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Le n’importe quoi de « BHL »

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  • Le n’importe quoi de « BHL »

    Le n’importe quoi de « BHL »
    Grâce aux appuis dont il dispose dans les médias (il est président du conseil de surveillance d’Arte, actionnaire de Libération, éditorialiste au Point et publie nombre de tribunes dans Le Monde, y compris sur le même sujet à intervalle rapproché ), les affabulations qui ont émaillé la carrière de Bernard-Henri Lévy ne lui ont jamais nui (lire notre dossier détaillé, « L’imposture Bernard-Henri Lévy »).

    Certaines ont visé Le Monde diplomatique. Ainsi, lors de la (vigoureuse) campagne de promotion consécutive à la publication, il y a deux ans, de son livre Un grand cadavre à la renverse, lequel mettait souvent en cause Le Monde diplomatique, Bernard-Henri Lévy a reproché à plusieurs reprises à ce journal de s’être spécialisé dans la dénonciation des « synarchies new-yorkaises ». Cette expression ne figure pas une seule fois dans la banque de données du mensuel depuis 1977 (1)…

    La semaine dernière , invité par « Parlons net », une émission co-organisée par France Info, Rue89, Marianne.fr, *********, LeFigaro.fr., « BHL » a qualifié Le Monde diplomatique de « chien de garde des plus grands pétroliers du monde. Du vrai pouvoir pétrolier, qui sont l’Iran, le Venezuela de Chavez, la Russie de Poutine. Chien de garde de cette troïka-là ».

    Puis il a ajouté : « Moi, j’ai écrit au Monde diplomatique à l’époque de Claude Julien. […] Et c’est vrai que Le Monde diplomatique ça fait partie des chagrins de mon existence. » Enfin, évoquant Pierre Bourdieu, Bernard-Henri Lévy a regretté son évolution politique : « Ah !, le Bourdieu de La Misère du monde, ça c’était formidable. [Mais] le Bourdieu des dix dernières années, était de ceux qui nourrissaient précisément cette idéologie du complot, cette paranoïa générale dont je parlais tout à l’heure et dans laquelle trempe souvent ce grand journal qu’ a été Le Monde diplomatique et qui je crois ne l’est plus… » (voir la vidéo de l’émission).

    Publiée en 1993, La Misère du monde l’a donc été dans les « dix dernières années de la vie du sociologue », ainsi qu’un journaliste participant à l’émission en question, Philippe Cohen, par ailleurs auteur d’une biographie critique de « BHL », le fit observer à ce dernier. Fort dépité de son erreur, celui-ci ne l’admit que de très mauvaise grâce. Inutile également de revenir sur l’accusation abracadabrante selon laquelle Le Monde diplomatique serait au service … du « pouvoir pétrolier » ! La lecture du mensuel, récemment encore de l’article consacré à l’Iran et détaillant les fraudes électorales imputables au régime de M. Ahmadinejad (lire « Dans le chaudron du pouvoir iranien »), suffirait à en rendre justice.

    Mais, puisque « BHL » invoque Claude Julien, directeur du Monde diplomatique entre 1973 et 1991, il est bon de préciser ceci. En 1975, Bernard-Henri Lévy a effectivement publié dans notre journal un article sur le Portugal. Une enquête reposant sur une critique assez « gauchiste » du Parti communiste portugais, auquel il reprochait de « donner des gages à la petite bourgeoisie ». Dix ans plus tard, l’auteur ultra révolutionnaire est devenu, sinon le chien de garde, en tout cas l’allié de guérillas d’extrême droite, souvent terroristes, comme la « contra » du Nicaragua, au service de laquelle « BHL » se mobilisa en 1985.

    Il n’était plus question alors de publier des textes de cet auteur, qui trouva partout ailleurs un généreux refuge. La décision s’imposa d’elle-même. Claude Julien en donna cette explication dans le « grand journal » qu’était encore Le Monde diplomatique, selon Bernard-Henri Lévy :

    Claude Julien, Le Monde diplomatique, juin 1987 : « Castoriadis écrit : “La science est, devrait être, contrairement à ce qui s’est passé depuis Hegel, objet de passion pour le philosophe.” Mais il semble que l’on puisse maintenant s’afficher à la fois “philosophe” et “nouveau” en ignorant l’élargissement et les bouleversements que les récentes avancées scientifiques ont introduits dans le champ des connaissance humaines. La meilleure démonstration en est faite par Bernard-Henri Lévy dans son récent Eloge des Intellectuels, Grasset, Paris, 1987. C’est un livre... rigolo, où l’auteur croit parler du monde en parlant de lui-même. »

