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Habillement: Fendi s’installe au Maroc · Un investissement de 10 millions d’euros
· Pour le foncier, le stock, le marketing et la formation
EN un mois, la maison romaine de luxe, Fendi, filiale du groupe français LVMH, est passée d’un petit corner dans le lobby de l’hôtel La Mamounia à Marrakech, (étape de test pour cette marque d’habillement et accessoires), à une boutique de 250 m2, dans le triangle d’or de Casablanca. C’est le fruit d’un partenariat d’affaires conclu par le groupe marocain, Aksal, que dirige Saloua Akhannouch. L’inauguration de la première boutique sous la marque Fendi s’est déroulée en grande pompe, jeudi dernier.
Pour installer cette nouvelle marque dans le circuit de luxe naissant au Maroc, Aksal n’a pas lésiné sur les moyens. Près de 10 millions d’euros ont été investis, soit plus de 100 millions de DH, pour le foncier, le stock, le marketing et la formation. Ce dernier volet a concerné 25 personnes dont la directrice du magasin, qui a passé 6 mois de formation entre Paris et Milan pour se familiariser avec les méthodes de gestion du groupe. Le stock engloutira à lui seul plus de 1 million d’euros.
Le business modèle choisi va au-delà du cadre classique où le franchisé paie un ticket d’entrée et bénéficie du savoir-faire marketing du franchiseur. Au niveau capitalistique, Fendi Maroc est une franchise, mais sur le plan opérationnel, le modèle se révèle être une véritable joint-venture dans la mesure où la PDG d’Aksal, «n’a pas seulement souhaiter emmagasiner la marque, mais l’installer», confie Michael Burke, patron de Fendi. De ce fait, ce groupe de luxe interviendra sur la partie opérationnelle de Fendi Maroc, notamment dans le marketing et la publicité, la formation du personnel, les achats, la gestion du stock.
Le business plan prévoit à court terme une troisième boutique. La seconde ouvrira ses portes au Morocco Mall à Casablanca en 2011. Le retour sur investissement est prévu en 2012.
A noter que Aksal s’est lancé dans un plan de développement ambitieux, qui prévoit l’extension de son réseau de magasins, la signature de partenariats ainsi que la diversification vers de nouveaux domaines stratégiques.
· Pour le foncier, le stock, le marketing et la formation
EN un mois, la maison romaine de luxe, Fendi, filiale du groupe français LVMH, est passée d’un petit corner dans le lobby de l’hôtel La Mamounia à Marrakech, (étape de test pour cette marque d’habillement et accessoires), à une boutique de 250 m2, dans le triangle d’or de Casablanca. C’est le fruit d’un partenariat d’affaires conclu par le groupe marocain, Aksal, que dirige Saloua Akhannouch. L’inauguration de la première boutique sous la marque Fendi s’est déroulée en grande pompe, jeudi dernier.
Pour installer cette nouvelle marque dans le circuit de luxe naissant au Maroc, Aksal n’a pas lésiné sur les moyens. Près de 10 millions d’euros ont été investis, soit plus de 100 millions de DH, pour le foncier, le stock, le marketing et la formation. Ce dernier volet a concerné 25 personnes dont la directrice du magasin, qui a passé 6 mois de formation entre Paris et Milan pour se familiariser avec les méthodes de gestion du groupe. Le stock engloutira à lui seul plus de 1 million d’euros.
Le business modèle choisi va au-delà du cadre classique où le franchisé paie un ticket d’entrée et bénéficie du savoir-faire marketing du franchiseur. Au niveau capitalistique, Fendi Maroc est une franchise, mais sur le plan opérationnel, le modèle se révèle être une véritable joint-venture dans la mesure où la PDG d’Aksal, «n’a pas seulement souhaiter emmagasiner la marque, mais l’installer», confie Michael Burke, patron de Fendi. De ce fait, ce groupe de luxe interviendra sur la partie opérationnelle de Fendi Maroc, notamment dans le marketing et la publicité, la formation du personnel, les achats, la gestion du stock.
Le business plan prévoit à court terme une troisième boutique. La seconde ouvrira ses portes au Morocco Mall à Casablanca en 2011. Le retour sur investissement est prévu en 2012.
A noter que Aksal s’est lancé dans un plan de développement ambitieux, qui prévoit l’extension de son réseau de magasins, la signature de partenariats ainsi que la diversification vers de nouveaux domaines stratégiques.