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Lever tous les obstacles à la transplantation d'organes en Algérie

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  • Lever tous les obstacles à la transplantation d'organes en Algérie

    Le président de la Société algérienne de transplantation d'organes, le Pr Hocine Chaouche, a appelé jeudi à Alger à lever tous les "obstacles" entravant le développement de la greffe en Algérie, pour arriver à la pratiquer à partir de donneurs vivants ou sur des personnes décédées.

    Le Pr Chaouche a estimé qu'il y a des "préalables" à cela, expliquant qu'avant de procéder au prélèvement d'organes sur les cadavres, l'environnement doit être "adéquat" et "décent" pour inspirer confiance aux familles des donneurs et des receveurs d'organes. "Ainsi, ce sera plus facile de demander à la famille de la personne décédée l'autorisation de prélever un organe sur le cadavre", a-t-il souligné à l'occasion du premier congrès sur la transplantation d'organes en Algérie, organisé sous le thème "Etat des lieux et perspectives".

    Aller vers des donneurs d'organes en dehors de la famille du patient

    La nécessité d'aller vers des donneurs d'organes en dehors de la famille du patient a été soulignée, jeudi à Alger, par des professeurs et médecins spécialistes, à l'occasion du premier congrès sur la transplantation d'organes en Algérie. "Nous souhaitons que la législation en Algérie aille vers cette ouverture, comme c'est le cas dans plusieurs pays européens", a indiqué M.

    Ahmed Nekhla médecin au service de chirurgie thoracique et cardiovasculaire du Centre hospitalo-universitaire Mustapha-Bacha (Alger), expliquant que le don d'organe n'est permis qu'aux membres d'une même famille de premier degré, c'est-à-dire, le père, la mère, le fils ou le frère alors que l'époux n'a pas la possibilité de donner son organe à son épouse.

    Par APS
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