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Le service des affaires sociales de l’APC de Skikda, en collaboration avec l’association des chasseurs, a procédé, durant cette semaine, à l’abattage de 10 chiens errants au niveau du territoire de la commune.
L’opération, toujours en cours, a aussi vu la mobilisation des forces de l’ordre. «Il a suffi d’une interruption de nos activités durant une période de 3 mois pour que le nombre des chiens errants augmente», indique le directeur des services sociales à l’APC.
Il n’en demeure pas que depuis des années, le nombre des chiens errants a été revu à la baisse au niveau de la commune de Skikda.
La situation est, par contre, plus préoccupante au sein de la zone pétrochimique de Skikda, où cet animal sillonne les différents complexes en quête de nourriture. Quelques employés auraient été mordus, payant le prix du laisser-aller des autorités.
Si le bilan de l’opération d’abattage des chiens a été fructueux, il n’en est pas de même de la démoustication, la dératisation et autres opérations d’extermination des espèces nuisibles.
La présence des rats dans les cités et artères de la ville (même aux arcades de l’avenue Didouche-Mourad) n’est certes pas alarmante, mais il n’en demeure pas qu’il est honteux pour une ville industrielle et touristique de l’envergure de Skikda d’être affectée par ce genre de problème.
Par contre, les moustiques sont en force même dans des quartiers implantés sur les hauteurs de la ville, précédemment épargnés. Les efforts de l’APC demeurent insuffisants. L’opération antilarvaire lancée en février n’a pas été couronnée de succès. L’échec est dû à plusieurs facteurs. Le premier, et de loin le plus important, est lié à la stagnation des eaux usées dans les caves sanitaires.
L’action d’y mettre un terme est du ressort des services de l’Office de la promotion et de la gestion immobilière. «Il ne servirait à rien d’annihiler les larves, elles auront le temps de procréer à la faveur des eaux usées», nous dit-on à la commune.
Chaque matin que Dieu fait, entre 4h et 7h, les agents communaux aspergent d’insecticide les caves des immeubles, «c’est le moment où les moustiques quittent les demeures pour s’y réfugier. Tout est bien étudié».
Pour rappel, des sommes importantes ont été consacrées à l’opération de démoustication. Parmi les actions initiées, l’acquisition de poudres biologiques qui se sont avérées non efficaces à l’air libre.
Depuis, l’APC s’est résignée à exterminer les moustiques à l’aide d’insecticide. Le peu, pour ne pas dire l’absence, d’implication de l’OPGI a fait que les citoyens souffrent énormément. Les moustiques sont, quant à eux, toujours invincibles et de plus en plus nombreux !
Par le Soir
L’opération, toujours en cours, a aussi vu la mobilisation des forces de l’ordre. «Il a suffi d’une interruption de nos activités durant une période de 3 mois pour que le nombre des chiens errants augmente», indique le directeur des services sociales à l’APC.
Il n’en demeure pas que depuis des années, le nombre des chiens errants a été revu à la baisse au niveau de la commune de Skikda.
La situation est, par contre, plus préoccupante au sein de la zone pétrochimique de Skikda, où cet animal sillonne les différents complexes en quête de nourriture. Quelques employés auraient été mordus, payant le prix du laisser-aller des autorités.
Si le bilan de l’opération d’abattage des chiens a été fructueux, il n’en est pas de même de la démoustication, la dératisation et autres opérations d’extermination des espèces nuisibles.
La présence des rats dans les cités et artères de la ville (même aux arcades de l’avenue Didouche-Mourad) n’est certes pas alarmante, mais il n’en demeure pas qu’il est honteux pour une ville industrielle et touristique de l’envergure de Skikda d’être affectée par ce genre de problème.
Par contre, les moustiques sont en force même dans des quartiers implantés sur les hauteurs de la ville, précédemment épargnés. Les efforts de l’APC demeurent insuffisants. L’opération antilarvaire lancée en février n’a pas été couronnée de succès. L’échec est dû à plusieurs facteurs. Le premier, et de loin le plus important, est lié à la stagnation des eaux usées dans les caves sanitaires.
L’action d’y mettre un terme est du ressort des services de l’Office de la promotion et de la gestion immobilière. «Il ne servirait à rien d’annihiler les larves, elles auront le temps de procréer à la faveur des eaux usées», nous dit-on à la commune.
Chaque matin que Dieu fait, entre 4h et 7h, les agents communaux aspergent d’insecticide les caves des immeubles, «c’est le moment où les moustiques quittent les demeures pour s’y réfugier. Tout est bien étudié».
Pour rappel, des sommes importantes ont été consacrées à l’opération de démoustication. Parmi les actions initiées, l’acquisition de poudres biologiques qui se sont avérées non efficaces à l’air libre.
Depuis, l’APC s’est résignée à exterminer les moustiques à l’aide d’insecticide. Le peu, pour ne pas dire l’absence, d’implication de l’OPGI a fait que les citoyens souffrent énormément. Les moustiques sont, quant à eux, toujours invincibles et de plus en plus nombreux !
Par le Soir
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