    Claude Julien, Le Monde diplomatique, juillet 1987 : « […] Bernard-Henri Lévy et [ses] semblables se tiennent sagement à l’écart des analyses économiques et monétaires, dont l’aridité les décourage en même temps que, ils le savent bien, elle nuirait à leur suprême ambition en limitant leur impact médiatique. Ils ont choisi de frapper l’opinion, et de frapper fort. Pour cela, ils doivent se contenter de rudimentaires affirmations.[…] En dépit de ce qui peut les séparer, toutes les démagogies se rejoignent dans le choix des moyens. »

    Bernard-Henri Lévy continue à se comporter en démagogue. Est-il toujours aussi « rigolo » ?

    (1) Les numéros antérieurs ne sont pas encore numérisés. Le mot de « synarchie » (autorité exercée par plusieurs personnes ou plusieurs groupements à la fois, selon le dictionnaire Robert), qui n’a rien de répréhensible au demeurant, n’a été utilisé qu’une seule fois par Le Monde diplomatique, en août 1985, il y a donc vingt-quatre ans. Commentant un ouvrage d’un professeur à l’université Paris-X sur la démocratie américaine, Yves Florenne écrivait alors : « L’auteur fait pénétrer son lecteur dans les conseils de la synarchie où opèrent les “vrais décideurs de l’Occident” » (Conseil des relations extérieures, Commission trilatérale, etc.)

    LMD - 01 Oct. 09

  • #2
    Un joli article de ce monsieur ! pour rire doucement

    Le 25 Septembre 2009, par Bernard-Henri Lévy, pour le Point
    Pourquoi et comment les talibans peuvent être vaincus en Afghanistan. 24/09/09


    Retour en Afghanistan avec un groupe de journalistes emmenés par le ministre de la Défense, Hervé Morin. Vision limitée puisque ne concernant que les vallées de Surobi et de Kapisa. Mais observations, néanmoins, précieuses car en rupture avec ce que l’on entend presque partout.

    Première étape, Tora, fortin posé dans la caillasse, à 20 kilomètres de Kaboul. Accueil par le colonel intello Benoît Durieux, patron du régiment et auteur d’un excellent « Relire “De la guerre” de Clausewitz ». Mouvement vers Surobi, où nous attend l’assemblée des malek, des sages de la région, pour l’inauguration d’une petite école de garçons. Et échange de discours sur le thème de l’alliance franco-afghane face à la poussée des talibans. Le nombre de blindés mobilisés pour le déplacement, l’extrême nervosité des hommes, ainsi que le vol en rase-mottes, parfois à 10 mètres du sol, de l’hélicoptère Caracal qui nous a conduits ici de bon matin, ne laissent pas de doute quant au sérieux de la menace. Mais pas de doute non plus sur le fait que la stratégie des militaires repose sur une idée simple et qui n’a pas grand-chose à voir avec la caricature donnée dans les médias : montrer qu’on est, certes, là pour faire la guerre mais que cette guerre a, aussi, pour enjeu la sécurité, la paix, l’accès aux soins et au savoir d’une population dont la coalition est l’alliée.

    Fort Rocco, au cœur de la vallée d’Uzbeen, 10 kilomètres en amont du point où ont trouvé la mort, en août 2008, les dix légionnaires du RPIMA. C’est un autre fort de western, encore plus isolé, entouré par les montagnes. Les 159 hommes du capitaine Vacina y logent dans des tentes renforcées de contreplaqué en prévision de l’hiver. A peine s’y sont-ils installés, raconte Vacina, qu’arrivent les élections, le pilonnage taliban des bureaux de vote, la riposte des forces régulières afghanes appuyées par les légionnaires – et l’incroyable spectacle, alors, des paysans qui viennent voter dans le fracas des bombes et de la mitraille. Force d’occupation, vraiment ? Néocolonialisme, disent les idiots utiles de l’islamo-progressisme ? Les armées, comme les peuples, ont un inconscient. Et je ne nie pas que la tentation puisse exister. Mais ce que j’observe là c’est, pour l’instant, ceci : une force militaire qui vient pour, littéralement, permettre aux gens de voter et qui est donc là, non moins littéralement, en renfort d’un processus démocratique.

