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Maroc 130ème au classement PNUD 2009

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  • Maroc 130ème au classement PNUD 2009

    Maroc : développement humain, beaucoup de bruit pour rien
    lundi 12 octobre 2009

    Le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) vient d’éditer son rapport mondial sur le développement humain pour l’année 2009.

    Ledit rapport classe le Maroc au 130ème rang, loin derrière la Turquie, le Liban, la Jordanie, la Tunisie, l’Algérie, l’Egypte et la Syrie. Avec un IDH (Indicateur de Développement Humain) de 0,654, le Maroc présente un niveau de développement humain moyen, à cause en partie d’un taux d’alphabétisation de 55,61% et d’un taux de scolarisation de 61%.

    Malgré la création de nombreuses institutions qui œuvrent dans le domaine social (Fonds Hassan II pour le développement économique et social, Fondation Mohamed V pour la solidarité, ADS, ANAPEC), et 4 ans après le lancement de l’INDH (Initiative Nationale pour le Développement Humain) le Maroc ne fait même pas autant que le Botswana (125è) ou la Namibie (128è).

    Le Gabon, classé en 2005 au 123è rang juste avant le Maroc a fait un grand effort et occupe actuellement la 103ème place avec un taux d’alphabétisation de 60,1% et d’un taux de scolarisation de 86,2%. La Guinée Equatoriale, en guerre civile est au 118ème rang et la Palestine sous occupation sioniste arrive au 110è rang !

    Le développement humain est un concept plus vaste qui ne se limite pas au lancement de projets « sociaux », déjà programmés : construction d’une école ou élargissement d’une autre, constructions de logements pour les « démunis », ou d’une mosquée… Ni à la distribution de cartables aux écoliers, de draps dans les hôpitaux ou de bols de soupe pendant le mois de Ramadan.

    Le développement humain implique une politique sociale globale : une infrastructure de base (dans tous les domaines), lutte contre la pauvreté et les inégalités, lutte contre le chômage et la précarité, éradication des bidonvilles et de logements insalubres, lutte contre la corruption… Sans oublier les avancées en matière de démocratie, et l’évolution en matière de technologie.

    Revenons un peu à la théorie pour voir comment le PNUD appréhende le développement humain d’un pays. Depuis 1990, l’indicateur de développement humain est calculé chaque année dans le but de déterminer les avancées générales des aspects fondamentaux du développement humain à l’aide d’un indicateur comprenant plusieurs éléments, et de procéder ainsi au classement des pays. L’IDH est un indicateur composite qui mesure l’évolution d’un pays selon trois critères de base du développement humain : santé et longévité (mesurées d’après l’espérance de vie à la naissance), savoir (mesuré par le taux d’alphabétisation des adultes et le taux brut de scolarisation combiné du primaire, du secondaire et du supérieur), et un niveau de vie décent (mesuré par le PIB par habitant en parité du pouvoir d’achat en dollar US). Après normalisation des différentes variables qui le compose, l’IDH s’échelonne entre 0 et 1. La valeur de l’IDH pour un pays montre le chemin que ce dernier a déjà parcouru vers le maximum théorique de 1 et permet également les comparaisons internationales.

    A partir de 1995, le PNUD a introduit dans son rapport mondial deux nouveaux indicateurs composites qui ont, dès lors, permis de refléter les inégalités entre hommes et femmes en termes de développement humain. Il s’agit de l’ISDH (Indicateur Sexospécifique de Développement Humain) qui évalue les avancées du développement humain de base corrigées des inégalités entre hommes et femmes, et l’IPF (Indicateur de la Participation de la Femme) qui permet de mesurer les inégalités entre les hommes et les femmes sur le plan des opportunités économiques et politiques. En 1997, le rapport mondial sur le développement humain a lancé le concept de pauvreté humaine, et un nouvel indicateur voit le jour : l’IPH (Indicateur de la Pauvreté Humaine). Celui-ci se concentre sur les déficits et les manques dans les composantes élémentaires du développement humain.

