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Arrêter une démarche pour assurer la diversification de l’économie en Algérie. C’est sur ce dossier que se penche actuellement le Haut-Commissariat à la planification et à la prospective (HCPP) en collaboration avec différents départements ministériels.
Depuis le 1er octobre, le HCPP tient des réunions régulières avec les représentants des ministères autour de cette démarche qu’on veut «cohérente et sérieuse» pour reprendre les termes utilisés par un membre du
commissariat. Ces parties travaillent autour de cinq axes principaux : les secteurs compétitifs, l’énergie, l’aménagement du territoire, le développement humain et, enfin, les institutions et les modes de gouvernance.
L’objectif est d’identifier pour le premier axe les secteurs à développer en fonction de leur compétitivité. Le but est également de rechercher les moyens susceptibles d’assurer l’adaptation face aux changements en matière d’énergie et de clarifier les choses dans le débat sur l’épuisement des énergies fossiles et le recours aux énergies renouvelables.
Pour les trois autres axes, le travail est concentré autour des méthodes d’amélioration des indicateurs de développement humain en Algérie, des bases de la stratégie nationale d’aménagement du territoire et, enfin, des moyens à même d’assurer une meilleure gouvernance autour de ces institutions. Une fois élaborée, cette stratégie sera soumise au gouvernement puisque la mission principale du HCPP est d’assister le gouvernement dans le choix et l’élaboration de sa stratégie économique. Une stratégie dont l’objectif est d’assurer une indépendance à l’égard des hydrocarbures.
Face à la nécessité d’instaurer une économie indépendante des hydrocarbures, le président de la République a d’ailleurs, à maintes reprises, relevé l’urgence de mettre en place une économie productive à travers sa diversification.
Cet appel est revenu pratiquement dans tous les discours présidentiels, notamment lors de son investiture après son élection pour un troisième mandat. Voilà qu’aujourd’hui le HCPP se penche sur le dossier.
Mais, globalement, la mission de ce commissariat semble durer pour l’heure d’autant que de nombreuses questions sont à éclairer dans le fonctionnement du HCPP.
Idem pour les prérogatives de cette instance transversale. Sur un autre plan, le HCPP, qui est également chargé de mettre de l’ordre dans la statistique nationale, prépare la deuxième plénière du Centre national des statistiques (CNS) pour un premier bilan. Et ce, avant de préparer le programme de travail pour 2010. Le plus urgent pour l’heure est de clarifier les points dans le tableau de bord économique de l'Algérie.
Par La Tribune
Depuis le 1er octobre, le HCPP tient des réunions régulières avec les représentants des ministères autour de cette démarche qu’on veut «cohérente et sérieuse» pour reprendre les termes utilisés par un membre du
commissariat. Ces parties travaillent autour de cinq axes principaux : les secteurs compétitifs, l’énergie, l’aménagement du territoire, le développement humain et, enfin, les institutions et les modes de gouvernance.
L’objectif est d’identifier pour le premier axe les secteurs à développer en fonction de leur compétitivité. Le but est également de rechercher les moyens susceptibles d’assurer l’adaptation face aux changements en matière d’énergie et de clarifier les choses dans le débat sur l’épuisement des énergies fossiles et le recours aux énergies renouvelables.
Pour les trois autres axes, le travail est concentré autour des méthodes d’amélioration des indicateurs de développement humain en Algérie, des bases de la stratégie nationale d’aménagement du territoire et, enfin, des moyens à même d’assurer une meilleure gouvernance autour de ces institutions. Une fois élaborée, cette stratégie sera soumise au gouvernement puisque la mission principale du HCPP est d’assister le gouvernement dans le choix et l’élaboration de sa stratégie économique. Une stratégie dont l’objectif est d’assurer une indépendance à l’égard des hydrocarbures.
Face à la nécessité d’instaurer une économie indépendante des hydrocarbures, le président de la République a d’ailleurs, à maintes reprises, relevé l’urgence de mettre en place une économie productive à travers sa diversification.
Cet appel est revenu pratiquement dans tous les discours présidentiels, notamment lors de son investiture après son élection pour un troisième mandat. Voilà qu’aujourd’hui le HCPP se penche sur le dossier.
Mais, globalement, la mission de ce commissariat semble durer pour l’heure d’autant que de nombreuses questions sont à éclairer dans le fonctionnement du HCPP.
Idem pour les prérogatives de cette instance transversale. Sur un autre plan, le HCPP, qui est également chargé de mettre de l’ordre dans la statistique nationale, prépare la deuxième plénière du Centre national des statistiques (CNS) pour un premier bilan. Et ce, avant de préparer le programme de travail pour 2010. Le plus urgent pour l’heure est de clarifier les points dans le tableau de bord économique de l'Algérie.
Par La Tribune