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La succession du président Bouteflika en question

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  • La succession du président Bouteflika en question

    L'éloignement et l'hospitalisation du président Bouteflika pour raison de santé a mis en exergue l'absence de dauphin désigné mais deux personnalités émergent : le premier ministre Ahmed Ouyahia et le chef du FLN Abdelaziz Belkhadem.

    ====

    En dépit du retour annoncé d'un président algérien encore convalescent, la succession d'Abdelaziz Bouteflika est entrouverte. Car en un peu plus d'un mois de vacance du pouvoir, quelque chose a changé à Alger. Lorsqu'il est transporté en urgence à l'hôpital parisien du Val-de-Grâce, le 26 novembre, l'homme fort de l'Algérie de l'après-guerre civile est au sommet de sa puissance. A 68 ans, il paraît engagé, comme la plupart des chefs d'Etat du monde arabe, sur la voie de la présidence à vie. Mais aujourd'hui, le chef de l'État au tempérament de puncheur apparaît soudainement fragile et usé. L'hypothèse de son départ au moins en fin de son mandat n'est plus impensable.

    Élu en 1999, après avoir été choisi par les généraux, Abdelaziz Bouteflika s'est imposé en tournant la page des années noires du terrorisme avec un référendum de réconciliation nationale. Plébiscité en 2004, il se débarrasse de la tutelle des hauts responsables des forces armées, tout en s'assurant du soutien du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), les omniprésents «services».

    Sa bête noire, le général Khaled Nezzar, responsable de l'arrêt du processus électoral lors de la percée du Front islamique du salut (FIS) en 1991, se fait discret ; son mentor, le général Larbi Belkheir, part comme ambassadeur au Maroc ; et le chef d'état-major des armées, Mohammed Lamari, prend sa retraite.

    Le flot de devises, provoqué par l'explosion du prix des hydrocarbures, favorise la relance de l'économie et l'Algérie recouvre son statut international. Le président peut déjà rêver d'un troisième mandat. Avec à la clé une réforme de la Constitution confirmée par un référendum populaire qui accentue la concentration des pouvoirs et présidentialise le régime. Abdelaziz Bouteflika est-il toujours aujourd'hui en mesure de tenir ce pari ? Rien n'est moins sûr. Un halo de mystère entoure toujours ses problèmes de santé. Le doute s'est installé dans les esprits.

    Information tardive

    L'affaiblissement physique du président, constaté lors de sa brève intervention télévisée, attise les spéculations. Si la France n'a rien à envier en matière de secret médical présidentiel, l'Algérie pulvérise les records. En 1978, Houari Boumediene agonise durant des mois sans que soit livrée la moindre explication. Il est hospitalisé durant six semaines à Moscou. Le régime évoque une visite chez le partenaire soviétique. Ramené dans un état comateux à Alger, il meurt six semaines plus tard.

    Face à la rumeur, les autorités ont cette fois décidé tardivement d'informer, en partie, l'opinion publique. De leur côté, les médias officiels tentent de dissiper les équivoques. Dans ses colonnes, El Moudjahid estime avec enthousiasme que «le retour (de Bouteflika) donnera à la vie de la nation une autre dimension». Cela sera-t-il suffisant pour lever les interrogations ? Lancinantes, les mêmes questions agitent le Tout-Alger : les «décideurs» mis à l'écart vont-ils revenir occuper les premières loges du théâtre d'ombres du sérail ? Qui pourrait, en cas d'empêchement, succéder à un chef d'Etat qui n'a pas de dauphin désigné ?

    Deux personnalités d'expérience émergent dans la majorité présidentielle : Ahmed Ouyahia, premier ministre et secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND) et Abdelaziz Belkhadem, ministre spécial et chef du Front de libération nationale (FLN). Le premier est un technocrate quinquagénaire ; le second un nationaliste conservateur. Tous deux se gardent bien d'afficher, en ces temps difficiles, la moindre ambition. Mais dans le désert politique provoqué par la maladie du «raïs», ils sont les uniques voix audibles. Les intérimaires cherchent à rassurer, annonçant tour à tour depuis maintenant plus de trois semaines le retour imminent du souffrant. Les faits devraient leur donner finalement raison demain.

