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Le passeport biométrique arrive en Algérie

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  • Le passeport biométrique arrive en Algérie

    Le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, M. Noureddine Yazid Zerhouni, procédera aujourd’hui, à la présentation du nouveau passeport biométrique électronique et la carte nationale d’identité biométrique électronique, à la salle de l’ex-CVPA d’Alger, indique un communiqué du ministère.

    Cette démarche s’inscrit dans le cadre du projet portant sur la modernisation de l’état civil et des documents d’identité et de voyage.

    Lors de la réunion d’évaluation consacrée au secteur de l’Intérieur et des Collectivités locales, M. Zerhouni avait indiqué que le projet de modernisation des documents d’identité, de voyage et de l’état civil, a été initié dans le cadre d’objectifs stratégiques d’amélioration de l’efficacité de l’administration et de modernisation des méthodes et des procédures administratives, d’une part, et d’adaptation aux exigences internationales, d’autre part. De plus, avait-il souligné, la mise en place d’un numéro d’identification nationale unique (NIN), pour chaque citoyen ou ressortissant étranger, régulièrement installé sur le territoire national, garantira à moyen terme l’interopérabilité avec l’ensemble des systèmes de gestion.

    En termes d’échéances, Zerhouni avait annoncé que le passeport biométrique électronique serait prêt au cours du premier semestre de l’année 2010, la carte nationale d’identité biométrique électronique est prévue pour la période 2010-2011 et enfin, le registre national de l’état civil, sa numérisation sont prévus pour 2013.

    Par ailleurs, il a été procédé, dès le mois d’août passé, au lancement d’une opération d’expérimentation du nouveau passeport biométrique électronique sur un échantillon de communes, du lancement d’un spécimen d’extrait de naissance spécifique et d’une opération de scannérisation de registres d’état civil au niveau d’un certain nombre de communes pilotes.

    Selon le ministère de l’Intérieur, la Carte Nationale d’Identité Biométrique Electronique et Sécurisée (CNIBES) sera un document complètement sécurisé d’un format plus facilement maniable, conforme aux dernières conquêtes de la technologie dans le monde. Elle comprend notamment une puce électronique et une photo numérisée. Ce document officiel et sécurisé garantira aux citoyens l’accomplissement rapide de diverses formalités quotidiennes en raison de sa fiabilité et de ses fonctionnalités multiples dans le cadre de l’interopérabilité avec d’autres secteurs. Le département de M. Zerhouni a en outre indiqué qu’il sera aussi prévu à terme, la possibilité pour l’administration d’introduire des services électroniques en ligne au profit des citoyens algériens, notamment au niveau des collectivités locales.

    Concernant le Passeport Electronique et Biométrique, c’est un document sécurisé lisible à la machine, qui comprend notamment une photo numérisée et une puce électronique. Le Passeport Electronique et Biométrique sera conforme aux normes édictées par l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI).

    Le document sécurisé, signale le ministère, offre à la fois les garanties de sécurité de la circulation des voyageurs au niveau des ports, des aéroports et des postes frontaliers et de fluidité de la circulation, grâce à un contrôle électronique rapide des documents des voyageurs et également une identification fiable que seuls permettent les documents de voyage électroniques et biométriques. L’OACI, pour rappel, avait fixé comme dernière échéance du lancement du Passeport Electronique et Biométrique pour l’ensemble des ses membres le 1er avril 2010, et l’échéance de retrait définitif de la circulation dans le monde du passeport non électronique et non biométrique à l’horizon 2015. D’autres prescriptions sont faites par l’OACI comme le passeport unipersonnel même pour les enfants mineurs.

    Djamel Belaïfa, QO Algérie
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    Prochainement un permis de conduire biométrique.

    A partir de 2010, le passeport et la carte nationale d’identité seront délivrés sous leur nouvelle forme biométrique et électronique. Ce dispositif va bientôt être appliqué au permis de conduire.

