Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La recherche scientifique au Maroc

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La recherche scientifique au Maroc

    La recherche scientifique au Maroc
    20 octobre 2009 - Lu 95 fois - Par : LHOUMADI REDA


    Il est vrai que le R&D est le levier de toute économie émergente.

    Au niveau micro économique ; avoir une politique claire en R&D permet d’améliorer les résultats ; d’avoir un avantage concurrentiel technologique ce qui permettrait de gagner du terrain ; et aussi de frapper fort en relations publiques en associant l’image de l’entreprise innovatrice au message institutionnel. Ça parait très facile.

    Le problème qui se pose c’est que 90% de notre tissu économique est constitué de PME qui n’ont pas les moyens de tailler un vrai plan d’investissement en R&D ; ajoutant à cela l’incertitude des retours financier qui constitue un vrai frein psychologique ; nous parlons ici des PME structurées qui ont le minimum requis en techniques de gestion d’entreprise et qui constituent une minorité, car la plupart des PME marocaines n’ont aucune vision stratégique et connaissent des pratiques de gestion coutumières qui datent de la préhistoire

    La faible importance des R&D est commune aussi chez les grandes entreprises marocaines. Pour n’importe quelle étude stratégique on paye de gros cachets pour les cabinets de conseils occidentaux.

    Les entreprises marocaines sont devenues spécialistes en copier coller : Les mêmes produits bancaires français réapparaissent au Maroc sous différentes appellations ; les laboratoires pharmaceutiques marocains ne font que l’emballage des médicaments des grands labos internationaux (vaut mieux dire industrie d’emballage pharmaceutique au lieu d’industrie pharmaceutique) et les autres exemples sont bien là.

    Au niveau macro économique il est clair que le Maroc n’a ni l’infrastructure ni le climat qui facilitera la Recherche scientifique : Les universités (principales concernées) continuent à produire des milliers de profils dans des secteurs improductifs (Littérature allemande par exemple). Les quelques profils « dits » scientifiques sont loin de l’être car dans un établissement qui est sensé piloter la recherche scientifique on n’a ni les moyens ni la volonté de faire un minimum d’effort ; ajoutant à cela la faible implication de l’université dans son environnement socio culturel (absence de contact ou travail de collaboration avec entreprises et autres concernés). Les enseignants ne fassent aucun effort de recherche et même ceux qui mettent la main à la patte ne trouvent aucun encouragement …etc.

    Un véritable fiasco ; en comparaison avec les années 70 et 80 ou le Maroc a fait d’énormes efforts surtout dans le domaine agricole notre pays se contente d’importer la technologie très chère alors que d’autres pays émergeants comme la Tunisie et la Turquie ont fait d’énormes sauts en avant ; le Maroc passe par une sécheresse scientifique sans précédant !

    Pour sortir de cette situation désastreuse et rattraper une partie de notre retard ; il nous faut une vraie révolution scientifique. Et cette révolution ne verra jour que si l’état ; les entreprises et les universités coupent avec les pratiques du passé et signent un plan qui définit les obligations et les attentes de chaque partie. C’est sur que le financement est une contrainte majeure ; mais avec un plan bien ficelé on pourrait optimiser notre productivité scientifique.

    On ne doit pas commettre l’erreur d’implanter des centres de recherches dans un environnement totalement déconnecté. Mais d’abord il faut réveiller nos universités qui occupent des places déshonorables dans le tableau de classement mondial ; ensuite il faut présenter des encouragements fiscalaux et organisationnels aux entreprises qui se lancent dans un processus de R&D en partenariat avec les universités ; ont doit encourager nos enseignants à augmenter leur production scientifique (colloques ; publications et travaux de recherche) c’est la ou on passerait à l’étape de création d’incubateurs scientifiques dans les universités. Ces incubateurs seront un grand espace d’innovation bénéfique pour l’entreprise et l’université.

