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Les inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) ont effectué dimanche leur première visite sur le site nucléaire iranien situé près de la ville sainte de Qom, dont l'existence a été révélée le mois dernier.
L'équipe de quatre personnes, emmenée par Herman Nackaerts, devrait rester trois jours en Iran pour visiter les installations du site d'enrichissement d'uranium de Fordo, qui n'est pas encore achevé.
Selon l'agence de presse semi-officielle Mehr, ils ont visite dimanche ce site, deuxième usine d'enrichissement en Iran, creusé à flanc de montagne et placé sous haute sécurité, à une trentaine de kilomètres au nord de la ville sainte chiite.
Téhéran affirme que le site de Fordo, baptisé du nom d'un village iranien qui aurait eu le plus grand pourcentage de ses habitants tombé au front pendant la guerre Iran-Irak, ne sera pas opérationnel avant 18 mois. Il ne devrait pas abriter plus de 3.000 centrifugeuses, contre 8.000 environ dans celui de Natanz.
L'Iran assure que son programme nucléaire n'est destiné qu'à un usage civil, et non militaire, mais a rejeté jusqu'ici les mesures proposées par l'ONU pour rassurer les Occidentaux. Téhéran examine actuellement une offre de l'AIEA d'enrichissement de l'uranium iranien en Russie, tandis que les Etats-Unis menacent de renforcer les sanctions contre la République islamique.
A Fordo, les inspecteurs onusiens devraient comparer les plans fournis avec la dispostion actuelle de l'usine, interroger les employés et prélever des échantillons dans l'environnement pour analyser la présence de matériaux nucléaires.
source : AP
L'équipe de quatre personnes, emmenée par Herman Nackaerts, devrait rester trois jours en Iran pour visiter les installations du site d'enrichissement d'uranium de Fordo, qui n'est pas encore achevé.
Selon l'agence de presse semi-officielle Mehr, ils ont visite dimanche ce site, deuxième usine d'enrichissement en Iran, creusé à flanc de montagne et placé sous haute sécurité, à une trentaine de kilomètres au nord de la ville sainte chiite.
Téhéran affirme que le site de Fordo, baptisé du nom d'un village iranien qui aurait eu le plus grand pourcentage de ses habitants tombé au front pendant la guerre Iran-Irak, ne sera pas opérationnel avant 18 mois. Il ne devrait pas abriter plus de 3.000 centrifugeuses, contre 8.000 environ dans celui de Natanz.
L'Iran assure que son programme nucléaire n'est destiné qu'à un usage civil, et non militaire, mais a rejeté jusqu'ici les mesures proposées par l'ONU pour rassurer les Occidentaux. Téhéran examine actuellement une offre de l'AIEA d'enrichissement de l'uranium iranien en Russie, tandis que les Etats-Unis menacent de renforcer les sanctions contre la République islamique.
A Fordo, les inspecteurs onusiens devraient comparer les plans fournis avec la dispostion actuelle de l'usine, interroger les employés et prélever des échantillons dans l'environnement pour analyser la présence de matériaux nucléaires.
source : AP