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Bernard Lugan, les Berbères et l'histoire de l'Afrique du Nord

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  • Bernard Lugan, les Berbères et l'histoire de l'Afrique du Nord





    Lugan est maître de conf' à Lyon III, entretien diffusé sur les ondes parisiennes..

    Y'a des idées étonnantes, d'autres moins...

  • #2
    Envoyé par TMSN Voir le message
    Lugan est maître de conf' à Lyon III, entretien diffusé sur les ondes parisiennes..
    ... de Radio Courtoisie, la radio de toutes les extrêmes droites!

    Bernard Lugan est d'ailleurs un invité récurrent chez eux...

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    • #3
      l'Afrique est l'un des thèmes favoris des franchouillards



      J'ai mis l'entretien surtout pour la deuxième & troisième partie où il entre dans le "vif" du sujet ^^ (la 1ère c'est surtout la réfutation de l'afrocentrisme sur des bases génétiques)
      Dernière modification par TMSN, 03 octobre 2009, 14h23.

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      • #4
        je connaissais déjà ce Lugan . Bonne idée malgré tout d'avoir posté ces videos pour le débat.

        Il est tres cultivé et ne dit pas que des betises...notamment sur le Congo et le Rwanda.

        Toutefois pour revenir au sujet, hors la genetique des anciens egyptiens disputée par les uns et les autres .( eventuellement les egyptiens anciens seraient .du groupe berbère ou afrique noire ) .......................la culture et le parler de l'egyptien ancien se rapproche plus de certaines langues d ' Afrique noire d'aujourd'hui .......dans quel sens l'influence ? ou même groupe ?


        Voyons ce que diront Humanbyrace et autres habitués de ces débats sur les groupes ethnico culturels linguistiques
        Dernière modification par Sioux foughali, 03 octobre 2009, 17h45.

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        • #5
          Bernard Lugan ne dit pas que des bêtises c'est vrai.

          Mais concernant l'Algerie,il se lâche le Nanard,il prend ces jugements de valeurs pour des jugements de fait.
          Nanard déteste l'Algérie et nous le fait savoir en nous rabaissant et nous insultant 3inani...
          Mais bon connaissant le personnage,on comprend mieux:fils d'un officier de l'armée coloniale "franSSaouiya",proche de l'extrême droite et membre d'"action franSSaise",proche du Maroc(le Maroc pro-fitna je parle)...WAW avec un tel CV,on peut que vouloir nous "couler" comme dirait Fellag
          "Que choisir entre la vie et l'honneur?
          La première est plus belle mais l'honneur est plus eternel!"
          Ali Gouasmi (Allah y rahmou)

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          • #6
            Grand defenseur du colonialisme, de l'apartheid et des genocidaires Hutus...
            Il adore expliquer et justifier les choses a travers la ''genetique''...
            Dernière modification par Karim28, 03 octobre 2009, 17h54.

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            • #7
              Grand defenseur du colonialisme, de l'apartheid et des genocidaires Hutus...
              Il adore expliquer et justifier les choses a travers la ''genetique''...
              il est clair que c'est un complot sioniste.....comme la decennie noir d'ailleurs.

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              • #8
                il est clair que c'est un complot sioniste.....comme la decennie noir d'ailleurs.

                Qu'est ce que tu racontes?

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                • #9
                  On ressent un leger ton racialiste et anti-"noir"africain dans les livres et interviews de ce mr.

                  A vrai dire,je crois que la genetique n'influe guere ou si peu dans l'ethnogenese des peuples et je regrette que j'etais tres obcede par cette question de genotypes et phenotypes notamment dans certains sujets et interventions faites dans ce forum.

                  De plus la nature de mes etudes et maintenant travail est l'histoire otthomane et jamais la genetique humaine ou anthropologie qui ne sont que des occupations secondaires.

                  Je crains aussi que mr Lugan en s'aventurant dans un domaine qui n'est pas le sien(la genetique humaine)fait des raccourcis et simplifications qui seraient loin de faire l'unanimite.

                  Peut etre que je me trompe mais a ce que je sache il n'ya pas de genes ou haplotypes berberes ou arabes ou d'autres ethnies car ces haplotypes sont bien plus anciens que les supposes proto langues.

                  Mais bien evidemment il faut attendre la publication du papier que cet historien cite dans la sequence audio,car il n'y en a pas trace dans les sites revues et blogs d'anthropologie les plus en verve.

