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Quel sera le nouveau Snmg?

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  • Quel sera le nouveau Snmg?

    15.000, 18.000 OU 20.000 DINARS
    Quel sera le nouveau Snmg?



    Les 230 milliards de dinars prévus dans le projet de loi de finances pour 2010 représentent le montant de la provision. Elle peut être ajustée et revue à la hausse ou à la baisse en fonction du niveau d’augmentation des salaires, qui sera décidé par la tripartite.

    La revalorisation du salaire national minimum garanti (Snmg) est acquise. A cet effet, l’Etat a prévu, dans le cadre du projet de loi de finances 2010, 230 milliards de dinars pour les incidences financières de la révision du salaire national minimum garanti. Mais à quel taux? 15.000, 18.000 ou 20.000 dinars? La question taraude les esprits. Les spéculations vont bon train. Rien n’est encore ficelé. Le gouvernement n’a pas encore fixé le seuil de relèvement du Snmg.
    Contrairement aux précédentes revalorisations de 2003 et de 2006, «décidées» en dehors de la tripartite, la prochaine devrait être discutée dans le cadre de celle-ci, seule habilitée à décider du taux de l’augmentation salariale. La date de la tenue de la tripartite n’est pas encore fixée. A quel taux le Snmg sera-t-il revalorisé? Si l’Ugta soutient un Snmg compris entre 15.000 et 18.000 dinars, le Parti des travailleurs et les syndicats préconisent un salaire de 25.000 dinars.
    Ces derniers demandent même l’abrogation de l’article 87 bis de la loi 91-11 qui pénalise les fonctionnaires à faible revenu. Or, les pouvoirs publics, même s’ils admettent la nécessité de revaloriser les salaires, avancent l’argument de productivité, certes, largement inférieure aux normes internationales. Or Habib Yousfi, président de la Confédération générale des entrepreneurs algériens, partenaire dans la tripartite, avait admis que «s’il y a réexamen du Snmg, c’est pour promouvoir la possibilité de le relever d’une part, mais aussi pour examiner la proportion dans laquelle il va être relevé. Cette question ne dépend pas uniquement du patronat, car étant donné que c’est l’administration, autrement dit les pouvoirs publics, qui est le plus grand employeur, c’est elle, par conséquent, la plus intéressée à fixer un minimum en ce qui concerne l’augmentation du Snmg».
    Et de souligner que «le patronat n’est pas en mesure de statuer sur le montant. Nous demandons simplement une contrepartie de productivité et la résolution des problèmes». Les 230 milliards de dinars prévus dans le projet de loi de finances pour 2010 représentent le montant de la provision. Cette dotation n’est pas inscrite comme dépense. Elle peut être ajustée et revue à la hausse ou à la baisse en fonction du niveau d’augmentation des salaires, qui sera décidé par la tripartite. Ce sont là les précisions du ministre des Finances, Karim Djoudi. Intervenant à l’APN, il a estimé que «seule la tripartite est habilitée à décider du niveau de l’augmentation».
    Par ailleurs, le ministre a relevé la situation satisfaisante de la dette algérienne évaluée à moins de 500 millions de dollars pour la dette extérieure publique et à 750 milliards de dinars pour la dette intérieure publique. «Nous avons réduit fortement notre dette publique à moins de 1% par rapport au produit intérieur brut», a-t-il indiqué.
    Interrogé sur les dispositions prises pour faire face à la baisse des recettes pétrolières, le ministre a répondu que la chute des cours du brut va se traduire par une réduction de 50% des recettes extérieures et une baisse quasi équivalente des recettes fiscales pétrolières. Les mesures qui ont été prises se traduisent par un solde global du Trésor, légèrement négatif et un Fonds de régulation des recettes maintenu à 4280 milliards de dinars, soit 40% du PIB.
    Malgré cette baisse, l’Algérie a réussi à réduire son endettement interne et externe et consolider ses réserves de change, ce qui conforte la situation financière du pays, a dit le ministre des Finances. M. Karim Djoudi a indiqué que le Conseil national de la fiscalité va bientôt entamer son travail. Sa création a été prévue par la loi de finances de 1999. «L’administration fiscale a établi des contacts avec les différentes parties concernées pour définir les missions et la composante de ce Conseil», selon le ministre, en réponse à une question d’un député lui demandant d’expliquer le retard accusé dans l’entrée en fonction de cette institution consultative. Aussi, M.Djoudi a expliqué que la création de ce Conseil s’est heurtée au problème de la représentation des différentes parties devant siéger dans cette institution. Hormis quelques associations, le reste des professionnels ne sont pas organisés pour pouvoir désigner leurs représentants à ce Conseil.
    A la question relative aux critères utilisés pour établir les prix de cession des terrains et des logements de l’Etat aux particuliers, le ministre a répondu que ces prix sont définis en fonction de la réglementation en vigueur en matière de cession qui prend en considération la valeur commerciale du bien, sa superficie, sa vétusté et sa situation, d’où la différence pratiquée des prix par les différentes wilayas et parfois dans la même wilaya.
    Le ministre n’a toutefois pas écarté une révision des prix de cession pour certains cas si elle est justifiée. Enfin, le ministre a rappelé les dispositions d’aide prises par l’Etat dans le cadre de l’achat de logements. Il précise que les mesures inscrites dans le cadre de la loi de finances complémentaire de 2009, ne concernent que les fonctionnaires contrairement à celles prévues dans le projet de loi de finances 2010, dont bénéficieront tous les Algériens.
    L'expression
    Achira MAMMERI
    Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

