour ta personne et ta famille !

                    s'ils sont rester 132 ans en algerie c'est pas parcequ'il y'a des harkis ds chaque famille abruti , mais parceque l'ennemi jouissait d'une expérieuce militaire stratégique et supérieur en équipements !
                    et le peuple algérien ne dispose et n'a comme munitions que les fusils de chasse pour défendre la patrie contre la gigantesque puissance armée française !

                    va réviser tes leçons avant d'ouvrir ton bec

                    Il y en a aujourd hui qui jouent les héros quand la guerre est fini,mais qu auraient ils faient pendant ces 132 ans? ils auraient agis comme leurs ancetres,ils auraient collaborés.
                    certainement !
                    les personnes de ta trempe , ils attendront pas 132 ans pour vendre leur mère contre un bout de pain , 6 mois max et encore ...
                    Dernière modification par Space, 30 septembre 2009, 22h39.
                    "N'imitez rien ni personne. Un lion qui copie un lion devient un singe." Victor Hugo

                    Commentaire


                    • #11
                      Je rejoins Pihman, les enfants n'ont pas à porter les crimes de leurs parents. Ce n'est pas comme ça qu'on nous éduque dans la maison de l'Islam. Ici on a de la haine gratuite développée autour d'un fantasme.
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

                      Commentaire


                      • #12
                        Je vois que le sujet suscite toujours autant de passion.
                        ceux qui sont contre tout dialogue autour se ce sujet, qui refusent d'en parler et et qui condamnent automatiquement les harkis je les comprend car j'étais au fond comme eux et je me suis rendu compte que plus je savais les dessous de la révolution plus je devenais moins catégorique et plus clément envers tout le monde (celui qui a vécu la guerre), ceci pour dire que parfois l'ignorance ou la mi-vérité rend souvent injuste et trop dur envers les autres.

                        Le sujet concerne autant la france que l'algérie, c'est une partie de l'histoire commune aux deux pays . Les fils de Harkis ont effectivement souffert, le rejet en france ingrate et raciste et le rejet de l'algerie qui leur impute les érreurs de leurs pères. Méritent ils tant de punitions?

                        Je pense que c'en est trop pour des ètres humains qui n'ont meme pas une quelconque responsabilité. Pent etre que les harkis ont fait leur choix et n'ont rien á demander aux algeriens mais leurs fils ont besoin de se situer dans cette nouvelle ère de pardon et d'une écriture véridique de l'histoire.
                        Pensons plûtôt une nouvelle algerie, celle qui regarde ses fantôme avec lucidité et projection vers l'avenir, nous n'avons pas besoin d'avoir des ennemis éternels. Si on est capable de pardonner aux terroristes, on est aussi capable de comprendre la souffrance des fils de harkis.

                        Commentaire


                        • #13
                          Le sujet concerne autant la france que l'algérie, c'est une partie de l'histoire commune aux deux pays . Les fils de Harkis ont effectivement souffert, le rejet en france ingrate et raciste et le rejet de l'algerie qui leur impute les érreurs de leurs pères. Méritent ils tant de punitions?
                          C'est un sujet très délicat mais à mon sens, les harkis ont choisi d'être français par conséquent à eux d'assumer.

                          A chaque fois que je lis ou entend une intrevention d'un fils de harki, c'est toujours la même chose :"on est fière du choix de nos parents".
                          "If you can't say anything nice, don't say anything at all."

                          Commentaire


                          • #14
                            , les enfants n'ont pas à porter les crimes de leurs parents.
                            c'est clair.........mais faudrait aussi qu'ils arretent de parler de tous ca,de ressacer tous ces trucs .certains le font juste pour pleurer,quand ca les arrange!

                            la plupart du temps ils ne savent pas sur quel pied danser!
                            on fait avec..........

                            Commentaire


                            • #15
                              northcarolina
                              toute les familles algeriennes ont eu des harkis sinon les francais n auraient jamais restés aussi longtemps .
                              NON!
                              Beaucoup de familles n'ont jamais accepté le vol, le viol de l'Algerie par les massacreurs français. Des familles entières ont subi le génocide, la déportation, le massacre, les tortures. C'est avec le sang des martyrs que l'Algérie est devenue libre.

                              Je ne m'étale pas sur les fils de harkis, il ne sont responsables de quoi que ce soit.

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X