                  Selon les linguistes les langues les plus proches aux langues berberes,morphologiquement parlant,sont les langues semitiques et les langues egyptiennes c'est pour ça que ces trois familles de langues sont groupes ensemble sous la sous-famille nord afrasienne(1) de la grande et assez complexe famille afrasienne.
                  (1)


                  Mais une autre classification serieuse(2),se basant surtout sur le vocabulaire classifie les langues berberes avec les langues tchadiques dans un rameau libyo-tchadien alors que les langues semites et egyptiennes sont classes ensemble dans un rameau semito-egyptien.
                  (2)

                  Il ya deux theses differentes quand au homeland de l'afrasien:
                  La premiere est en faveur d'un homeland africain en egypte meridionale-nubie et l'autre pour un homeland au croissant fertile.

                  Cependant le fait que le proto afrasien comprend des termes designant la neige et des animeaux qui ne se trouvaient pas en afrique,en plus le fait que les langues afrasiennes d'Afrique(somali,berbere,haussa)tout comme celle d'Asie(semitiques)comportent des emprunts de langues asiatiques comme le sumerien et le hattien et les constatations archeohistoriques et archeogenetiques de l'absence de flux migratoires depuis l'afrique vers l'asie(la population d'afrique du nord etant a pres de 90%porteuse des haplotypes d'origine moyen-orientale J&E1b1b1),en plus de l'hypothese nostratique:
                  (Berbere aghref,Arabe ghurab,Français corbeau,Anglais crow.
                  Berbere ithri,Arabe thuraya,Akkadien ishtar,Persan sitare,Allemand stark,Français etoile.
                  Berbere nagh,Akkadien anaku/aku,Grec egho,Germanique ik,Hittite amuk,uk)ferait pencher la balance,au moins actuellement,en faveur de la theorie de homeland asiatique.

                  La simplification etonnante(et qui manque cruellement d'explications)que fait cet historient est le fait qu'il associe les "blancs"(pour reprendre son terme)d'Egypte avec les Berberes juste parce qu'ils partageraient les memes haplotypes alors qu'il ya un gap temporel,spatial,linguistique et aussi ethnique entre ces deux entitees.

                  Au moins si on pourrait savoire avec precision la distribution haplotypique chez les anciens egyptiens&anciens berberes(grace a des analyses genetiques dans les anciens sites et tombes..)et s'il s'avere que les anciens egyptiens et les anciens berberes partagent grossomodo les memes haplotypes;on pourrait alors dire qu'une partie importante(et non tous)les anciens libyens et anciens egyptiens partageraient 1 ou 2 ancetre commun recent originaire de X ou Y place mais on ne peut guere a partire de cette conclusion faire des paralleles et des projections sur des aspects culturels comme la langue mere et l'ethnie.

                  Selon le linguiste Igor Diokanov,specialiste des langues afrasiennes voici l'arbre genetique des langues afrasiennes avec devant chaque rameau la date(en milliers d'annees)[le signe - veut dire que c'est avant l'an 0 cad BC]de sa differentiation du socle linguistique Afrasien.

                  Proto-Afrasian [-9.97].
                  I. South Afrasian/Cushomotic [-7.87].
                  I.1. Proto-Omotic [-5.36].
                  I.1.1. North Omotic [-3.99]: a) Dizi /Adikas/; b) Mao /Diddesa/; c)
                  Gonga [-1.14] (Shinasha=Bworo, Kafa); d) Janjero=Yemsa; e) Chara; f)
                  Ometo [-1.30] (Wolayta, Male).
                  I.1.2. South Omotic [-4.63]: a) Ongota; b) Aroid [-0.98] (Dime, Hamar).
                  I.2. Proto-Cushitic [-6.51].
                  I.2.1. North-Central Cushitic [-4.73].
                  I.2.1.1. Bedauye.
                  I.2.1.2. Agaw/Central Cushitic [-1.33]: a) Aungi=Auwiya; b) North
                  Agaw [-0.04] (Bilin, Khamta).
                  I.2.2. South Cushitic [-4.65]: a) Dahalo; b) Maa=Mbugu; c) Iraqw,
                  Qwadza [-2.65].
                  I.2.3. East Cushitic [-5.57].
                  I.2.3.1. Yaaku /= Mogogodo/.
                  I.2.3.2. Dullay [-0.05]: a) Gawwata; b) Tsamay.
                  I.2.3.3. Highland East Cushitic [-1.39]: a) Burji; b) Hadiya, Sidamo
                  [-0.36].
                  I.2.3.4. Afar.
                  I.2.3.5. Lowland East Cushitic [-2.57]: a) Somaloid [-1.95] (Somali,
                  Bayso); b) Oromoid [-0.79] (Oromo (Welegga), Konso); c) Galaboid [-1.07]
                  (Dasenech=Geleba; Arbore, Elmolo [-0.04]).




