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Sonatrach, qui a mis en place une stratégie de développement à l’international, a adopté un programme de déploiement à l’étranger qui s’étale jusqu’à 2015. L’Irak et le Vénézuela figurent parmi les pays où la société nationale des hydrocarbures envisage d’investir, selon son PDG Mohamed Meziane.
« L’Irak nous intéresse. Nous voulons intervenir. Pour ce faire, nous avons préparé un dossier de préqualification. Nous avons déjà travaillé sur un projet en Irak dans le gisement de Touab. Nous avions soumis deux propositions avec des sociétés indiennes », a déclaré M. Meziane, invité lundi de la rédaction de la chaîne III de la radio nationale. L’entreprise algérienne est, selon lui, capable de faire face à la concurrence américaine en Irak.
Autre pays étranger où Sonatrach souhaite investir : le Venezuela. « Le Venezuela est un pays qui a un grand potentiel dans le domaine de la chaîne gazière et dans le domaine pétrolier. Nous sommes en train de discuter avec ce pays », a expliqué M. Meziane.
Le déploiement international de Sonatrach concerne, selon lui, les activités amont, aval et transport. Une enveloppe de 1,6 milliards de dollars sera consacrée à ces investissements. “On s’était fixé comme objectif d’atteindre en 2015 une réserve en hydrocarbure de près de 600 millions de barils à l’international. Il faut donc produire 120.000 de barils jour, assurer des prestations de service de près de 150 millions de dollars par an et participer à des activités marketing. Nous voulons assurer 30 % de notre chiffre d’affaires à l’international”, a explique le PDG de Sonatrach.
Le groupe pétrolier algérien est déjà présent dans plusieurs pays africains : Mali, Niger, Mauritanie, Libye et Egypte. De nouvelles découvertes en Libye vont, selon M. Meziane, permettre à Sonatrach de revoir ses ambitions à la hausse. « Au Pérou, nous avons déjà couvert les investissements que nous avons engagé. Nos résultats sont positifs », a-t-il indiqué.
« Notre programme évolue en fonction de l’avancement des travaux que nous menons. Le partenariat est un axe stratégique autant en national qu’à l’international. Nous privilégions cet axe à l’international pour partager les risque financier, technologique et géologique », a précisé M. Meziane, ajoutant que Sonatrach prend en compte l’évolution de la conjoncture internationale. “Nous essayons d’être pragmatiques”, a-t-il appuyé.
Par Merouane Mokdad
TSA
« L’Irak nous intéresse. Nous voulons intervenir. Pour ce faire, nous avons préparé un dossier de préqualification. Nous avons déjà travaillé sur un projet en Irak dans le gisement de Touab. Nous avions soumis deux propositions avec des sociétés indiennes », a déclaré M. Meziane, invité lundi de la rédaction de la chaîne III de la radio nationale. L’entreprise algérienne est, selon lui, capable de faire face à la concurrence américaine en Irak.
Autre pays étranger où Sonatrach souhaite investir : le Venezuela. « Le Venezuela est un pays qui a un grand potentiel dans le domaine de la chaîne gazière et dans le domaine pétrolier. Nous sommes en train de discuter avec ce pays », a expliqué M. Meziane.
Le déploiement international de Sonatrach concerne, selon lui, les activités amont, aval et transport. Une enveloppe de 1,6 milliards de dollars sera consacrée à ces investissements. “On s’était fixé comme objectif d’atteindre en 2015 une réserve en hydrocarbure de près de 600 millions de barils à l’international. Il faut donc produire 120.000 de barils jour, assurer des prestations de service de près de 150 millions de dollars par an et participer à des activités marketing. Nous voulons assurer 30 % de notre chiffre d’affaires à l’international”, a explique le PDG de Sonatrach.
Le groupe pétrolier algérien est déjà présent dans plusieurs pays africains : Mali, Niger, Mauritanie, Libye et Egypte. De nouvelles découvertes en Libye vont, selon M. Meziane, permettre à Sonatrach de revoir ses ambitions à la hausse. « Au Pérou, nous avons déjà couvert les investissements que nous avons engagé. Nos résultats sont positifs », a-t-il indiqué.
« Notre programme évolue en fonction de l’avancement des travaux que nous menons. Le partenariat est un axe stratégique autant en national qu’à l’international. Nous privilégions cet axe à l’international pour partager les risque financier, technologique et géologique », a précisé M. Meziane, ajoutant que Sonatrach prend en compte l’évolution de la conjoncture internationale. “Nous essayons d’être pragmatiques”, a-t-il appuyé.
Par Merouane Mokdad
TSA