    Pour dépasser la contrainte financière on doit commencer par les secteurs qui demandent des investissements modestes (sciences sociales ; économie, informatique…) quand les entreprises verront le fruit de ce travaille elles comprendront qu’en versant plus de liquidités les résultats seront plus importantes. Et c’est la qu’on réveillera nos centres d’études stratégiques qu’on n’a jamais sentis l’importance des fruits de leurs « études ». Tout ce travail sera sous la responsabilité d’un certain ministère de la recherche scientifique dont on n’a jamais entendu.

    On a des profils marocains qui ont pénétré les salons scientifiques les plus prestigieux au monde ; mais ce sont des exceptions. Le potentiel scientifique marocain est beaucoup plus grand que cela et mérite beaucoup plus. Un simple coup d’œil sur notre histoire nous ferait savoir que la première carte géographique du monde a été dessiné par un marocain et que Ibn Ruchd reste et demeurera encore une référence scientifique jusqu’à la fin des temps.

  • #2
    Quelle prétention !

    Avant de parler de recherche scientifique il faut commencer par apprendre l'alphabet. Comment peut on envisager sérieusement de s'engager dans la recherche scientifique quand 40 % de la population est analphabète.

    Commentaire


    • #3
      Quelle prétention !

      Avant de parler de recherche scientifique il faut commencer par apprendre l'alphabet. Comment peut on envisager sérieusement de s'engager dans la recherche scientifique quand 40 % de la population est analphabète.
      T'as raison, faut TOUT ou RIEN. Ou bien devenir les US ou bien rester tiers mondiste, ce qu'a fait l'Inde et autres pays a revenu intermediaire c'est du pipo... "Pretention" gallek...

      Commentaire


      • #4
        galaad,
        Quelle prétention !

        Avant de parler de recherche scientifique il faut commencer par apprendre l'alphabet. Comment peut on envisager sérieusement de s'engager dans la recherche scientifique quand 40 % de la population est analphabète.
        -----------
        ------------------------
        Et pourtant
        L’Algérie derrière le Maroc dans la recherche scientifique
        Le Maroc enregistre 10 fois plus de productions scientifiques que l’Algérie qui ne disposerait que de mille chercheurs dans ses centres de recherches.
        mardi 17 avril 2007.
        http://www.algerie-dz.com/article9273.html
        Il aurait mieux valu de ne pas perdre de l'argent à alphabétiser les vôtres, à la place, les faire sortir de la pauvreté, par exemple.

        Commentaire


        • #5
          Balayer d'abord devant sa porte ça serait déjà pas si mal !

          A toutes fins utiles :

          http://www.algerie-dz.com/article9273.html

          L’article date de 2007 certes mais je ne pense pas qu’il y ait eu de grands bouleversements depuis !

          ---------------
          NB: Pour ALIEN : Raja 2 -WAC 0 / sacré rajaoui !
          Dernière modification par ould izza, 21 octobre 2009, 01h57.

          Commentaire


          • #6
            dima raja!

            La récente opération DP a eu un impact certain sur la recherche scientifique.
            Dernière modification par alien, 21 octobre 2009, 02h09.

            Commentaire


            • #7
              Il y a un projet en cours pour de la recherche appliquée en énergie propre mais à un niveau jamais vu au Maroc qui sera menée par un consortium Allemagne-Japon chapeauté par les étudiants de l'IMAT (double diplome allemagne Japon) au niveau de Larache et en collaboration avec l'ONE.
              Il est vrai que le Maroc reste en deçà de ses possibilités dans la recherche et il nous faut mettre plus de moyens pour motiver la recherche privée et la faire venir dans le Royaume.
              La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

