Je rentre à ma cahute vilaine
Mes idées perdues s’endorment..
L’amour retourne s’accouder à la fenêtre,
A reprit son attente de la nuit, en interrogeant
Les trottoirs, au loin….
Au dessus d’une lanterne aux vitres étoilées
Ses yeux sont devenus d’un noir d’encre
Dans son visage blême..
Le vent froisse les cœurs des insomnies
Qui sont déjà en révolte et éveillé..
Le froid domine les vacances
Il gèle toutes les romances……..
Une neige d’élégance arrive en avance
Sur mes terres déjà en souffrance
Dans un long trajet de sommeil….
Le soleil se lève, les souvenirs s’effacent
Le temps perd ses traces sur l’azur d’océan…
Le vent gémit dans les branches
Il passe son temps à geindre sur son sort..
L’épée de temps calice ma vie en rondelle
Le destin germe le bonheur des matins..
Ton amour se noie dans l’indigence,
Ton cœur demande la tolérance
Et ton esprit me réclame avec insistance….
Mes idées perdues s’endorment..
L’amour retourne s’accouder à la fenêtre,
A reprit son attente de la nuit, en interrogeant
Les trottoirs, au loin….
Au dessus d’une lanterne aux vitres étoilées
Ses yeux sont devenus d’un noir d’encre
Dans son visage blême..
Le vent froisse les cœurs des insomnies
Qui sont déjà en révolte et éveillé..
Le froid domine les vacances
Il gèle toutes les romances……..
Une neige d’élégance arrive en avance
Sur mes terres déjà en souffrance
Dans un long trajet de sommeil….
Le soleil se lève, les souvenirs s’effacent
Le temps perd ses traces sur l’azur d’océan…
Le vent gémit dans les branches
Il passe son temps à geindre sur son sort..
L’épée de temps calice ma vie en rondelle
Le destin germe le bonheur des matins..
Ton amour se noie dans l’indigence,
Ton cœur demande la tolérance
Et ton esprit me réclame avec insistance….
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