    Ces différents indicateurs sont des outils simples mais indispensables pour suivre l’évolution du développement humain, dans la mesure où ils apportent tous des informations élémentaires sur le développement humain d’un pays. Toujours est-il que le concept de développement humain est plus profond et plus riche que les indicateurs de croissance (PIB et PNB). Il faut désormais compter aussi sur le niveau de développement technologique d’un pays, et sur le degré d’accès de sa population aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.

    C’est ainsi qu’on se pose les questions suivantes, entre autres :
    - Combien de marocains vivent sous le seuil de la pauvreté ?
    - Combien de diplômés sont au chômage, pour ne compter que ceux-ci ?
    - Combien de filles à la campagne sont scolarisées ?
    - Combien de familles marocaines disposent, chez elles, d’un ordinateur, connecté à Internet ?

    Avec un enseignement « sinistré », une santé publique « malade », un taux de chômage élevé et de « qualité » (diplômés, docteurs…), une population à moitié analphabète… le Maroc ne peut jamais approcher de ce point mythique de maximum de développement humain. Ce n’est pas par des festivals ou des Moussems, ni des soirées de galas et de chants qu’on va développer les humains. Il faut plutôt penser à la redistribution juste et équitable de la richesse nationale, à refonder l’Etat, à démocratiser nos institution, etc.

    L’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), lancé en 2005 avec l’appui de la Banque mondiale, est fondée théoriquement sur une approche participative. Elle comporte un volet de lutte contre la pauvreté en milieu rural, un volet de lutte contre l’exclusion sociale en milieu urbain et de lutte contre la précarité. Sa mise en œuvre pose énormément de problèmes. D’abord elle est coordonnée par le ministère de l’intérieur avec un souci purement sécuritaire, son rythme est très rapide par rapport aux compétences et aux capacités de suivi de ses acteurs : associations (d’ailleurs sélectionnées parmi les plus modérées et les plus proches du Makhzen), coopératives (quasiment absentes), collectivités locales, services extérieurs… Ces composantes, choisies dans le cadre de multiples commissions nationale, régionale, provinciale et locale, ne conçoivent même pas la philosophie de l’initiative et ne sont pas formées pour monter des projets, et l’université en tant qu’acteur fondamental du développement économique et social n’est pas impliquée ! Le ministère de l’intérieur, qui ne sait donc pas comment gérer les budgets importants qu’il reçoit, et en l’absence de propositions concrètes des différents acteurs, se contente de lancer des projets qui n’ont rien à voir avec le développement humain : construction de mosquées, de centres sportifs et de terrains de foot, des centres commerciaux ou touristiques, des pistes en milieu rural, … On gaspille de l’argent dans des festivités, des moussems et des soirées de galas de chant et de danse ! Voilà comment on entend développer les humains au Maroc, et ce n’est pas par hasard si, après quatre ans et demi de ladite initiative de développement humain, le PNUD classe le Maroc au 130ème rang, à cause surtout du taux élevé d’analphabétisme et au déficit en matière d’éducation et de santé.

    Dans le cadre de l’INDH on a déjà dépensé 11,13 milliards de DH entre mai 2005 et juillet 2009, ce montant représente près de 28% du budget de l’éducation et 135% du budget de la santé en 2009. Si cet argent public avait été affecté à ces deux secteurs prioritaires que sont l’éducation et la santé, le Maroc aurait peut être gagné quelques points dans l’indice de développement humain ! Pour le moment, la façon par la quelle les autorités gèrent l’INDH consiste tout simplement à créer des pauvres tout en prétendant lutter contre la pauvreté.

    Mimoun RAHMANI

  • #2
    l INDH au maroc est une grosse arnaque. Ils ont chapeauté toutes les initiatives locales pour faire une com au profit du makhzen.

    Lorsque tu coupes dans les budgets de l alphabétisation pour élargir le nombre de bénéficiaires tout en divisant par huit le volume horaire consacré à chaque personne le pnud n est pas dupe.

    Reste en effet les festi ....et les Veaux
    « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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    • #3
      Il n y a que les chiffres qui parlent. La propagande ne tient pas la route.
      "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

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      • #4
        Pourtant au dire de l'élite marocaine qui écume le forum, le royaume est millénaire donc devrait occuper une place de choix.

