L'arrière-saison
L'arrière-saison, aux portes du temps
Figée sur les arbres, brulés aux volcans
Scintille sur l'eau d'un lac envoutant,
Baigne mon âme, dans un mouvement
Face a mes doutes, j'imagine l'abstrait
Abstraction, des réactions, rien de suspect
J'emporte dans mon baluchon, un livre
Qui conte l'histoire des saisons ivres...
D'un mouvement de bras, tout s'éclaircit
Suffisait-il d'oser pénétré le bruit ?
S'intercaler dans les calcaires du vent
Me laisser porter, sans calcul savants
Simplement effleurer de l'âme l'inconscient
Et un clignement de cils, en s'endormant
Sur les presqu'iles d'un espoir dénoué
Trop longtemps agripper a la fatalité
Mes amis avaient tous dit la vérité,
Mais c'est seul que doit désormais m'en aller
Frappant de mes galops assoupis
La terre de laine, désolé, je m'enfuis...
Mortifiant les hièbles ébènes désarticulées
Hyènes assiégé et chevaux tout défoncés
Rien n'emporte plus haut le cri des damnés
Sinon la joie de vous offrir mon sourire réincarné
Un oncle invertébré m'a pris dans ces bras
Tissant de sa mémoire rouillé, une toile de vie
Dessinant le visage de ma mère d'un geste étroit
Celle qui engendre a vraiment tout les droits...
Je donnerais mes définitions en protèges cahiers
Et mauves, de saturnes a ma maison saturée
De gribouillages, d'enfants mal éduqué
Hominidés, race supérieur, et conneries héritées
Je fait une halte, sur mes désirs morts nés
Et sans parlé du sang, j'ai les mains souillées
J'ai lavé mon honneur, l'ai essuyé sur la lune
Les brunes ne comptent pas pour des prunes...
Le lierre sur mon corps, comme un verdict
Lichen dégoulinant sur ma peau toute bleue
Me rappel que touareg et pensées strictes
Ne font ni bon ménage ni ne plaisent aux cieux
Je n'ai pas échoué, j'ai vaincu les frontières !
Bibendums de sodium je vous garde une prière !
Prend soin de changer ta peau et ce cœur de pierre
Quant a moi l'arrière-saison me délivre d'hier...
Chaarar,
L'arrière-saison, aux portes du temps
Figée sur les arbres, brulés aux volcans
Scintille sur l'eau d'un lac envoutant,
Baigne mon âme, dans un mouvement
Face a mes doutes, j'imagine l'abstrait
Abstraction, des réactions, rien de suspect
J'emporte dans mon baluchon, un livre
Qui conte l'histoire des saisons ivres...
D'un mouvement de bras, tout s'éclaircit
Suffisait-il d'oser pénétré le bruit ?
S'intercaler dans les calcaires du vent
Me laisser porter, sans calcul savants
Simplement effleurer de l'âme l'inconscient
Et un clignement de cils, en s'endormant
Sur les presqu'iles d'un espoir dénoué
Trop longtemps agripper a la fatalité
Mes amis avaient tous dit la vérité,
Mais c'est seul que doit désormais m'en aller
Frappant de mes galops assoupis
La terre de laine, désolé, je m'enfuis...
Mortifiant les hièbles ébènes désarticulées
Hyènes assiégé et chevaux tout défoncés
Rien n'emporte plus haut le cri des damnés
Sinon la joie de vous offrir mon sourire réincarné
Un oncle invertébré m'a pris dans ces bras
Tissant de sa mémoire rouillé, une toile de vie
Dessinant le visage de ma mère d'un geste étroit
Celle qui engendre a vraiment tout les droits...
Je donnerais mes définitions en protèges cahiers
Et mauves, de saturnes a ma maison saturée
De gribouillages, d'enfants mal éduqué
Hominidés, race supérieur, et conneries héritées
Je fait une halte, sur mes désirs morts nés
Et sans parlé du sang, j'ai les mains souillées
J'ai lavé mon honneur, l'ai essuyé sur la lune
Les brunes ne comptent pas pour des prunes...
Le lierre sur mon corps, comme un verdict
Lichen dégoulinant sur ma peau toute bleue
Me rappel que touareg et pensées strictes
Ne font ni bon ménage ni ne plaisent aux cieux
Je n'ai pas échoué, j'ai vaincu les frontières !
Bibendums de sodium je vous garde une prière !
Prend soin de changer ta peau et ce cœur de pierre
Quant a moi l'arrière-saison me délivre d'hier...
Chaarar,
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