Le bilan hospitalier, encore très provisoire, fait état de près de 100 morts et plus de 600 blessés. Des chiffres qui disent la violence de ce double attentat à la voiture piégée. La première attaque a touché le ministère irakien de la Justice, la deuxième, peu après, a frappé le siège du gouvernorat de Bagdad. La première explosion a frappé le ministère de la Justice à 10H 30 locales, et quelques minutes plus tard c'est le siège du gouvernorat de la province de Bagdad qui a été dévasté par une nouvelle déflagration.
Les deux édifices ciblés par ce double attentat à la voiture piégée se trouvent près des berges du Tigre, à un carrefour très fréquenté du centre-ville.
Tandis que le bilan des morts et des blessés ne cessait d'augmenter, de source hospitalière on parle maintenant de plus de 70 morts et 600 blessés, les sauveteurs continuaient de combattre les flammes et de fouiller les décombres enveloppées par une épaisse fumée.
La violence de l'attaque rappelle le dernier en date des assauts très meurtriers qui continuent de frapper la capitale irakienne malgré l'amélioration de la sécurité. C'était le 19 août, ce double attentat-là perpétré au moyen de deux camions piégés, visait les ministères des Affaires étrangères et des Finances et il avait fait une centaine de morts.
L'attentat d'aujourd'hui survient alors que des voix s'élèvent pour alerter les politiques sur le risque d'une violence accrue en cas de vide institututionnel. Une réunion de la dernière chance est précisément prévue ce dimanche à Bagdad pour tenter de surmonter un différend entre Kurdes et Arabes sur le statut de Kirkouk, qui menace la tenue des élections générales prévues en janvier.
par rfi
Les deux édifices ciblés par ce double attentat à la voiture piégée se trouvent près des berges du Tigre, à un carrefour très fréquenté du centre-ville.
Tandis que le bilan des morts et des blessés ne cessait d'augmenter, de source hospitalière on parle maintenant de plus de 70 morts et 600 blessés, les sauveteurs continuaient de combattre les flammes et de fouiller les décombres enveloppées par une épaisse fumée.
La violence de l'attaque rappelle le dernier en date des assauts très meurtriers qui continuent de frapper la capitale irakienne malgré l'amélioration de la sécurité. C'était le 19 août, ce double attentat-là perpétré au moyen de deux camions piégés, visait les ministères des Affaires étrangères et des Finances et il avait fait une centaine de morts.
L'attentat d'aujourd'hui survient alors que des voix s'élèvent pour alerter les politiques sur le risque d'une violence accrue en cas de vide institututionnel. Une réunion de la dernière chance est précisément prévue ce dimanche à Bagdad pour tenter de surmonter un différend entre Kurdes et Arabes sur le statut de Kirkouk, qui menace la tenue des élections générales prévues en janvier.
par rfi
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