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Djoher Amhis-Ouksel n’est pas une enseignante à la retraite, c’est un repère incontournable de l’enseignement en Algérie et un électron inassimilable et vertigineux à la fois de la vie culturelle algérienne”, soutient à juste titre l’écrivain Rachid Boudjedra dans la préface de l’opuscule paru récemment aux éditions Casbah.
“D’une rive à l’autre”, une lecture de “la terre et le sang” et “Les chemins qui montent”, deux romans de Mouloud Ferraoun, c’est le titre de cet ouvrage qui décline sur un mode séquentiel et simplifié la trêve des deux œuvres de l’écrivain assassiné à El Biar le 15 mars 1962 par l’AOS.
Le livre à valeur didactique propose d’abord une biographie concise de l’enfant de Tizi-Hibel qui a partagé sa vie professionnelle entre l’éducation et l’écriture romantique. Forte d’une expérience longue de plusieurs décennies, l’auteur lève le voile sur les mécanismes de la construction littéraire et la trame du récit Feraounien.
En démêlant l’ écheveau des situation qui sont, à l’évidence, incriticables Ouksel donne une grille de lecture limpide permettant au plus néophyte des lecteurs d’appréhender l’œuvre littéraire de Mouloud Feraoun.
La première partie de l’ouvrage est consacrée au roman La terre et le sang dont le récit se déroule au village Ighil Nezman (La colline d’autrefois) autour de deux personnages principaux : Amer et sa femme Marie.
La deuxième partie quant à elle, est dédiée au roman “Les chemins qui montent” qui “met en relief une histoire d’amour tragique mais surtout le drame de deux êtres écartelés entre deux civilisations : Amer Français par sa mère et vit à Ighil Nezman ; Dehbia est chrétienne dans un village de musulmans. C’est au moment où ces deux êtres se rencontrent que la mort les sépare brutalement...” , note l’auteur.
Par la Dépêche de Kabylie
“D’une rive à l’autre”, une lecture de “la terre et le sang” et “Les chemins qui montent”, deux romans de Mouloud Ferraoun, c’est le titre de cet ouvrage qui décline sur un mode séquentiel et simplifié la trêve des deux œuvres de l’écrivain assassiné à El Biar le 15 mars 1962 par l’AOS.
Le livre à valeur didactique propose d’abord une biographie concise de l’enfant de Tizi-Hibel qui a partagé sa vie professionnelle entre l’éducation et l’écriture romantique. Forte d’une expérience longue de plusieurs décennies, l’auteur lève le voile sur les mécanismes de la construction littéraire et la trame du récit Feraounien.
En démêlant l’ écheveau des situation qui sont, à l’évidence, incriticables Ouksel donne une grille de lecture limpide permettant au plus néophyte des lecteurs d’appréhender l’œuvre littéraire de Mouloud Feraoun.
La première partie de l’ouvrage est consacrée au roman La terre et le sang dont le récit se déroule au village Ighil Nezman (La colline d’autrefois) autour de deux personnages principaux : Amer et sa femme Marie.
La deuxième partie quant à elle, est dédiée au roman “Les chemins qui montent” qui “met en relief une histoire d’amour tragique mais surtout le drame de deux êtres écartelés entre deux civilisations : Amer Français par sa mère et vit à Ighil Nezman ; Dehbia est chrétienne dans un village de musulmans. C’est au moment où ces deux êtres se rencontrent que la mort les sépare brutalement...” , note l’auteur.
Par la Dépêche de Kabylie