  • #2
    snmg ?

    D'aprés j'ai déja compris sur le snmg c'est qu'il est le salaire national minimum garanti permettant l'assurance d'une vie acceptable pour un travail et on parle d'un seuil maximum de 25000da et je crois mes amis que nous nous sommes mème pas au salaire rèel que les gens touchaient pendant les années 70 où la majorité des algériens goutent au moins à la viande une fois par semaine c'est à dire le jour du marché on garnit notre panier par au moins un demi kilo de viande.ACTUELLEMENT rares sont ces qui se permettent cette denrée et je vous assure que j'ai un salaire qui dépasse 30000da et je termine difficillement la fin du mois.

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    • #3
      ABS1,EXCUSE MOI MAIS,C EST QUE T ES RADIN!J AI DE LA FAMILLE QUI TOUCHE MOINS QUE TOI ET POURTANT ILS MANGENT SOUVENT DE LA VIANDE,DIS NOUS PLUTOT QUE TU VOUDRAIS T ACHETE UNE BELLE VOITURE A DEFAUT D AVOIR DE LA VIANDE DANS TON ASSIETTE.

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      • #4
        Au lieu de me traiter de radin fait une enquète réelle dans ton cartier et tu trouvera que finalement j'ai bien raison mais c'est que je suis sur que tu es peut ètre jeune et tu ne connais pas les années 70

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        • #5
          lis EL WATAN d'aujourd'hui

          bonsoir VARADERO!
          J'espère bien que tu as lu le journal EL WATAN d'aujourd'hui ou au minimum sa première page comme ça je suis sùr que tu as retiré ce que tu as dit hier dans cette rubrique.

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          • #6
            Le plus haut possible, j'espère...
            Normalement pour vivre décemment en Algérie, c'est 3 millions le minimum.

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            • #7
              Un pays produit une quantite de richesse defini.
              L'algerie peut se permettre facilement un smig a 30 000dinars voir plus. Mais en echange il faut rendre la sante, l'education payante, baisser les subventions etc...bref baisser les autres depenses.
              C'est une question de choix de societe.

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              • #8
                tout est payant c'est tout ce que tu as trouvé à dire pour un salaire de 30000da on dirait que tu es en train de régler tes affaires avec les pauvres algériens.

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                • #9
                  tout est payant c'est tout ce que tu as trouvé à dire pour un salaire de 30000da on dirait que tu es en train de régler tes affaires avec les pauvres algériens.
                  J'ai parle d'un smig de 30 000da. Pas de tous les salaires.

                  Malheuresement on ne peux pas fuir la realite economique.
                  Si tu doubles un smig il y a pas 1 000 solutions. Soit tu reduits d'autres depenses (j ai parle de sante subventions mais ca peut etre aussi le budget d'equipement, infrastructures...ou celui des moudjahidines), soit tu reduits rien est tu auras une inflation proportionnel qui annulera l'augmentation salariale.
                  La troisieme solution s'est que l'algerie se mette tout a coup a produire des biens a hautes valeurs ajoutees.

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                  • #10
                    bonsoir KARIM
                    qui vous a dit que l'algérien ne veut pas fabriquer des biens à forte valeur ajoutée.Seulement le problème il faut le chercher ailleurs.Parcequ'il y a beaucoup de grains de sable quelque part. N'est ce pas KARIM?

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                    • #11
                      D'autres facteurs sont à prendre en considération tels que le niveau des coûts actuels des produits nationaux. Le salaire moyen d'une entreprise publique tourne autour de 25 000 DA. Ces entreprises trouvent des difficultés énormes pour écouler leurs produits car les coûts de production sont très élevés. Avec la politique économique des années 70/80, nous avons investi dans les infrastructures et dans l'industrie lourde, ce qui fait que les amortissements sont très élevés. D'ailleurs, beaucoup d'entreprises publiques ont évité de réévaluer leurs investissements en 2007 à cause des impacts sur les coûts de production.

