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L’opérateur Nedjma demande la portabilité du numéro et menace de poursuivre en justic
L’opérateur Nedjma demande la portabilité du numéro et menace de poursuivre en justice Djezzy
Le torchon brûle entre les opérateurs mobiles Nedjma et Djezzy. La filiale algérienne de Qatar Télécom (QTel) menace de poursuivre en justice son concourent pour « concurrence déloyale ». Le PDG de Nedjma, Joseph Ged a pour la première fois évoqué, mardi 13 octobre au cours du Forum d’El Moudjahid, la possibilité « d’assigner l’opérateur dominant en justice pour pratiques déloyales ». Il s’est également étonné du refus de l’opérateur dominant d’appliquer les dernières décisions de l’ARPT et du Conseil d’Etat sur les tarifs. « L’opérateur dominant empêche les clients de migrer vers notre réseau », a-t-il précise. Nedjma envisage également de saisir le Conseil de la concurrence sur les pratiques de Djezzy.
Pour mieux réguler le marché algérien du mobile, Nedjma fait deux propositions. La filiale algérienne du groupe Qtel demande la portabilité du numéro : donner la possibilité aux clients de changer d’opérateur tout en gardant leur ancien numéro. Cette possibilité, qui favorise une concurrence loyale et une baisse des prix, existe depuis quelques années dans les marchés développés. La seconde proposition de Nedjma concerne « la révision de la grille des tarifs pour une concurrence loyale entre les opérateurs de téléphonie mobile ».
Durant la même conférence, le PDG de Nedjma a apporté « son soutien à la loi de finances complémentaires pour 2009 qui protège l’économie algérienne ». « Certes, ce texte a prévu deux taxes supplémentaires sur les opérateurs de téléphonie mobile, mais la LFC est bonne pour l’économie algérienne », a dit M. Ged. « En Algérie, il y a aussi des avantages pour les opérateurs économiques », a-t-il ajouté.
Depuis son arrivée en 2004, les investissements de Nedjma en Algérie dépassent 1,5 milliards de dollars, a affirmé Jossph Ged. Pour 2009, l’opérateur mobile a prévu d’investir 150 millions de dollars. Sur ce montant, 100 millions ont déjà été engagés durant les neuf premiers mois de l’année. « Nous sommes en Algérie pour le long terme. Notre objectif n’est pas de gagner de l’argent rapidement pour le transférer », a dit M. Ged.
Le torchon brûle entre les opérateurs mobiles Nedjma et Djezzy. La filiale algérienne de Qatar Télécom (QTel) menace de poursuivre en justice son concourent pour « concurrence déloyale ». Le PDG de Nedjma, Joseph Ged a pour la première fois évoqué, mardi 13 octobre au cours du Forum d’El Moudjahid, la possibilité « d’assigner l’opérateur dominant en justice pour pratiques déloyales ». Il s’est également étonné du refus de l’opérateur dominant d’appliquer les dernières décisions de l’ARPT et du Conseil d’Etat sur les tarifs. « L’opérateur dominant empêche les clients de migrer vers notre réseau », a-t-il précise. Nedjma envisage également de saisir le Conseil de la concurrence sur les pratiques de Djezzy.
Pour mieux réguler le marché algérien du mobile, Nedjma fait deux propositions. La filiale algérienne du groupe Qtel demande la portabilité du numéro : donner la possibilité aux clients de changer d’opérateur tout en gardant leur ancien numéro. Cette possibilité, qui favorise une concurrence loyale et une baisse des prix, existe depuis quelques années dans les marchés développés. La seconde proposition de Nedjma concerne « la révision de la grille des tarifs pour une concurrence loyale entre les opérateurs de téléphonie mobile ».
Durant la même conférence, le PDG de Nedjma a apporté « son soutien à la loi de finances complémentaires pour 2009 qui protège l’économie algérienne ». « Certes, ce texte a prévu deux taxes supplémentaires sur les opérateurs de téléphonie mobile, mais la LFC est bonne pour l’économie algérienne », a dit M. Ged. « En Algérie, il y a aussi des avantages pour les opérateurs économiques », a-t-il ajouté.
Depuis son arrivée en 2004, les investissements de Nedjma en Algérie dépassent 1,5 milliards de dollars, a affirmé Jossph Ged. Pour 2009, l’opérateur mobile a prévu d’investir 150 millions de dollars. Sur ce montant, 100 millions ont déjà été engagés durant les neuf premiers mois de l’année. « Nous sommes en Algérie pour le long terme. Notre objectif n’est pas de gagner de l’argent rapidement pour le transférer », a dit M. Ged.
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