    Source: Le Figaro

  • #2
    C'est une question importante à laquelle il faut trouver une solution rapide et efficace.Une solution constitutionnelle.

    Notre constitution actuelle est dépassée par le niveau de developpement de l'algérie.Nos institutions sont de plus en plus sollicitées que ce soit à l'échelle nationale ou internationale.
    L'absence involontaire de notre président a dévoilé aussi certaines lacunes ou insuffisances.Et heureusement que l'Algérie est en temps de paix et plus ou moins stable.Je me demande ce qui serait passé s'il y avait des troubles ou autres émeutes graves.Ou si l'algérie était menacé ds son intégrité etc...
    Donc URGENCE D'UNE REVISION CONSTITUTIONNELLE.

    Quant à tous ceux qui ont "peur" zaâma d'une troisième candidature de boutef ,je ne vois pas où est le problème.C'est le peuple qui décide et lui seul.Si le peuple veut boutef et si celui-ci en est capable de gérer physiquement et mentalement il n'y a pas de problèmes.Que les autres candidats osent l'affronter et séduire le peuple.La bataille ou victoire n'en seront que valorisantes.
    Dernière modification par sirroco, 30 décembre 2005, 17h12.

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    • #3
      Si le peuple veut boutef et si celui-ci en est capable de gérer physiquement et mentalement il n'y a pas de problèmes.Que les autres candidats osent l'affronter et séduire le peuple.La bataille ou victoire n'en seront que valorisantes.

      Bonjour les beni oui oui
      Eh ben je te réponds en te disnat que si il est si sûr de lui, il n'a qu'à ouvrir le champs audio visuel, et arretez de mater toute voie opposante, a ce moment là on verra si le peuple votera pour lui.

      Par contre si il continue à utiliser la télévision et les moyens de l'etat pour sa compagne electorale c'est normal qu'il gangnera les élections haut et fort!

      Si on ajoute à cela l'inculture du peuple algerien et la faiblesse de sa consience politique tout devient clair comme l'eau de roche...

      Tiens il parait que demain samedi il y aura un grand défilé pour accueillir le saint Bouteflika de retour de sans séjours hospitalier...pfff on se croirerait dans la Chine de Mao...

      Parfois j'ai vraiment honte de mon pays!

      Commentaire


      • #4
        Bonjour les beni oui oui
        Eh ben je te réponds en te disnat que si il est si sûr de lui, il n'a qu'à ouvrir le champs audio visuel, et arretez de mater toute voie opposante, a ce moment là on verra si le peuple votera pour lui.

        Par contre si il continue à utiliser la télévision et les moyens de l'etat pour sa compagne electorale c'est normal qu'il gangnera les élections haut et fort!

        Si on ajoute à cela l'inculture du peuple algerien et la faiblesse de sa consience politique tout devient clair comme l'eau de roche...

        Tiens il parait que demain samedi il y aura un grand défilé pour accueillir le saint Bouteflika de retour de sans séjours hospitalier...pfff on se croirerait dans la Chine de Mao...

        Parfois j'ai vraiment honte de mon pays
        Bonjour les non-nonnistes et grands démocrates...
        T'es vraiment l'éxemple type de certains "démocrates" et cultivés par auto-proclamation.

        En plus t'oses insulter le peuple algérien en le traitant d'INCULTE !!!!!.
        Quel "cultivé" que t'es la lumière.Tu prouves bruyamment ta faiblesse manifeste.

        En tout cas ,et surtout ,je ne vais m'abbaisser pour te répondre à ta juste mesure.C'est trop bas.Cependant je peux te garantir que des petits comme toi le peuple algérien n'en a cure.

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        • #5
          Et ben c'est moi qui ne va pas me rabaisser à répondre à tes insultes.

          Ma seule réponse est ta propore signataure:
          Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt...

