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Finalement, après une réunion qui aura duré plus de 6 heures, se prolongeant jusque dans l’après-midi de dimanche dernier, le syndicat d’entreprise et la direction du complexe sidérurgique ArcelorMittal d’El Hadjar sont parvenus à un accord au sujet de l’arrêt de la cokerie et du devenir des 320 travailleurs qui y sont affectés.
Ainsi, les deux parties se sont entendues sur la réhabilitation de cette importante installation, prévoyant 2 variantes : rénovation des équipements si les résultats de ladite expertise le prônent ou acquisition d’un nouveau matériel moderne qui boosterait la productivité et placerait le complexe au même niveau que les autres sites du groupe. Le deuxième point, et c’est là le nœud gordien de cette affaire qui avait donné lieu à une protestation de l’ensemble des ouvriers du complexe, est le devenir des 320 travailleurs de cette unité. Direction et syndicat se sont mis d’accord pour maintenir tout le personnel de la cokerie avec redistribution des tâches tout en conservant les avantages et les primes de postes. Un acquis qui avait été salué hier par les personnels de l’usine qui ont poussé un ouf de soulagement car ayant eu à craindre pour leurs postes d’emploi.
Le 3ème point a été proposé par les 2 parties qui y ont pleinement adhéré et l’ont en quelque sorte exécuté sur le champ. Il s’agit de constituer une commission de suivi de l’expertise de la cokerie par les spécialistes étrangers dépêchés par le groupe ArcelorMittal pour faire une évaluation de la situation générale de cette installation, la date butoir pour ladite expertise a été fixée pour le 9 décembre prochain.
Le syndicat a pris sur lui d’informer les autorités à Alger de la situation générale du complexe sidérurgique, dont le groupe Sider détient plus de 30%, particulièrement l’unité cokerie qui avait été au cœur d’un conflit sérieux entre la direction et les travailleurs représentés par leur syndicat. Les deux parties se sont également mises d’accord pour se concerter et dialoguer au sujet de toute situation ou cas susceptible de générer un conflit de façon à éviter toute position tranchée ou extrémisme dans les positions et ce, dans l’intérêt aussi bien des travailleurs que de celui du complexe et de la direction.
Selon M. Smaïn Kouadria, secrétaire général du syndicat ArcelorMittal au niveau du complexe sidérurgique, cet accord est très satisfaisant dans la mesure où les postes d’emploi ont été conservés avec les mêmes avantages, en plus du fait que la cokerie bénéficiera d’un investissement qui permettra aux ouvriers de cette unité de travailler dans de meilleures conditions surtout en matière de sécurité. Cependant, le secrétaire général estime que ses «troupes» restent vigilantes et mobilisées pour défendre leurs droits tout en respectant l’accord signé par l’employeur.
Par La Tribune
Ainsi, les deux parties se sont entendues sur la réhabilitation de cette importante installation, prévoyant 2 variantes : rénovation des équipements si les résultats de ladite expertise le prônent ou acquisition d’un nouveau matériel moderne qui boosterait la productivité et placerait le complexe au même niveau que les autres sites du groupe. Le deuxième point, et c’est là le nœud gordien de cette affaire qui avait donné lieu à une protestation de l’ensemble des ouvriers du complexe, est le devenir des 320 travailleurs de cette unité. Direction et syndicat se sont mis d’accord pour maintenir tout le personnel de la cokerie avec redistribution des tâches tout en conservant les avantages et les primes de postes. Un acquis qui avait été salué hier par les personnels de l’usine qui ont poussé un ouf de soulagement car ayant eu à craindre pour leurs postes d’emploi.
Le 3ème point a été proposé par les 2 parties qui y ont pleinement adhéré et l’ont en quelque sorte exécuté sur le champ. Il s’agit de constituer une commission de suivi de l’expertise de la cokerie par les spécialistes étrangers dépêchés par le groupe ArcelorMittal pour faire une évaluation de la situation générale de cette installation, la date butoir pour ladite expertise a été fixée pour le 9 décembre prochain.
Le syndicat a pris sur lui d’informer les autorités à Alger de la situation générale du complexe sidérurgique, dont le groupe Sider détient plus de 30%, particulièrement l’unité cokerie qui avait été au cœur d’un conflit sérieux entre la direction et les travailleurs représentés par leur syndicat. Les deux parties se sont également mises d’accord pour se concerter et dialoguer au sujet de toute situation ou cas susceptible de générer un conflit de façon à éviter toute position tranchée ou extrémisme dans les positions et ce, dans l’intérêt aussi bien des travailleurs que de celui du complexe et de la direction.
Selon M. Smaïn Kouadria, secrétaire général du syndicat ArcelorMittal au niveau du complexe sidérurgique, cet accord est très satisfaisant dans la mesure où les postes d’emploi ont été conservés avec les mêmes avantages, en plus du fait que la cokerie bénéficiera d’un investissement qui permettra aux ouvriers de cette unité de travailler dans de meilleures conditions surtout en matière de sécurité. Cependant, le secrétaire général estime que ses «troupes» restent vigilantes et mobilisées pour défendre leurs droits tout en respectant l’accord signé par l’employeur.
Par La Tribune