              Commentaire


              • #8
                l'algérie ne disposeriat que de 1000 chercheurs...
                ce n'est pas ce qui transparait dans l'article du même auteur:
                lundi 9 avril 2007. Au chapitre de la coopération scientifique entre l’Algérie et la France, la directrice de la post-graduation et de la recherche scientifique au ministère de tutelle, Mme Mounira Bendjeloul, a précisé l’inscription, dans le cadre des projets « Tassili », de 115 projets communs entre les laboratoires algériens et français. Des projets qui autoriseront la promotion des échanges entre les chercheurs et des visites scientifiques, en plus d’une coordination entre les deux directions et les deux ministères pour la publication d’articles scientifiques.
                On apprendra également, au cours de cette conférence, que 3993 projets de recherche sont inscrits au titre de l’année universitaire en cours en Algérie, impliquant 15.068 enseignants dont 2030 professeurs, 3111 maîtres de conférences et 6617 chargés de cours. La conférencière a, par ailleurs, annoncé la signature aujourd’hui d’un accord entre l’Agence spatiale algérienne (ASA), le Centre national des techniques de l’espace et 5 universités algériennes pour la création d’une nouvelle école de doctorat pour l’enseignement des techniques de l’espace.
                Le bilan des activités de recherche en Algérie, ce sont aussi les 1561 articles qui ont été publiés cette année dans des périodiques internationaux contre 794 articles dans des périodiques et autres publications nationales. Selon l’oratrice, le ministère s’attèle à élargir les perspectives de formation à l’étranger notamment pour la finalisation des thèses de Doctorat, et le recyclage des professeurs universitaires.
                Synthèse de Billal, www.algerie-dz.com
                on va pas jouer sur les chiffres, peu importe les omissions et ce qu'on appelle par centre de recherche, labo de recherche, privé, public...
                ce qui compte est le nombre de publications.
                __________________________________________________ _____
                Les chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche. De Gaule

                Commentaire


                • #9
                  C'est ce qui me tue chez vous.

                  Un chercheur ne va pas faire un seul projet, il en fait plusieur.
                  C trop comment vous fermez les yeux sur la réalité. vous ne cherchez pâs à bousculer vos préjugés.

                  Commentaire


                  • #10
                    pendant et après la decennie noire on a perdu 40 000 ,cadres et chercheurs, tu penses que tu aurais dit la même chose concernant la recherche actuellement en algerie. Le nb de chercheurs ne pose pas de problème, nos universités savent le faire, ce qui compte est la publication universitaire.
                    __________________________________________________ __________________________________________________ __________
                    Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche. De Gaule

                    Commentaire


                    • #11
                      Ce qui compte c'est leur qualité. Mais l'Algérie s'est faite saignée durant la décennie noire, c'est normal que le nombre de chercheurs baisse.
                      La guerre, c'est la guerre des hommes ; la paix, c'est la guerre des idées. V. Hugo

                      Commentaire


                      • #12
                        Recherche scientifique : L’Algérie à la 4e place au plan continental

                        mercredi 15 juillet 2009.
                        Depuis hier se tiennent à l’UDES (Unité de développement de l’énergie solaire) de Bou-Ismail en Algérie les premières assises nationales sur la recherche scientifique.