                  II. North Afrasian [-8.96].
                  II.1. Proto-Semitic [-4.51].
                  II.1.1. South Semitic/Modern South Arabian [-0.68]: a) Soqotri; b) Continental
                  South Semitic [0.42] (Mehri, Jibbali).
                  II.1.2. North Semitic [-3.55].
                  II.1.2.1. Akkadian.
                  II.1.2.2. West Semitic [-2.85].
                  II.1.2.2.1. Ethiopian [-0.89]: a) South Ethiopian [-0.30] (Amharic,
                  Harari); b) North Ethiopian [-0.39] (Tigrai=Tigrinya, Geez).
                  II.1.2.2.2. Common Arabic [0.32]: Qur'anic, Syrian Arabic, etc.
                  II.1.2.2.3. Levantine [-2.01]: a) Ugaritic; b) South Levantine [-1.73]
                  (Aramaic [-0.09], Hebrew).



                  II.2. African North Afrasian [-7.71].
                  II.2.1. Egyptian: a) Egyptian (Old Kingdom) [-2.55]; b) Coptic Bohairic
                  [0.45].


                  II.2.2. Chado-Berber [-5.89].
                  II.2.2.1. Proto-Berber [-1.11].
                  II.2.2.1.1. North-West Berber [-0.88].
                  II.2.2.1.1.1. Zenaga.
                  II.2.2.1.1.2. North Berber [-0.42]: a) Atlas [0.07] (Semlal, Izdeg); b)
                  Zenata [-0.16] (Shawiya, Qabyle (Mangellat)).
                  II.2.2.1.2. South-East Berber [-1.01].
                  II.2.2.1.2.1. South Berber/Tuareg [0.46]: a) Ahaggar; b) Ayr.
                  II.2.2.1.2.2. East Berber [-0.81]: a) Ghadames; b) Siwa.

                  II.2.2.2. Proto-Chadic [-5.41].
                  II.2.2.2.1. Central Chadic [-4.35]: a) Musgu; b) Mandara-Gudur
                  [-1.73] (Mandara; Gisiga, Mofu-Gudur [-1.04]).
                  II.2.2.2.2. East Chadic [-3.64]: a) Tumak; b) Mokilko; c) Migama,
                  Jegu [-0.85].
                  II.2.2.2.3. West Chadic [-4.10]: a) Bolewa; b) Kiir, Hausa [-3.87].

                  Comme on peut le voir,ethniquement parlant les langues egyptiennes et berberes sont distinctes et un gap temporel de pres de 1400 annees separe la date de differentiation du proto berbere(apparu a peu pres a 1100 avant le christ)de celle du proto egyptien(apparu a peu pres a 2500 avant le christ).

                  Si on retourne au raccourci simplifcateur de l'historien qui fait coincider le haplotype E1b1b1 avec les Berberes,la aussi on peut dire que cette suggestion n'a ete jamais avance par n'importe quel geneticien ou anthropologue serieux du fait que ce haplotype:
                  1/est apparu il y'aurait 25000 ans en levant-egypte bien avant les migrations des proto berberes vers l'afrique du nord ni meme l'apparition des proto-berberes memes.
                  2/il est aussi commun dans d'autres peuples afrasiens(arabes,hebreux,egyptiens,somalis..)mais aussi chez des peuples non afrasiens comme les grecs,les albanais et les slaves du sud.
                  3/la region de l'aures qui est peut etre celle du homeland ou premier noyau proto berbere en afrique du nord est caracterise par une importante population portant le haplotype J1 et non celui E1b1b1

                  Finalement ce haplotype est malgre le fait qu'il soit issu du haplogroupe E caracteristique des populations africaines noires,il a une histoire tres diverse des autres sous haplotypes du haplogroupe E restes confines a l'Afrique,alors que ce haplotype est ne(cad la mutation est intervenu)plus
                  au nord(actuel egypte-sinai)est depuis cette periode la,il a ete associe plutot avec la mediterranee et des groupes humains de haplotypes originaires du moyen-orient d'asie centrale et d'europe et tres peu en Afrique sub-saharienne.


