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Le taux de remplissage des barrages en moyenne nationale a atteint 64% en septembre. « Du jamais vu en ce mois de l’année depuis 30 ans », souligne Abdelmalek Sellal, ministre des Ressources en eau en visite jeudi dans la wilaya de Tiaret.
Cet exploit est dû aux fortes précipitations dont le pays a été généreusement gratifié. La forte pluviométrie qui a touché différentes parties du pays en une période connue pour être des moins arrosées augure d’une bonne année pour les ressources hydriques. « Les experts dans le monde sont partagés par rapport aux effets du changement climatique, certains prédisent la sécheresse, d’autres les inondations.
Comme il n’est pas évident d’avoir avec précision les prévisions météorologiques au-delà de sept jours, nous préférons tout de même opter pour la prudence, d’où les objectifs du secteur de densifier les réseaux de collecte d’eau.
Des appels d’offres ont été lancés cette année pour la construction de cinq nouveaux barrages, et trois autres pour l’année 2010 dans les wilayas de Relizane, Souk Ahras et Tizi Ouzou. Nous comptons aussi ériger trois nouvelles stations de dessalement d’eau de mer », souligne le ministre.
La capacité d’épuration des eaux usées pour le secteur agricole, qui compte une centaine d’unités réparties sur le territoire nationale, passera aus si de 450 000 m3 d’eau épurée aujourd’hui à 650 000 m3 en 2010. Outre ces prévisions, le secteur préconise de se doter de quatre barrages de réserve afin de prévenir toute menace de sécheresse. « Pour les cinq prochaines années, des efforts seront fournis pour alimenter cette région à vocation agricole à travers notamment l’épuration des eaux usées ainsi qu’avec l’utilisation du barrage de Dahmouni pour les seuls besoins agricoles », a souligné le ministre. La wilaya de Tiaret qui compte le magnifique ouvrage du barrage de Bakhadda exceptionnellement rempli à 100% cette année, se verra dotée d’une nouvelle infrastructure du même type à partir du début de l’année prochaine à Taht. S’arrêtant au niveau de l’unique station d’épuration d’eau de Tiaret, le ministre a donné ordre pour qu’une femme soit désignée à la tête de l’unité et plaida pour l’utilisation de moyens mécaniques pour la déshydratation des déchets. Tiaret.
Par Nadjia Bouaricha (El Watan)
Cet exploit est dû aux fortes précipitations dont le pays a été généreusement gratifié. La forte pluviométrie qui a touché différentes parties du pays en une période connue pour être des moins arrosées augure d’une bonne année pour les ressources hydriques. « Les experts dans le monde sont partagés par rapport aux effets du changement climatique, certains prédisent la sécheresse, d’autres les inondations.
Comme il n’est pas évident d’avoir avec précision les prévisions météorologiques au-delà de sept jours, nous préférons tout de même opter pour la prudence, d’où les objectifs du secteur de densifier les réseaux de collecte d’eau.
Des appels d’offres ont été lancés cette année pour la construction de cinq nouveaux barrages, et trois autres pour l’année 2010 dans les wilayas de Relizane, Souk Ahras et Tizi Ouzou. Nous comptons aussi ériger trois nouvelles stations de dessalement d’eau de mer », souligne le ministre.
La capacité d’épuration des eaux usées pour le secteur agricole, qui compte une centaine d’unités réparties sur le territoire nationale, passera aus si de 450 000 m3 d’eau épurée aujourd’hui à 650 000 m3 en 2010. Outre ces prévisions, le secteur préconise de se doter de quatre barrages de réserve afin de prévenir toute menace de sécheresse. « Pour les cinq prochaines années, des efforts seront fournis pour alimenter cette région à vocation agricole à travers notamment l’épuration des eaux usées ainsi qu’avec l’utilisation du barrage de Dahmouni pour les seuls besoins agricoles », a souligné le ministre. La wilaya de Tiaret qui compte le magnifique ouvrage du barrage de Bakhadda exceptionnellement rempli à 100% cette année, se verra dotée d’une nouvelle infrastructure du même type à partir du début de l’année prochaine à Taht. S’arrêtant au niveau de l’unique station d’épuration d’eau de Tiaret, le ministre a donné ordre pour qu’une femme soit désignée à la tête de l’unité et plaida pour l’utilisation de moyens mécaniques pour la déshydratation des déchets. Tiaret.
Par Nadjia Bouaricha (El Watan)
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