                        Les chercheurs permanents dans diverses spécialités technologiques et scientifiques qui y prennent part pour trois jours, dresseront, dans le cadre des six ateliers qui ont été mis sur pied, le bilan de la réalité qui prévaut actuellement dans le domaine de la recherche scientifique, et partant, débattre des insuffisances et les outils optimaux devant permettre de trouver une stratégie pour son développement.
                        « Ces assises visent à dresser un état des lieux de la recherche scientifique et du développement technologique dans les centres et unités de recherche, en mettant en exergue leurs forces et faiblesses afin d’améliorer l’interaction du système de recherche avec les besoins de développement socio-économique », a souligné Hafidh Ourag, directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique (DG-RSDT), au ministère de l’Enseignement supérieur.
                        Rachid Haraoubia, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a révélé qu’actuellement l’Algérie occupe la quatrième place sur le plan continental en matière de production dans la recherche scientifique alors qu’elle occupait auparavant la septième place.
                        « Mieux, précise le ministre, l’Algérie est désormais leader en Afrique en ce qui concerne la production inhérente à la recherche dans la spécialité des matériaux ».
                        Pour sa part, Hafidh Ourag a affirmé que l’Algérie dispose de 780 laboratoires de recherche. « Tous nous laboratoires n’ont pas pour le moment des accréditations, autrement dit, ils ne disposent pas de certification ISO 1925, ce qui représente un handicap pour l’exportation de leurs produits.
                        Toutefois, d’ici le premier septembre prochain et dans le cadre de la coopération avec l’Union européenne des laboratoires nationaux bénéficieront de cette certification. Si on arrive à accréditer 10% de notre potentiel laboratoires, nous franchirons un pas très importants et significatif dans ce domaine ».
                        Seulement ce n’est pas l’unique obstacle qui empêche le développement de la recherche scientifique. La promotion de la recherche scientifique passe, selon lui, par des textes réglementaires notamment ceux inhérents notamment à la définition de la procédure de contractualisation.
                        « La communauté des enseignants universitaires compte 35.000. Seuls 19.000 versent dans la recherche. Et afin d’amener le plus d’enseignants possible à opter pour la recherche, des mesures incitatives ont été intégrées dans les textes régissant la contractualisation à l’instar des primes qui y sont prévues », précise-t-il.
                        Premier Laser algérien en septembre 2009 Concernant les acquis de la recherche scientifique en Algérie, particulièrement ceux ayant trait au transfert de la technologie, Hafidh Ourag a révélé qu’à partir du 1er septembre 2009, l’Algérie sera en mesure de produire du Laser pour l’étiquetage et le soudage.
                        « Ce projet est devenu possible grâce à un protocole entre le réseau NOUR algérien et une grande firme multinationale spécialisée dans cette technologie.
                        Une fois lancée, l’Algérie couvrira non seulement les besoins du marché interne mais elle sera en mesure de répondre à la demande du marché africain », affirme-t-il.
                        Le Pr Smati Zoughbi, président du syndicat national des chercheurs permanents, considère que depuis la mise en place de la DG-RSDT, la sphère de la recherche scientifique est entrée dans une véritable phase de dynamique.
                        Néanmoins, ce dernier soutient que tout développement économique doit être accompagné et exige en préalable un développement scientifique et technologique.
                        En partant de ce postulat, il conditionne cette démarche par la prise en charge effective des attentes des chercheurs, tant sur le plan professionnel que social.
                        Horizons

                        Commentaire


                        • #13
                          Quelques agrégats sur l'enseignement supérieur et la recherche scientifique en Algérie, bien que ce ne soit pas le sujet:

                          1. Réseau des établissements universitaires

                          Actuellement, l’université algérienne est articulé autour d’un réseau universitaire composé de soixante (60) établissements dont cinquante huit (58) établissements d’enseignement supérieur et 02 annexes universitaires couvrant quarante une (41) wilayas et répartis comme suit :

                          - 27 Universités dont celle de la formation continue
                          - 16 Centres universitaires.
                          - 02 Instituts nationaux d’enseignement supérieur.
                          - 09 Ecoles et instituts nationaux spécialisés.
                          - 04 Ecoles normales supérieures dont une d’enseignement technique.
                          - 02 Annexes universitaires hors wilayas

                          2. Effectif enseignants et chercheurs


                          - Professeurs : 2.213
                          - Maîtres de conférence et docents : 3.430
                          - Maîtres assistants chargés de cours : 11.771
                          - Maîtres assistants : 12.358
                          - Assistants (y compris professeurs/ingénieurs) : 738

                          3. Diplômes de post-graduation en cours de préparation (2007)
                          • 4039 Magisters
                          • 3266 Thèses de doctorat


                          4. Production scientifique :
                          • 3046 Publications internationales
                          • 1099 Publications nationales
                          • 5039 communications internationales
                          • 3054 communications nationales



                          5. Nbre de projets de recherche : 3175 (2007)
                          Dernière modification par jawzia, 21 octobre 2009, 18h23.