                  Dernière modification par humanbyrace, 03 octobre 2009, 19h16.
                  يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                  • #10
                    proche du Maroc(le Maroc pro-fitna je parle)...
                    C'est quoi ces affirmations stupides ???

                    Eplique moi ce que tu entends pas pro fitna parce que tu as à mon avis une très mauvaise opinion des autres, et surtout des tiens !

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                    • #11
                      Je ne sait pas ce que vous en penser , mais moi je trouve qu'il n'a pas l'air net dans ce qu'il avance , il à écumer combien de comptoir de bar , avant de venir vomir dans cette émission .

                      Il n'y à rien d'extra à ce qu'il avance ; encore un qui d'écrit grossièrement les Bèrbères ; et visiblement il à trouver son inspiration au maroc chez des amis .

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                      • #12
                        On ressent un leger ton racialiste et anti-"noir"africain dans les livres et interviews de ce mr.
                        pas inexacte cette constatation

                        Je suis pas sur que Lugan defende les genocidaires Hutus , ni qu'il trouve forcement justifiées les approches d'une certaine ''françafrique'',approches menacées et parfois particulierement balayées ces dernieres années par l'approche Chinoise .......Au Cameroun , un peu au Gabon et demain au Congo . Mais peut être n'ai je pas tout lu de Lugan

                        Sinon je vais bien relire la contribution de Humanbyrace.
                        Mais en l"ayant parcouru un peu, il me semble qu'il n' y a pas de reference à des similitudes de mots trouvés dans l'ancien egyptien voire la langue liturgique copte qui serait derivée pour partie de l'ancien egyptien ...avec certains mots et racines de mots usités dans l'Afrique noire. Il est bien cité le somali mais y a t il que le somali ?

                        Je retrouverai une contribution sur le net qui parle de ces mots de l'ancien egyptien et des mots et raines de mots dans certaines langues de l'Afrique noire .


                        PS : Au fait Humanbyrace , tu sais traduire le turc , je pense ?
                        Dernière modification par Sioux foughali, 04 octobre 2009, 15h01.

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                        • #13
                          Il ya 4 familles linguistiques dans l'Afrique continentale,par contre seule une de ces 4 familles(a savoir l'Afrasien)a des similarites morphologiques et lexicales avec des famille linguistiques non africaines(comme la famille linguistique indo-europeene).

                          Le somali,haussa et autres langues qui sont parles par des populations africaines "noires" sont de la meme super-famille que les langues berberes semitiques et egyptiennes,cependant une classification se basant sur la morphologie de la langue fait regrouper les branches semitiques,berberes et egyptiennes ensemble sous une meme famille(dite famille nord afrasienne).

                          Voila une possible explication faite par le linguiste americain Alain Bomhard

                          The basic pattern of the expansion of the Homo sapiens sapiens on the Eurasian continent, of “the peopling of Eurasia,” is of the “ripple” type, with the Near East in the center pumping waves after waves of immigrants to the east (East Asia), west (Europe), and somewhat later, namely after the retreat of the last ice-age, north and south (back to North Africa). The model of Eurasia-peopling is, that is to say, “Out of the Near East Again and Again.” The first wave has just been described and the linguistic vestiges of it identified. Around 40,000 years or so BP, a second wave of immigration “radiated” outward from the Near East center (“homeland”) to both East Asia and Europe. It’s quite possible that many of the descendants of the “first wave”, already resident in the larger part of South Asia, were “assimilated” by the second wave, the linguistic field of which covered up large section of South Asia. That is, they adopted the customs and languages of the new-comers, having lost their own linguistic and cultural identities. This is a too-often repeated pattern in the story of humans-coming-to-be-in-where-they-are-today, as we shall see. On the other side, arriving in Europe, the immigrants of the “second wave,” the first Homo sapiens sapiens to there turn up, quickly swept across and populated all over the frozen continent (“lasting 5 to 10,000 years”; p. 66, Cavalli-Sforza et al. The History and Geography of Human Genes). They brought with them the more sophisticated Aurignacian lithic culture, in contrast with the local, Mousterian culture of the Homo sapiens neanderthalensis. They brought about, too, the extinction of the latter through their more accelerated population growth. This second wave is today identified as the Dene-(Sino-)Caucasian substratum, at this time constituting a vast dialect field extending over the entire Eurasia from the tip of Spain to probably as far as the coast of Northeast Asia. The time is approximately 30,000 years BP. The European sub-culture of this vast Dene-Caucasian substratum has today left its traces in our memory as the “Cro-Magnon Man.”1 & 2 But only few vestiges from this “second wave” remain today. In the European west the only (linguistic) remnant today is the Basque (in southern France and northern Spain). To the east, the rest of the Dene-Caucasian substratum still remaining includes the north Caucasian family, Burushaski (of Pakistan), Sino-Tibetan, Yeniseian (Siberia), and Na-Dene of North America. Now if we want to identify the bearers of the language ancestral to today’s Chinese languages at this time, i.e. around 30,000 years BP, we can surmise that they were probably at this time no longer in the Near East but were to be found near the Himalayan region, the actual homeland of the Sino-Tibetan family 20,000 years or so later.