    Tagab, au cœur de la vallée de Kapisa, plus au nord, où je retrouve le colonel Chanson qui se souvient de m’avoir, il y a quinze ans, jeune Casque bleu à Sarajevo, bloqué l’accès au mont Igman. Même configuration qu’à Rocco. Même paysage de montagnes avec, en contrebas, une vallée verdoyante mais infestée de groupes armés. Le fort a été bombardé hier. Deux jours plus tôt, une attaque plus dure a provoqué une sortie. Et Chanson de raconter la montée vers la position adverse ; l’occupation des deux crêtes ; l’accrochage de la colonne, au retour, par une unité djihadiste ; le combat, très dur ; et la déroute, enfin, des assaillants. Bilan de l’opération, demandons-nous ? Nombre exact des victimes ? Justement… Il sourit… « Je suis, et resterai, le seul, ici, à le savoir. Car voici un autre principe. Chaque taliban tué égale un nouveau taliban qui naît. Chaque victoire claironnée provoque, mécaniquement, humiliation et vendetta. En sorte que gagner ne doit plus signifier tuer mais rester, juste rester – être juste le dernier à rester sur le terrain et le montrer. »

    Nijrab, 18 kilomètres au nord, toujours dans la Kapisa. C’est là, dans ce quatrième fort, qu’est stationné le 3e bataillon de l’armée nationale afghane commandé par le colonel Khalili. Je me souviens comment, dans mon « Rapport afghan » de 2002 commandé par Jacques Chirac, ma première recommandation était : aider à la constitution d’une armée nationale afghane et lui laisser, dès que possible, la responsabilité d’isoler, puis de défaire, les néofascistes talibans. Eh bien, c’est ce qui est en train de se passer si j’en crois les explications de Khalili. C’est à lui que revient l’initiative des sorties. C’est lui qui décide, ou non, de requérir le renfort du bataillon français. Et c’est sous son commandement que sont placés les fameux « conseillers » américains dont me parlait, un peu plus tôt, le colonel américain Scaparotti. De nouveau, le contraire du cliché. De nouveau, l’inverse de l’image convenue d’une guerre franco-américaine dont les Afghans ne seraient que les figurants.

    Bagram, enfin. La base américaine de Bagram. La terrible prison secrète, impossible à approcher, à 200 mètres de l’endroit où je me trouve. Et les 42 hommes du détachement français Harfang chargés, cette fois, des deux drones SIDM, pilotés depuis le sol par des navigants formés sur Mirage et fournissant aux troupes toutes informations susceptibles de réduire la part d’aléa des opérations. Image d’une guerre « technique » fondée sur une extrême économie de moyens. Conflit de « basse intensité » dont chacun est bien conscient que l’issue ne peut être seulement militaire. Et tendance au « zéro mort », tant pour l’adversaire que pour les soldats de la coalition elle-même.


    (Fin de du récit et donc la conclusion -catégorie BHL gold - qui fait suite au titre pompeux du tout début)

    Je n’ai pas tout vu, naturellement. Mais ce que j’ai vu, c’est ceci. Une guerre moche, comme toutes les guerres ; mais une guerre juste ; moins mal engagée qu’on ne le dit ; et que les démocrates afghans peuvent, avec leurs alliés, gagner.


    Il n'y a pas leiy de commenter l'article, c'est un article aride comme on dit, rien à voir avec la casquette philo du monsieur, mais simplement une blague matérialisée par la fin du récit qui explique comment on pourrait "battre les Talibans".


    Ce mec ne vit pas dans le n'importe quoi et ne parle pas "n'importe quoi", bien au contraire, il se sert du "n'importe quoi" pour réaliser ses fantasmes et faire gober ses idées.

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    • #3
      Le Sociologue Pierre Bourdieu à propos de BHL.

      Le Sociologue Pierre Bourdieu à propos de BHL.


      Discuter avec BHL ..j’ai aucune envie, je sais d’avance ce qu’il va dire, ça lui ferait tellement d’honneur qu’il en tomberait malade si je disais oui, il m’a supplié cent fois….

      Dernière modification par sako, 02 octobre 2009, 14h54.