          Commentaire


          • #6
            Et ben c'est moi qui ne va pas me rabaisser à répondre à tes insultes.

            Ma seule réponse est ta propore signataure:
            Quand le sage montre la lune, l'idiot regarde le doigt
            Bravo pico....Reste à ton "niveau"...

            C'est vrai que ma signature est trés clairement dirigée..

            Un sage ne traite jamais tout un peuple d'INCULTE.Je crois qu'on ne peut être plus clair.
            Dernière modification par sirroco, 30 décembre 2005, 17h44.

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            • #7
              Envoyé par pico
              Parfois j'ai vraiment honte de mon pays!


              et beh non mon frere il ne faut jamais...

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              • #8
                encore un qui s'est trompé de peuple.

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                • #9
                  @ sirroco

                  Je vois que tu t'es recconu dans mes propos, d'ou ton agitation.

                  N'ayant pas envie de dévier le sujet du topic (ce qui menera automatiquement à sa cloture) et ne pouvant pas rabaisser d'avantage mon niveau, je te dit bye bye...

                  Et quelle que soit ta réponse je ne te réponderais plus. Comme on dit en arabe la meilleur réponse à un idiot est le silence.
                  Dernière modification par pico, 30 décembre 2005, 18h10.

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                  • #10
                    ouyahia belkhadem on est donc pas pret de sortir de l'auberge
                    "Penser globalement, agir localement" Jacques Ellul

                    Commentaire


                    • #11
                      C'est ce que on appelle deux faces de la même pièce de monnaie.

                      Le problème est que le clientélisme a fait qu'aujourd'hui en Algérie, notre monnaie à non pas deux faces mais des centaines!

                      Donc adieu l'alternance...

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                      • #12
                        Envoyé par tostao
                        ouyahia belkhadem on est donc pas pret de sortir de l'auberge
                        Tu oublies Benflis l'outsider, il risque de sortir du chapeau.
                        Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

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                        • #13
                          Spéculation en pleine fièvre

                          Pour pimenter l'intrigue au sujet de la succession de boutef, présente ou avenir, voici un article sorti du Think Tank marocain, une possibilité comme une autre.

                          L’admission en urgence du président Bouteflika à l’hôpital militaire duVal-de-Grâce a suscité trop d’interrogations. La manière avec laquelle on avait géré la santé du chef de l’État algérien au plan de la communication n’a fait qu’augmenter les doutes. Anticipant sur toutes éventualités, l’armée a déjà pris les dispositions nécessaires, prouvant qu’elle n’a jamais cessé d’être le «pouvoir réel».
                          La suite...
                          http://www.algeria-watch.de/fr/artic...eculations.htm
                          Dernière modification par zek, 30 décembre 2005, 20h31.
                          Si vous ne trouvez pas une prière qui vous convienne, inventez-la.” Saint Augustin

                          Commentaire


                          • #14
                            Je vois que tu t'es recconu dans mes propos, d'ou ton agitation.

                            N'ayant pas envie de dévier le sujet du topic (ce qui menera automatiquement à sa cloture) et ne pouvant pas rabaisser d'avantage mon niveau, je te dit bye bye...

                            Et quelle que soit ta réponse je ne te réponderais plus. Comme on dit en arabe la meilleur réponse à un idiot est le silence.
                            Tu m'impressionnes petit gars par ton esprit vif.Tu comprend vite.
                            Cependant ,d'un autre coté tu me déçois.Tu comprend à l'envers pico...

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                            • #15
                              Sirroco-Pipo-D.Canon-Caillera-Tostao

                              Gardez votre calme, qu'il y ait changement de constitution ou pas, quel changement ou alternance espérez-vous, Hadj-Moussa/Moussa Hadj. Le seul espoir de l'Algérie était Mohamed BOUDIAF, ils l'ont fini devant nos yeux et en direct à la télé. Les dés étaient pipés au départ déjà, en 1962.
                              La démocratie, la liberté d'expression, la liberté de pensée, la liberté tout court ne se décréte pas, elle s'arrache.
                              Quand le chat n'est pas là, les souris dansent

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