Ce n’est pas de la fiction, ça se passe à l’université de Dély-Ibrahim. Les étudiantes doivent mettre la main à la poche pour aller aux toilettes. Cinq dinars pour la commission (petite ou grande) et deux dinars pour se regarder dans la glace. Avec la bourse dérisoire qu’elles ont, les étudiantes de Dély Ibrahim n’ont d’autre choix que d’apprendre à se retenir car ça coûte cher d’aller au petit coin. Qu’en est-il pour les malades ? Mais il est vrai que cet impôt est destiné, nous a-t-on expliqué, à l’entretien des toilettes. Est-ce que le ministère de l’Enseignement supérieur est à ce point fauché ?
Liberté (rubrique Radar)
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