                          Commentaire


                          • #14
                            Pour revenir au sujet qui est la recherche scientifique au MAroc, force est de constater qu'il est difficile d'avoir des statistiques (fiables ou officielles) sur les projets de recherches, la production scientifique, les effectifs d'enseignants-chercheurs ...
                            Parution d'une étude sur la recherche scientifique au Maroc

                            Soumis par toma le Jeu, 2009-09-10 17:46.

                            Une étude intitulée: "Pour une relance de la recherche scientifique et technique au service du développement du Maroc", a été réalisée par l'Académie Hassan II des sciences et techniques.

                            Abondamment illustré, ce document de 91 pages reflète le résultat de la réflexion menée au sein de l'Académie tout au long de ses sessions ordinaires ainsi que sa session plénière solennelle sur l'état de la recherche scientifique au Maroc.

                            En effet, depuis sa session plénière solennelle en 2008 sur le thème "la recherche scientifique : production, évaluation et expériences étrangères ", l'académie avait retenu le principe d'engager la réflexion sur l'état de la science au Maroc.

                            L'étude conclut que le Maroc "a besoin de façon cruciale d'impliquer de façon déterminante, et le monde scientifique et de celui de l'entreprise dans tous les efforts majeurs qu'il consent", souligne le secrétaire perpétuel de l'Académie Hassan II des sciences et techniques, M. Omar Fassi-Fehri.

                            Elle se veut également un plaidoyer "convaincant" en faveur de la relance "résolue et durable" de la recherche scientifique et technique, au service du développement.

                            Le document fait suite à des travaux conduits par l'Académie en coopération étroite avec divers acteurs de la recherche, pour rassembler des données quantitatives fiables sur le système national de recherche et d'innovation et recueillir les avis des principaux opérateurs des programmes ou projets de recherche, lit-on dans l'introduction.

                            Riche en statistiques, le texte fait d'abord un rappel de la pertinence de la recherche scientifique et technique et du rôle déterminant de la l'innovation dans le développement du pays.

                            Elle donne ensuite l'état de la recherche au Maroc et les principaux indicateurs le caractérisant puis décline une série d'orientations stratégiques de nature à mettre à l'horizon 2020 le dispositif national de la recherche scientifique et technique au service du développement.

                            L'étude compte cinq chapitres: La "Pertinence de la recherche scientifique et technique pour le développement du Maroc" traitant de l'utilité de la recherche scientifique pour de nombreux secteurs vitaux, de la méthode scientifique comme outil nécessaire pour prendre les bonnes décisions, de la nécessité de respecter les standards internationaux et de la recherche scientifique et innovation technologique en tant que leviers du développement économique.

                            Le deuxième chapitre, intitulé "Le système scientifique national : des avancées inconstances mais aussi des faiblesses et une évolution préoccupantes", revient sur le personnel de la recherche, la situation des étudiants , Marocains de l'étranger, les ressources financières, développement technologiques et brevets.

                            "Donner un nouveau souffle au système de recherche marocain: recommandations de politique générale", "Domaines et thèmes prioritaires" et "Mettre la recherche résolument au service du développement stratégie à l'horizon 2020" constituent les trois autres chapitres détaillés par l'étude.

                            Un document riche en statistiques, intitulé "La recherche scientifique au Maroc en chiffres" est annexé à cette étude et présente les données chiffrées sur cette problématique et leur évolution au cours des dernières années.

                            Il revient également sur les différents indicateurs de la recherche scientifique au Maroc, les ressources humaines, financières et les partenaires scientifiques du Maroc.

                            Commentaire


                            • #15
                              on ne connaît pas la production scientifique au maroc?

                              étonnant
                              « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X