                          the Indo-European words for goat, ghaid, and boat, nau, seemed clearly to have been derived from the Semitic cognates gady- and naw.”) “In addition,” Kern and Bomhard continues, “shared words for star and seven suggest a common veneration for that number and perhaps a shared ideology.” Shevoroshkin adds, “Indo-Europeans also appear to have learned about the axe, the millstone, ale and ritual sacrifice from the ancient Semites.” (Ibid.) Bomhard and Kern conclude that these suggest “an association that was social as well as geographical.


                          “The presence of Afroasiatic speakers in North Africa is due to successive waves of expansion from the Near East, each representing a contemporary form of post-Afroasiatic. In the earliest phase, the language may have been close to contemporary Indo-European, having the same SOV syntactic order inherited from Nostratic, and presumably much the same morphology, but already exhibiting the characteristic Afroasiatic feminine in t, which seems to be peculiar to this family. This wave, with its early Nostratic language, must have represented the first flush of Mesolithic influence in Africa, preceding the advent of the agricultural Neolithic in that region. It extended as far as the Ethiopian highlands and the Chad Basin to the Northwest of them, but there bogged down after converting the local African peoples to Nostratic speech as represented by the Cushitic, Omotic, and Chadic speakers of today… It is probable that the Cushitic and Omotic languages still retain traces of early Nostratic morphology… “Later Southward waves of Afroasiatic speakers occurred at times when the old SOV pattern had changed – or was in process of changing – to the historically observed VSO pattern, accounting for the Berber and Old Egyptian speakers, the Semites of Syria, Palestine, Arabia, and Ethiopia, and eventually the Arabic expansion of the present era. The Semitic expansions seem to have been relatively late since their languages are less diverse than in the other branches. This is in harmony with the suggestion… that the early Indo-Europeans and Semites were neighbors in or near the Caucasus at a fairy late period.
                          The proto-Afro-Asiatics have been identified by archaeologists with the Natufians in the territories of Syria and Palestine. “Judging solely from their lexicon, it appears that the Natufians were relatively advanced: they built fortified structures from stone; they cultivated land, raised cattle and hunted with bow and arrow… The Natufians also developed a market system, evident in the existence of words for buy, sell, and price, and they waged war on (kih) and raided (ghwar) their neighbors. Prehistoric poets – or perhaps lawyers – were known for their ability to ‘draw magic signs on sand.’ [Compare these with the emblems the Yang-Shao peoples carved on their potteries.] There were even Natufian haves and have-nots: the rich, who owned w-s-r, or expensive things; those who s-r-kk, or stole; and others made a living by pawning stolen goods…” (Shevoroshkin, ibid., p. 23 – 4.) These proto-Afro-Asiatics, whose linguistic state was still that of general Nostratic (or late Dene-Caucasian subgroup locally), the SOV type, then during their first wave of expansion covered up all of Syriac/ Arabic/ Palestine area and all of North Africa, from the tip of Somalia at the east to the west coast of North Africa. These new colonizers of Africa were of caucasian surface-phenotype; and as their tribes encountered the native Africans, genetic admixtures took place with the natives contributing the major part to the genetic constitution of their common descendants and the new comers the minor part. In linguistic respect however the colonizers had the upperhand, converting native Africans to their Afro-Asiatic speech while the native tongues of North Africa were lost in the process. This is similar to the manner in which the (nuclear) genetic composition of the Ethiopians, for example, was constituted, which constitution however may have been the result of a slow process of admixture since the first wave but not completed until historical times,5 and which consists in a majority of African frequencies plus a minority of Caucasian, reflecting an original mixture of a majority of native Africans with a minority of Caucasians.6 Then a second wave of Afro-Asiatic expansion exploded from the Palestine-Syriac center (the Afro-Asiatic "homeland"), probably for reasons associated with the genesis of agriculture, which would locate this expansion at about 10,000 BP. The new expansion into North Africa again virtually covered up the entire area of the first Afro-Asiatics' north African settlement. By this date, 5000 years after, the Afro-Asiatic dialect in the center ("homeland") had already evolved into the VSO structure recognized today as characteristic of it, seen most conspicuously in the Semitic (e.g. Arabic and Hebrew). Most of the North African speakers of Afro-Asiatic dialects who were descended from the first wave were converted to the speech of the new Afro-Asiatic colonizers, their languages being lost from history. Those Afro-Asiatic dialects from the first wave that survived are located on the periphery: the Cushitic, the Omotic and the Chadic. (See the genealogical tree above left.) The genealogy shows that during the possibly 5,000 years before the second expansion the Afro-Asiatic language field of North Africa had first split into a western dialect, whose modern descendant is the Chadic group, and an eastern dialect, which then split into its western Omotic and eastern Cushitic groups.7 The second wave split into the western Berber groups8 and the eastern Egyptian, which configuration persisted into historic times. Within the central ("homeland") region, there must have been a third, Semitic expansion to cover up a large portion of the Near East and Arabia. The latest Afro-Asiatic expansion, that of the Arabs from the Arabian peninsula ca. 600 A.D., again intruded into North Africa to convert the Egyptian and many of the Berber speakers to the Arabic language. Thus focal expansion occurred repeatedly just within the Afro-Asiatic family itself.
                          PS : Au fait Humanbyrace , tu sais traduire le turc , je pense ?
                          oui
                          يا ناس حبّوا الناس الله موصّي بالحبْ ما جاع فقير إلا لتخمة غني¡No Pasarán! NO to Fascism Ne olursan ol yine gel