        >>>On gaspille de l’argent dans des festivités, des moussems et des soirées de galas de chant et de danse

        C'est la fierté du royaume, et sa vitrine don impossible à abolir quitte à ouvrir des écoles (réduction du chomâge) pour les maîtres-cobras qui font danser le reptile avec une zorna.

        >>>Pour le moment, la façon par la quelle les autorités gèrent l’INDH consiste tout simplement à créer des pauvres tout en prétendant lutter contre la pauvreté.

        Erreur à éviter, et le statut avancé dans ses conditions actuelles va siffoner totalement les ressources du pays vendues pour une bouchée de pain aux investisseurs prétendant rayer le chomâge, pourtant à la première fausse note, ils sont entrain de déguerpir comme des lapins.

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        • #5
          Contacté par le Reporter, Mourad Wahba s’est refusé à faire un quelconque commentaire sur ce qu’il a appelé « les déclarations d'un Etat souverain ». Toutefois, il a expliqué que l'Indice de Développement Humain est basé sur l'espérance de vie à la naissance, le taux d'alphabétisation, le taux de scolarisation, et le PIB par tête d’habitant en parité de pouvoir d'achat. « Comme vous pouvez donc le constater, cet indice ne représente pas la totalité du développement humain qui comprend également d'autres variables, comme par exemple, l'accès aux services sociaux de base, le rôle de la femme dans la société, l'emploi et les libertés », a-t-il indiqué.


          http://www .lereporter .ma/actualite/74-arret/2690-rapport-du-pnud-le-maroc-proteste-.html

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          • #6
            Alison Kennedy, directrice de l'unité des statistiques au bureau du rapport mondial sur le développement humain à New York, s'est employée jeudi dernier à Rabat à «démystifier» l'Indice de Développement Humain (IDH).

            ....

            Cet indice ne prétend pas être un outil exhaustif et ne donne pas une idée sur les progrès réalisés à court terme», a affirmé Mme Kennedy. Pour elle, l'IDH doit être appréhendé à sa juste valeur : «C'est un instrument qui permet d'attirer l'attention des pays sur un certain nombre de problèmes. C'est un point de départ pour une analyse plus profonde». Mme Kennedy estime que la méthode de calcul de l'IDH est simple et transparente et « les classements ne veulent pas dire grand-chose et prêtent parfois à confusion ».


            http://www .lematin .ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=110&id=120918

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            • #7
              Le Maroc rejette les critères de classement du PNUD établis sur la base d'indices et

              Luxembourg, 13/10/08 - Le Maroc rejette les critères de classement du PNUD établis dans un esprit sommaire et sur la base d'indices et de critères obsolètes, sélectifs et insuffisants, a affirmé lundi M. Taib Fassi Fihri, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération.


              "Nous rejetons le classement du PNUD et nous demandons une réévaluation de l'approche à travers une définition plus fiable et plus crédible des critères retenus", a souligné M. Fassi Fihri dans une déclaration à la MAP à l'occasion de la 7ème session du Conseil d'Association Maroc-UE à Luxembourg.

              Le ministre a relevé qu' "à l'heure où l'Union européenne décide de faire confiance en le Maroc à travers un Statut Avancé en se félicitant et en encourageant l'ensemble des réformes qui ont été entreprises, en particulier en termes d'amélioration et de développement humain, et à l'heure où la Banque mondiale et le FMI se félicitent de la politique macro-économique suivie par le Maroc et de la pertinence de ses choix en matière de projets dans le domaine social et de développement humain, nous constatons avec regret que le PNUD continue dans sa tentative d'établir un classement mondial en adoptant un indice incomplet et statistiquement non fiable, qui se base seulement sur trois critères : le PIB par tête d'habitant, la santé à travers un seul agrégat et l'éducation en donnant davantage d'importance à la question d'analphabétisme".

              M. Fassi Fihri a indiqué qu'il s'agit là d'un "classement contestable qui ne prend en considération ni l'élargissement de l'espace des libertés fondamentales, ni l'épanouissement individuel et la protection par l'Etat des droits des citoyens qui constituent l'un des vecteurs de développement humain, c'est-à-dire la sécurité et la capacité d'être libre dans un environnement socio-économique amélioré".

