Les leurres de la ville.

[rosier belda]

Je me suis perdu dans, toutes, celles que j’ai rencontrées
Mais aucune, d’elles, ne s’est perdue en moi,
Impatient et pressé de m’accrocher,
A celles qui daignent me jeter un tout p’tit regard,
Aucune d’elles n’a risquées un furtif clin d’œil,
Pour ce petit étourdi aveuglé par ces minuscules icônes,
De ces lumières publicitaires, trompeuses, des grandes villes,
N’ayant rien compris, pourquoi tout et si joli et si beau,
Mais aucun visage souriant n’accroche,
Aucun salut, pas de bras ouvert accueillant,
Tout et froid sans regard aimant,
Au matin de cette visite inhospitalière,
Je me suis rappel que mon jasmin a desséché
Continuer à l’arroser, c’est la moindre des pires des choses qui puissent m’arriver.

[Olive.]

Je me suis perdu dans, toutes, celles que j’ai rencontrées
Mais aucune, d’elles, ne s’est perdue en moi,

C'est un peu normal
Puisque polygame
au moins par la pensée

Ton coeur tel un cheval
Mille courses, il entame
Avant même d'achever

La première cavale
Il est rend les armes
Fatigué, tout épuisé

Impatient et pressé de m’accrocher,
A celles qui daignent me jeter un tout p’tit regard,

Bon je prends le risque avec ce cheval de selle
En t'avouant que j'ai apprécié ta plainte virtuelle

[sam87]

merci pour le partage ....

[Mohenza]

très joli rosier belda et olive

[Olive.]

Mohenza, le mérite est au rosier qui a réveillé mon olivier

[rosier belda]

Olive merci d'apprécier...De l'olivier je suis et j'adore et j'en raffole de l'huile d'olive vierge...L'auteur du texte "les leurres de la ville" était, tout simplement, sidéré pas la froideur d'acier des gens de la ville visiter...

S'accrocher à un sourire, à un regard humain...sentir des gens avec du vrai sang humain dans les vaines...

[rosier belda]

Sam le plaisir et partager et merci d'être présent.

[rosier belda]

Merci Mohenza...Parfois la nature fait bien les choses un rosier au pied d'un olivier c'est divin !!!

[Olive.]

un rosier au pied d'un olivier

Même en fôret on nous bouscule ya rebbi
Pousse-toi tu risques de me géner
Sauvage, je n'ai besoin qu'on m'entretienne
Jamais ingrate, je partage mon bien
Chaque année, à la même saison
Je me fais belle aux nombreux gens
Qui viennent nous enlever à ma mère
Moi, mes frêres et soeurs
Pour nous presser, nous transformer
En mets de table ou en huile liquide


Toi le rosier, bien malin
qui s'invite en timide
Pousse et se ramifie
Tes feuilles peuvent me nuire
M'asphéxier, me couvrir
Et sur mes racines s'établir
Tu as besoin d'un ruisseau
D'endroit humide
Ma terre pour toi est un fardeau
Sèche, elle n'a jamais d'eau...



Merci, pour cette petite balade dans la fôret!
Bonne nuit, Demain, tu pousseras encore

[rosier belda]

olive

Je suis là pour tes racines centenaires...Pour l'ombre fournie...Le rosier racé peut se passer d'eau, mais ne peut pas se passer d'une jardinière à la main verte et beaucoup de h'nana...