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                          • #14
                            Voila la googletranslation du passage en italique:

                            "La présence de locuteurs Afroasiatic en Afrique du Nord est due à des vagues successives d'expansion du Proche-Orient, dont chacun représente une forme contemporaine d'après-Afroasiatic. Dans la première phase, la langue afroasiatrique et son proche parent indoeuropeen,ayant le même ordre SOV(ordre de pharse=sujet-objet-verbe)syntaxiques héritées du Nostratic, et vraisemblablement beaucoup plus la même morphologie, mais présentant déjà les caractéristiques Afroasiatic féminine en t, ce qui semble être particulière à cette famille. Cette vague, avec sa langue Nostratic précoce, doit avoir représenté la première vague d'influence Mésolithique en Afrique, qui précède l'avènement du Néolithique agricole dans cette région. Elle s'étendait aussi loin que les hauts plateaux éthiopiens et le bassin du Tchad au nord-ouest d'entre eux, mais il s'enlise, après conversion des populations locales africaines au discours de Nostratic représentée par le couchitiques, Omotic et haut-parleurs Tchadique d'aujourd'hui ... Il est probable que le couchitiques et langues Omotic conservent encore des traces de morphologie Nostratic tôt ... »Plus tard, vers le sud des vagues de haut-parleurs Afroasiatic survenus à des moments où l'ancien modèle SOV avait changé - ou était en train de changer - pour le modèle VSO historiquement observée, comptant pour le berbère et le Vieux - égyptienne haut-parleurs, les Sémites de la Syrie, la Palestine, d'Arabie et l'Ethiopie, et éventuellement l'expansion arabe de l'époque actuelle. Les expansions sémites semblent avoir été relativement tardif, puisque leurs langues sont moins diversifiées que dans les autres branches. Ceci est en harmonie avec la suggestion ... que les Indo-Européens au début et les Sémites étaient voisins dans ou près du Caucase à une periode assez récente.
                            Les peuples proto-afro-asiatiques ont été identifiés par les archéologues avec les Natoufiens dans les territoires de la Syrie et la Palestine. “Judging solely from their lexicon, it appears that the Natufians were relatively advanced: they built fortified structures from stone; they cultivated land, raised cattle and hunted with bow and arrow… The Natufians also developed a market system, evident in the existence of words pour acheter, vendre, et le prix, et ils firent la guerre (KIH) et effectué des descentes (ghwar)de leurs voisins. Poètes préhistorique - ou peut-être les avocats - sont connus pour leur capacité à «tirer des signes magiques sur le sable." [Comparez-les avec les emblèmes du Yang-Shao peuples sculpté sur leurs poteries.] Il y avait même Natoufien nantis et les démunis: les riches , qui possédait WSR, ou des choses chères, ceux qui sr-kk, ou volé, et d'autres ont gagné leur vie par mise en gage des biens volés ... "(Shevoroshkin, ibid., p. 23 - 4.) Ces proto-afro-asiatiques, dont la état linguistique était encore celle du général Nostratic (ou tard Dene-caucasienne du sous-groupe local), le type SOV, puis lors de leur première vague d'expansion couvert toutes syriaque / Arabe / Palestine région et l'ensemble de l'Afrique du Nord, de la pointe de la Somalie à l'est jusqu'à la côte ouest de l'Afrique du Nord. Ces nouveaux colonisateurs de l'Afrique étaient de la surface du phénotype caucasien, et, comme leurs tribus rencontrées.