              S'agissant précisément du développement socio-économique, le ministre a noté que le classement du PNUD ne prend pas aussi en considération des besoins pourtant essentiels en matière de progrès social et de développement humain, tel que l'accès à l'électricité, à l'eau potable et au logement décent, lesquels domaines ont connu sous l'impulsion de SM le Roi Mohammed VI un saut quantitatif et qualitatif majeur.

              Ce classement, a ajouté le ministre, ne tient pas en considération non plus d'autres critères de développement humain notamment l'accès à l'information et aux nouvelles technologies de l'information et de la communication.

              "Voilà pourquoi, conclut M. Fassi Fihri, il importe de dépoussiérer l'approche du PNUD et la mettre au diapason des véritables dynamiques du développement humain".

              map

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              • #8
                Rapport du PNUD : Le Maroc proteste

                Avant même la publication officielle du prochain classement établi par le Programme des Nations-unies pour le Développement (PNUD), le Maroc est (re)monté au créneau. Encore une fois, le Royaume rejette les critères retenus pour l’élaboration de ce document.

                A ce propos, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, s’est entretenu dernièrement à Rabat avec Mourad Wahba, Représentant Résident du (PNUD) au Maroc. Au cours de cet entretien, qui fait suite à une première réunion tenue à ce sujet le 28 juillet dernier, Fassi Fihri a réitéré « la position du Royaume du Maroc à l'égard de ces critères, retenus il y a bientôt vingt ans, devenus largement dépassés, clairement sélectifs et certainement insuffisants pour mesurer, de manière objective, les avancées réalisées en matière de développement humain ».

                Fassi Fihri a indiqué que la prédominance du facteur du PNB par habitant dans la définition de ces indicateurs ne fait pas justice aux pays, qui, à l'instar du Maroc, ont investi massivement dans les secteurs sociaux et dans le développement humain, en général, à travers les nombreux programmes nationaux d'élargissement de l'accès aux équipements sociaux de base (électrification du monde rural, accès à l'eau potable...), les grands projets de désenclavement et de développement des infrastructures, ainsi que le lancement de projets de développement local et de lutte contre la précarité, dans le cadre de l'INDH, annoncée par SM Mohammed VI en 2005.

                Contacté par le Reporter, Mourad Wahba s’est refusé à faire un quelconque commentaire sur ce qu’il a appelé « les déclarations d'un Etat souverain ». Toutefois, il a expliqué que l'Indice de Développement Humain est basé sur l'espérance de vie à la naissance, le taux d'alphabétisation, le taux de scolarisation, et le PIB par tête d’habitant en parité de pouvoir d'achat. « Comme vous pouvez donc le constater, cet indice ne représente pas la totalité du développement humain qui comprend également d'autres variables, comme par exemple, l'accès aux services sociaux de base, le rôle de la femme dans la société, l'emploi et les libertés », a-t-il indiqué.

                L’année dernière, le même responsable avait répondu aux critiques concernant le « mauvais » classement du Maroc dans le rapport du PNUD en affirmant que ce classement n’indique pas une échelle de valeur, mais il indique des déficits dans des secteurs qui doivent faire l’objet d’attention du gouvernement.

                Pour rappel, dans le dernier rapport du PNUD (2007-2008), le Royaume a été classé 126ème sur un total de 177 pays, contre 123ème en 2006. Tout prête à croire que ce classement ne s’est pas amélioré dans le nouveau rapport, à paraître bientôt.

                lereporter

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                • #9
                  Comme vous pouvez donc le constater, cet indice ne représente pas la totalité du développement humain qui comprend également d'autres variables, comme par exemple, l'accès aux services sociaux de base, le rôle de la femme dans la société, l'emploi et les libertés »
                  Est ce que tu peux développer un peu plus ce qui est souligné STP ?
                  .


