Pour ses services au profit du secteur agricole
Une médaille de la FAO pour l’Agence spatiale algérienne
En six ans d’existence seulement, l’Agence spatiale algérienne (Asal) fait déjà parler d’elle. Une médaille de reconnaissance vient, en effet, de lui être décernée par la FAO pour sa précieuse contribution aux activités menées dans le cadre de la thématique “Sécurité alimentaire”. Depuis 2003, date de sa création, l’Asal mène une bataille sur plusieurs fronts. Au plan de la lutte contre le criquet pèlerin, son implication a débuté en mars 2004, lors de la campagne pour la lutte antiacridienne 2003-2005 et a été décisive notamment en matière de fourniture d’images satellite à valeur ajoutée à l’Institut national de la protection des végétaux (INPV), pour le suivi des biotopes acridiens dans le Sud algérien. L’Asal a également fourni des efforts titanesques dans la lutte contre la désertification et la sécheresse, en réalisant, en 2005, la carte de sensibilité à la désertification couvrant 9 wilayas steppiques, soit 15 millions d’hectares.
Source: Liberte-Algerie.
Une médaille de la FAO pour l’Agence spatiale algérienne
En six ans d’existence seulement, l’Agence spatiale algérienne (Asal) fait déjà parler d’elle. Une médaille de reconnaissance vient, en effet, de lui être décernée par la FAO pour sa précieuse contribution aux activités menées dans le cadre de la thématique “Sécurité alimentaire”. Depuis 2003, date de sa création, l’Asal mène une bataille sur plusieurs fronts. Au plan de la lutte contre le criquet pèlerin, son implication a débuté en mars 2004, lors de la campagne pour la lutte antiacridienne 2003-2005 et a été décisive notamment en matière de fourniture d’images satellite à valeur ajoutée à l’Institut national de la protection des végétaux (INPV), pour le suivi des biotopes acridiens dans le Sud algérien. L’Asal a également fourni des efforts titanesques dans la lutte contre la désertification et la sécheresse, en réalisant, en 2005, la carte de sensibilité à la désertification couvrant 9 wilayas steppiques, soit 15 millions d’hectares.
Source: Liberte-Algerie.
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