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      • #4
        bhl comme on le surnomme certains "philosophe inconnu des philosophes" ou " le philosophe sans idées"
        et dire que pour ce hideux imposteur tous les plateaux télés , ou il y pavane en maitre absolu , lui courbent l'échine , les journaux et les grandes maisons d'éditions lui publient ses torchons .
        la france pays des lumiéres:insulte supréme à l'intelligence des communs des mortels.

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        • #5
          Modeste-Henri Lévy Pacifie L’Afghanistan

          par Sébastien Fontenelle

          Notre plus renommé romanquêteur.
          (Le seul, d’ailleurs, maintenant que j’y pense.)
          BHL, donc.
          Revient, lui-même le narre dans Le Point de la semaine, d’Afghanistan, où il était avec « un groupe de journalistes emmenés par le ministre de la Défense Hervé Morin » - que nous appellerons Momo.
          (Tu noteras, je te prie, que la tournure, audacieuse, (nous) suggère que ces « journalistes », seuls, sont arrivés là-bas dans les valises de Momo, et que BHL, quant à lui, n’était pas (du tout) embedded : il passait dans le coin, il a vu au loin des loupiotes, il s’est approché, il est tombé sur Momo et sa petite séquelle de journaleux, viens me dire après ça que notre monde n’est pas touuuuut petit ?)
          Manifestement échaudé par son retour de Géorgie de l’an dernier, où des chipoteurs lui ont fait l’affront de montrer qu’il n’avait pas exactement vu toutes ses « choses vues » (et qu’il faisait un peu hâtivement, de quelques champs brûlés, Gori entièrement détruite), BHL, prudemment, prévient que sa « vision » (de la guerre otanique d’Afghanistan) a été, cette fois-ci, quelque peu« limitée, puisque ne concernant que les vallées de Surobi et de Kapisa ».
          (En gros, il s’est retrouvé dans la position du gars qui essaierait de voir Béziers depuis la (jolie) vallée de l’Odet : le truc un peu compliqué, même avec beaucoup de bonne volonté.)
          Il répète, même, qu’il n’a, du fond des valoches de Momo, « pas tout vu, naturellement ».
          Fait-il, dès lors, le choix, sensé, de s’abstenir de toute observation qui ne concernerait pas seulement les vallées de Surobi et de Kapisa ?
          Évidemment pas.
          Il s’ouvre au contraire au monde - qui n’en peut mais - de ses « observations », qui sont, de son point de vue, « précieuses, car en rupture avec ce que l’on entend presque partout. »
          (C’est Modeste-Henri Lévy, back from Surobi.)
          Et de fait, il rompt : en un temps où même un enfant de trois ans mal préparé aux finesses de la (haute) pensée militaire occidentale peut constater sans trop se fouler que l’Afghanistan est pour l’OTAN un gigantesque merdier où le taliban lui ménage de vives déconvenues, BHL, de son côté, juge que « les talibans peuvent être vaincus ».
          Pour deux raisons.
          La première est que « la statégie des militaires » occidentaux « repose sur une idée simple et qui n’a pas grand-chose à voir avec la caricature donnée dans les médias : montrer qu’on est, certes, là pour faire la guerre mais que cette guerre a, aussi, pour enjeu la sécurité, la paix, l’accès aux soins et au savoir d’une population dont la coalition est l’alliée ».
          De même, et suivant la même (iconoclaste) idée que la guerre est (« certes ») la guerre, mais qu’elle peut aussi être un moment sympa entre potes : l’US Army fut, naguère, et avec le même (constant) souci de lui apporter l’eau courante et la télévision en couleurs, la meilleure amie de la paysannerie vietnamienne.
          (« Certes », gentil nhà quê : on a défolié ta grand-mère, mais n’oublie (quand même) pas que nous t’apportons l’accès aux soins et au savoir.
          Sèche tes larmes, petit Kabouli : nonobstant que ta gentille maman fut (« certes ») prise dans ses bombardements, l’armée yankee est ton alliée - qui t’apporte la sécurité.)
          La deuxième raison - la plus importante - qui fait que BHL prévoit que les talibans seront vaincus tient dans le (rassurant) constat que les armées de l’OTAN mettent - enfin - en application la doctrine définie au début des années 2000 par un visionnaire (de génie) du nom de... BHL.
          Modeste-Henri écrit : « Je me souviens comment, dans mon « Rapport afghan » de 2002 commandé par Jacques Chirac, ma première recommandation était : aider à la constitution d’une armée nationale afghane et lui laisser, dès que possible, la responsabilité d’isoler, puis de défaire, les néofascistes talibans ».
          Modeste-Henri ajoute : « Eh bien, c’est ce qui est en train de se passer (...) ».
          Modeste-Henri conclut : « Les démocrates afghans peuvent, avec leur alliés, gagner ».
          J’espère bien, petit Kabouli, que juste après la victoire tu remercieras Modeste-Henri.
          (Au lieu de gratter ton moignon.)
          The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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          • #6
            je ne vois pas l'interet de parler de lui.....ce n'est qu'un khoroto.