                      A cela, s'ajoute les efforts faits pour inciter les investisseurs étrangers à venir en Algérie dont les résultats sont vraiment maigres. Les salaires sont un des éléments attractifs.

                      A voir l'expérience du passé, il faut aussi dire que les augmentations de salaires décidées précedemment ne sont pas accompagnées de gains de productivité ni de production additionnelle à même de laisser les prix à leur niveau d'avant l'augmentation. Chacune d'elle s'est accompagnée d'une augmentation faramineuse des prix ayant plongé le citoyen dans une situation plus misérable.

                      Beaucoup de prudence prévaudra dans cette tripartite qui je le crois, ne prendra aucune décision. Comme pour la décision précédente, elle a laissé le soin au Président.

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                      • #12
                        bonsoir tout le monde
                        les augmentations de salaire n'ont pas été suivi d'une amélioration de la productivité parceque les majorité des personnes qui sont à la tète de plusieures de nos unités économiques n'appliquent aucun système de gestion pour l'atteinte des objectifs où carrément ils n'ont aucun objectif sauf celui d'augmenter leur salaire.Donc ce n'est pas la faute au travailleur qui touche 10000,00dinars mais à son gestionnaire qui touche plus de 100 000,oodinars qui n'a aucune notion ni sur le management ni sur le marketing donc c'est à l'état d'accompagner les mesures d'augmentation de salaire par un redéploiement du personnel CADRE au niveau de nos unités économiques dons arrétons d'accuser nos malheureux ouvriers qui ne cherchent qu'à ètre bien guidés dans leurs entreprises.

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                        • #13
                          Je vis en algérie, moi et j'ai passé 18 années dans le secteur de l'Etat? Je connais fort bien la responsabilité des travailleurs dans le KO que connaissent nos entreprises comme notre administration. J'ai fait l'Université des années 70 et j'étais responsable dans une entreprise? J'ai été poussé à la porte à cause d'un travailleur qui m'a manqué de respect. A cause de son licenciement l'UGTA a bloqué l'entreprise et j'ai été sacrifié, au nom de la paix sociale. Vous me dites là que je suis incompétent. Il y a des milliers de cadres comme moi. Le pouvoir ne se partage pas en gestion? Tant qu'on vous pond des lois sur les entreprises où l'on caresse du poil aux syndicats comme le consulter à chaque fois que vous avez une décision à prendre, ça ne marchera pas. Et tant que ces lois sont d'application, personne ne viendra en Algérie pour y investir!

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                          • #14
                            vous ne m'avez pas compris

                            bonsoir Llouenes
                            il parait que vous ne m'aviez pas compris.Quand j'ai dit que ce n'est pas seulement la responsabilité au travailleurs dans le manque de la production qui ne suit pas l'augmentation de salaire je sais trés bien ce que je dis et malgré que je suis un cadre mais pas opportuniste du tout parceque moi contrairement à toi je fus écarté de mon poste de travail de cadre supérieur parceque je suis arrivé à augmenter la production dans une entreprise où l'augmentation de la production n'est pas toujours vue d'un bon oeil au contraire j'ai dérangé pas mal de cadre incompétent qui n'ont de soucis que d'augmenter leur salaire . Cependant ce qui t'est arrivé justement est dù certainement au manque de culture juridique de votre département du personnel parceque mème le syndicat est tenu à respecter la législation de travail et le règlement interieur de l'entreprise et il a des prérogatives à ne pas dépasser.Et si nos gestionnaires étaient tous des compétents et n'ont pas peur à leur poste de travail tu n'aurais pas dù ètre victime de cette écartement de ton poste de travail.

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                            • #15
                              Le problème c le fond de la question? Nous avons habitué les syndicats à la cogestion, ils ne pourront s'en défaire? En algérie, les syndicats ne sont pas là pour mobiliser les travailleurs autour d'objectifs nobles tels que l'amélioration constante de la productivité pour que leur entreprise soit de plus en plus performante mais à surveiller les cadres, à alimenter des processus d'informations de dénigrement de l'encadrement. Au nom de la loi du nombre, le pauvre cadre se retrouve dehors. Après, il quitte l'algérie pour se retrouver là où il sera vu à sa juste valeur dès qu'on découvre ses compétences bien sur.
                              En algérie, on criera à la fuite des cerveaux etc...

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