                  Nul n’est plus désespérément esclave, que ceux faussement convaincus d’être libres"-JWVG

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                  • #10
                    Le PNUD list est fautif:




                    Guinee Equatoriale
                    Le classement PNUD: 118
                    Espérance de vie à la naissance h/f (années): 46/47
                    Quotient de mortalité 15-60 ans h/f (pour 1000): 475/425


                    Maroc:
                    Le classement PNUD: 130
                    Espérance de vie à la naissance h/f (années): 70/74
                    Quotient de mortalité 15-60 ans h/f (pour 1000): 147/90


                    Source: WHO

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                    • #11
                      le seul moyen pour le maroc de remonter au classement est de changer ou rajouter des critères, expl: Nb de piscines et de marinas par tête d'hab; nb de M² de terrains de golf/hab etc...je parie qu'ils ont le même classemnt que l'afrique du sud à cause des inégalité de revenus mesuré par l'indice de Gini.

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                      • #12
                        Les facts:

                        HEALTH & EDUCATION

                        The health of the Moroccan population in general is good. Life expectancy has risen to 71 years, infant mortality is 36 per thousand, the population growth rate is down to 1.4% and widespread vaccination programmes protect children from common childhood diseases.

                        http://www.oxfordbusinessgroup.com/p...asp?country=27
                        Dernière modification par Rif1979, 13 octobre 2009, 12h45.

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                        • #13
                          Ce n’est pas par des festivals ou des Moussems, ni des soirées de galas et de chants qu’on va développer les humains.
                          4 années d'INDH (sous la tutelle du ministère de l'intérieur !!!!!!!! ) et 11 milliards de Dh pour se retrouver à la 130° place.

                          Si l'on regarde les différents indices composites de l'IDH, tout devient clair :
                          • Indice de pauvreté humaine IPH-1 : le Maroc est 96°

                          • Indice sexospécifique de developpement humain ISDH : Le Maroc est 111°

                          • Indice de la participation de la femme IPF : Le Maroc est 104°

                          • Dépenses publiques de santé par habitant : 98 dollars

                          • Taux combinés de scolarisation : femmes :55,1% ,hommes : 64,0%

                          • Taux de la population alphabétisée (pour les 15 ans et plus) : 55.6% -


                          Avec ce dernier chiffre (44.4% de la population analphabète), le Maroc occupe la ..... 163° place sur les 182 pays concernés par le classement !

                          Le HCP peut essayer de balayer le rapport du PNUD, il ne reste pas moins que le constat de l'auteur de l'article est sans appel :

                          Le Gabon, classé en 2005 au 123è rang juste avant le Maroc a fait un grand effort et occupe actuellement la 103ème place avec un taux d’alphabétisation de 60,1% et d’un taux de scolarisation de 86,2%. La Guinée Equatoriale, en guerre civile est au 118ème rang et la Palestine sous occupation sioniste arrive au 110è rang !
                          Dernière modification par jawzia, 13 octobre 2009, 15h21.

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                          • #14
                            imagine un peu le maroc sans le tourisme
                            Merci pour la piqure de rapel. On nous bassine à longueur de journée avec le pompage mais on oublie aussi que sans tourisme bcp ne serait pas là où ils sont.
                            Je suis père et fais de mon mieux au regard de cette citation :
                            "L'exemple, c'est tout ce qu'un père peut faire pour ses enfants." Thomas Mann
                            Cette citation me vient de mon cousin chaoui Adhrhar

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                            • #15
                              Avec ce dernier chiffre (44.4% de la population analphabète), le Maroc occupe la ..... 163° place sur les 182 pays
                              c'est bien ce que je pensais!
                              et pour répondre à RIF1979 avec son programme de vaccination pour lutter contre la mortalité infantile. Le maroc au lieu de dépenser unutilement son argent sur ces programmes, devrait miser sur la scolarité et surtout celles des filles, futures mères. Plus la scolarité des filles est forte et plus l'age du premier mariage avance et plus la déscendance par femme diminue et plus augmente les chances de survie des enfants de moins de 1 an.
                              Sinon comment expliquer que Cuba avec très peu de moyens a tjrs eu 1 TMI parmi les plus faible au monde: C'est grâce à la scolarité des filles et aux campagnes de préventions, les gestes utiles qui sauvent, mais pour celà il faut qu'elles sachent lire et écrire.

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