ALGER - Des policiers ont fait usage de canons à eau lundi à Alger pour tenter de disperser une centaine de jeunes qui protestaient contre leurs conditions de logement.
De jeunes manifestants jettent des pierres lors d'affrontements avec les forces de l'ordre à Alger. Des policiers ont fait usage de canons à eau dans la capitale algérienne pour tenter de disperser une centaine de jeunes qui protestaient contre leurs conditions de logement. (Reuters/Louafi Larbi)
Des troubles sociaux ont lieu périodiquement en Algérie, pays qui connaît un chômage élevé et une crise du logement, mais il est rare qu'ils se produisent dans la capitale.
Un journaliste de Reuters présent dans le quartier de Diar Echams a vu les manifestants lancer des pierres sur les policiers, qui étaient environ 400. Des membres des forces de l'ordre en tenue anti-émeute ont utilisé des canons à eau et un véhicule blindé, sans parvenir à les disperser.
Selon des habitants, ces manifestants vivent dans un bidonville et se jugent victimes de discrimination après la publication par la municipalité d'une liste de personnes pouvant bénéficier d'un relogement.
Dans la soirée, on signalait une trêve, la police ayant entamé des négociations avec des représentants des manifestants.
L'Express - Il y a 2 heures
De jeunes manifestants jettent des pierres lors d'affrontements avec les forces de l'ordre à Alger. Des policiers ont fait usage de canons à eau dans la capitale algérienne pour tenter de disperser une centaine de jeunes qui protestaient contre leurs conditions de logement. (Reuters/Louafi Larbi)
Des troubles sociaux ont lieu périodiquement en Algérie, pays qui connaît un chômage élevé et une crise du logement, mais il est rare qu'ils se produisent dans la capitale.
Un journaliste de Reuters présent dans le quartier de Diar Echams a vu les manifestants lancer des pierres sur les policiers, qui étaient environ 400. Des membres des forces de l'ordre en tenue anti-émeute ont utilisé des canons à eau et un véhicule blindé, sans parvenir à les disperser.
Selon des habitants, ces manifestants vivent dans un bidonville et se jugent victimes de discrimination après la publication par la municipalité d'une liste de personnes pouvant bénéficier d'un relogement.
Dans la soirée, on signalait une trêve, la police ayant entamé des négociations avec des représentants des manifestants.
L'Express - Il y a 2 heures
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