                            Les indigènes africains,contribuant à la majeure partie de la constitution génétique de leurs descendants communs et les nouveaux venus de la partie mineure. En ce qui concerne la linguistique, toutefois les nouveaux migrants ont eu la main haute, la conversion de personnes originaires d'Afrique de leur discours afro-asiatique, tandis que les langues indigènes d'Afrique du Nord ont été perdues dans le processus. Ceci est similaire à la manière dont l'(nucléaire), la composition génétique des Éthiopiens, par exemple, a été constitué, qui Constitution Cependant mai ont été le résultat d'un lent processus de mélange depuis la première vague, mais pas terminée jusqu'à l'époque historique, à 5 et qui consiste dans la majorité des fréquences d'Afrique, plus une minorité de race blanche, ce qui reflète un mélange original d'une majorité de personnes originaires d'Afrique avec une minorité de Caucasians.6 Puis une seconde vague d'expansion de l'afro-asiatique a explosé, passant de la Palestine-syriaque centre (le Afro-Asiatic «patrie»), probablement pour des raisons liées à la genèse de l'agriculture, qui permettrait de situer cette expansion à environ 10000 BP. La nouvelle expansion en Afrique du Nord à nouveau pratiquement couvert tout le territoire de la communauté afro premier établissement d'Afrique du Nord Asiatiques ». À cette date, après 5000 ans, le dialecte afro-asiatique dans le centre ( «patrie») avait déjà évolué dans la structure VSO aujourd'hui reconnu comme une caractéristique de celui-ci, observée le plus ostensiblement dans les langues sémitiques (comme l'arabe et hébreu). La plupart des orateurs d'Afrique du Nord de l'afro-asiatiques dialectes qui étaient les descendants de la première vague ont été convertis à la parole de la communauté afro nouveaux colonisateurs asiatiques, leurs langues se perdent de l'histoire. Ces dialectes Afro-asiatiques de la première vague qui ont survécu sont situés à la périphérie: la couchitiques, le Omotic et le tchadique. (Voir l'arbre généalogique en haut à gauche.) La généalogie montre que pendant les 5000 années avant d'éventuellement la deuxième extension du domaine des langues afro-asiatiques de l'Afrique du Nord avaient d'abord séparée en un dialecte de l'Ouest, dont le descendant moderne est le groupe tchadique, et une zone orientale dialecte, puis partagé en couchitiques Omotic occidentale et orientale groups.7 La scission deuxième vague dans le berbère groups8 ouest et l'est des égyptiens, la configuration qui a persisté dans les temps historiques. Dans le central ( «patrie») région, il devait y avoir une expansion, troisième sémitiques de couvrir une grande partie du Proche-Orient et en Arabie. La dernière expansion afro-asiatique, celle des Arabes de la péninsule arabique ca. 600 de notre ère, de nouveau pénétré dans l'Afrique du Nord pour convertir les égyptiens et un grand nombre des locuteurs de berbère à la langue arabe. Donc l'expansion de contact s'est produit à plusieurs reprises seulement au sein de la famille afro-asiatique lui-même.
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