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            • #7
              salam

              je ne vois pas l'interet de parler de lui.....ce n'est qu'un khoroto.
              tu est obligé de parler de ce khoroto car hélas c'est lui qui decide du devenir de tes lendemains
              c'est ce khoroto qui decide du sens de l'information et de la forme que devra prendre la culture dans le pays des droits de l'homme
              c'est ce khoroto qui decide de la politique qui devra se decider dans ton pays
              c'est ce khoroto qui est reçu par les generaux qui dirigent l'algerie , alors qu'en ta qualité de marocain, pays frere ce droit t'est refusé
              c'est ce khoroto qui cautionne et soutiens la politique au moyen orient
              c'est ce khoroto qui decide des orientations a donné au priorité et aux actions à mené dans le monde
              c'est ce khoroto qui hier soutenait le bombardement de l'irak
              c'est ce meme khoroto qui souhaite une intervention militaire en afghanistan
              c'est ce meme khoroto qui s'active avec ses compagnons pour renverser le regime en iran
              c'est ce meme khoroto qui n'a jamais connu la faim ni la misère , car riche jusqu'a l'indescence , qui passe son temps a editer des livres sur la misère du monde, pour s'enrechir d'avantage sur ses pauvres , mais reserve ses finances a l'armée sioniste contrairement a bill gate
              enfin ce meme khoroto oublie qu'il est membre actif et partie prenante et integrante , d'un lobby sioniste responsable de cette misère que ce khoroto decrit avec dramaturgie
              il faut que l'esprit des hommes voit ses demons tel qu'ils sont et non tel qu'ils veulent se presenter a nous, il faut les debusquer a l'opinion

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              • #8
                exact shamsdine c'est ce khoroto qui decide de l'orientation de l information aux pays des lumiéreS

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                • #9
                  exact shamsdine c'est ce khoroto qui decide de l'orientation de l information aux pays des lumiéreS
                  Par un simple coup de fil , BHL peut déprogrammer un film au pays des Lumières comme il peut interdir tout comédien et autre ecrivain de passer à la télévision ; c'est lui qui a diabolisé Tarik Ramadan car il a trouvé en lui un client pas trés facile à manipuler ; BHL préfère des contradicteurs qui n'ont rien à dire , qui sont juste contents de passer à la télé comme Najet Belkacem par exemple!
                  Cédant à l’esprit du temps, Jean Jacques Aillagon, l’ancien ministre de la culture, sur simple coup de fil de son ami l’écrivain Bernard Henry Lévy, a ainsi déprogrammé un film réalisé par un israélien, Eyal Sivan, et un palestinien, Michel Khleifi, intitulé « La route 181, fragments d’un voyage en Palestine-Israël » au motif qu’il présente une vision « unilatérale » du problème israélo-palestinien. L’ancien ministre a ordonné la censure sans même se donner la peine de visionner le film au préalable, sans même se rendre compte que ces deux cinéastes professionnels, venant de deux bords opposés, en entrecroisant leur regard, apportaient une vision synthétique du problème.

                  La complaisance mondaine ne saurait tenir lieu de politique. Aillagon a été écarté du gouvernement Raffarin à la suite de la déroute électorale de la droite aux dernières élections régionales françaises, le 28 mars 2004, recasé à Venise par l’ami de Bernard Henry Lévy, l’homme d’affaires François Pinault. Mais le film documentaire continue de développer son audience. Toutefois le cinéaste israélien Eyal Sivan n’a pu s’épargner l’accusation d’« antisémitisme » que lui a infligée, en toute impunité, l’un des chefs de file de ce courant Alain Finkielkraut.

                  in http://**********/De-l-accusation-d-antisemitisme
                  Dernière modification par DZone, 02 octobre 2009, 22h32.

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                  • #10
                    BHL en avocat des criminels sionistes sur les plateaux télé en France!

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