Tweet
Depuis le temps que les établissements bancaires rêvaient de mettre en place le chèque payant et bien dès le 1er Janvier 2006. Les clients du CIC qui se servent régulièrement de chèques comme moyen de paiements seront facturé 50 centimes d'euro. De même seront facturées les remises de chèques, les retraits et les versements d'espèces effectués aux guichets des agences. Le CIC est le premier établissement bancaire à mettre le chèque payant en place il me semblerait étonnant qu'il reste le seul.
===
50 centimes d'euro, c'est ce qu'il vous en coûtera si vous êtes client du CIC et faites régulièrement des chèques. Le quotidien économique Les Echos révèle, dans son édition du 30 décembre 2005, que le Crédit industriel et commercial, filiale du Crédit mutuel, facturera dès le 1er janvier ce supplément aux personnes utilisant régulièrement leurs chéquiers.
La mesure vise les clients qui dépasseront un quota de 15 opérations non automatisées par trimestre, 25 opérations pour les couples ayant un compte joint. Ce nouveau dispositif ne concerne pas uniquement les émissions de chèque, seront en effet également facturées les remises de chèques, les retraits et les versements d'espèces effectués aux guichets des agences. La facturation est plafonnée : elle sera au maximum 30 euros par trimestre.
Ce dispositif est tout à fait légal, la seule interdiction faite aux banques étant la facturation du chéquier. Pour justifier cette décision, le groupe, huitième réseau bancaire français, évoque sur son site Internet "une participation aux frais de traitement des opérations semi ou non automatisées".
Cette facturation comporte un certain nombre d'exceptions. Ne seront pas concernées les personnes âgées de plus de 60 ans ou de moins de 25 ans. La mesure ne s'appliquera pas aux interdits bancaires ou aux "clients titulaires de moyens de paiement alternatifs", précisent Les Echos. Selon le CIC, seuls 5 % des clients seront pénalisés.
Les Echos indiquent que ces clients ont été informés de ce nouveau dispositif dès le mois d'octobre. Retraits d'espèces ou dépôts de chèque, ils devront désormais se rabattre sur les distributeurs automatiques du groupe. Mais que les clients des autres banques se rassurent, selon Les Echos, "les concurrents du CIC semblaient [jeudi] peu enclins à lui emboîter le pas".
Source: Le monde
===
50 centimes d'euro, c'est ce qu'il vous en coûtera si vous êtes client du CIC et faites régulièrement des chèques. Le quotidien économique Les Echos révèle, dans son édition du 30 décembre 2005, que le Crédit industriel et commercial, filiale du Crédit mutuel, facturera dès le 1er janvier ce supplément aux personnes utilisant régulièrement leurs chéquiers.
La mesure vise les clients qui dépasseront un quota de 15 opérations non automatisées par trimestre, 25 opérations pour les couples ayant un compte joint. Ce nouveau dispositif ne concerne pas uniquement les émissions de chèque, seront en effet également facturées les remises de chèques, les retraits et les versements d'espèces effectués aux guichets des agences. La facturation est plafonnée : elle sera au maximum 30 euros par trimestre.
Ce dispositif est tout à fait légal, la seule interdiction faite aux banques étant la facturation du chéquier. Pour justifier cette décision, le groupe, huitième réseau bancaire français, évoque sur son site Internet "une participation aux frais de traitement des opérations semi ou non automatisées".
Cette facturation comporte un certain nombre d'exceptions. Ne seront pas concernées les personnes âgées de plus de 60 ans ou de moins de 25 ans. La mesure ne s'appliquera pas aux interdits bancaires ou aux "clients titulaires de moyens de paiement alternatifs", précisent Les Echos. Selon le CIC, seuls 5 % des clients seront pénalisés.
Les Echos indiquent que ces clients ont été informés de ce nouveau dispositif dès le mois d'octobre. Retraits d'espèces ou dépôts de chèque, ils devront désormais se rabattre sur les distributeurs automatiques du groupe. Mais que les clients des autres banques se rassurent, selon Les Echos, "les concurrents du CIC semblaient [jeudi] peu enclins à lui emboîter le pas".
Source: Le monde