    En effet, le ministre de l’intérieur, Yazid Zerhouni, a annoncé en marge de la présentation des projets du Passeport Biométrique et Électronique (PBI) et la Carte Nationale d’identité Biométrique et Électronique ( CNIBE), que le prochain document officiel qui sera soumis à cette mesure sera le permis de conduire. « Nous avons introduit un logiciel et une application informatique uniques au niveau de ces daïras qui ont transmis au niveau central toutes les données collectées » sur les cartes grises, a fait savoir le ministre.

    Concernant, le coût de l’opération du PBE et de la CNIBE, Zerhouni annonce une fourchette « approximative » comprise entre 20 et 25 millions d’euros, tout en précisant que l’expertise est « essentiellement algérienne ». Et que les ingénieurs algériens travaillant sur ce projet ont effectué plusieurs visites dans les pays ayant une expérience dans le domaine du biométrique.

    ALGERIE FOCUS

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    • #3
      Les nouvelles cartes d'identité algériennes seront piratables : elles contiendront une puce RFID...

      La carte d'identité britannique piratée en 12 minutes


      [11-08-2009]
      La nouvelle carte d'identité britannique, qui est dotée d'une puce RFID, aura demandé 12 minutes pour être piratée. Elle aura donc tenu moins longtemps que le passeport qui aura tenu 4 heures... Dans les deux cas, l'auteur de l'exploit est le même: Adam Laurie.
      La puce RFID présente sur la carte contient ''50 catégories d'informations sur l'individu''. Un simple GSM Nokia aura suffit à Adam Laurie pour arriver à ses fins... Il a en particulier réussi à modifier l'identité du propriétaire sur base d'une carte vierge.
      Source :
      http://www.rfidfr.org/actualites-rfid-20090811.php


      Carte identité hackée


      La nouvelle carte d'identité numérique britannique a été piratée en douze minutes seulement. C'est Adam Laurie, connu pour avoir hacké le passeport anglais en quatre heures, qui a réussi l'exploit. Pour le comprendre, il faut savoir que les cartes d'identité anglaises sont dotées d'une puce RFID (radio-identification) qui contient les 50 catégories d'informations sur l'individu. Ces informations peuvent être consultées sur ordinateur grâce à un lecteur de puces spécial. Adam Laurie et le magazine Mail Online ont donc tenté de pirater cette carte dite inviolable par le gouvernement. Et il leur aura suffi d'un simple téléphone Nokia pour récupérer les informations. En douze minutes seulement, Adam Laurie a réussi à modifier l'identité du propriétaire de la carte sur une carte de transport londonienne vierge. "Si le gouvernement souhaite sérieusement prévenir les vols d'identité, alors il lui faudra faire mieux que cela", affirme Adam Laurie. D'ici la fin de l'année, 75.000 de ces nouvelles cartes d'identité devraient être délivrées.

      http://www.menstyle.fr/lifestyle/hi_...e-piratee.aspx

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      • #4
        Les nouvelles cartes d'identité algériennes seront piratables : elles contiendront une puce RFID...
        Qu'ils commencent par pirater les cartes de recharge téléphoniques.
        Du n'importe quoi.
        ~~~~~~~

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        • #5

          La question fondamentale est : Que ciblent les hackers ? Quelle est leur visée ?
          Tu devrais observer ce qui se passe dans le monde :

          «En deux jours, un bon pirate informatique peut mettre la Suisse à terre ! »

          28.10.2009
          Le piratage du système informatique du DFAE (Département Fédéral des Affaires Etrangères), révélé lundi soir, est le signe inquiétant d’une faiblesse majeure. C’est la thèse de Sébastien Fanti, avocat et expert en protection des données

          Avocat à Sion, Sébastien Fanti s’est spécialisé dans les questions liées à la cybercriminalité. Il est membre de la Commission d’évaluation de l’Office fédéral de la justice. Questions

          Le Temps: le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) admettait lundi avoir été victime d’une attaque informatique. Ce n’est pas la première fois: il y a eu un précédent en 2007…

          Sébastien Fanti: ce genre d’attaque est plus fréquent encore dans l’administration fédérale, mais lorsqu’ils le peuvent, les départements font en sorte que la chose ne s’ébruite pas. Ils ne veulent pas susciter l’inquiétude.

          Y a-t-il des raisons de s’inquiéter?

          Oui! L’administration fédérale souffre d’un problème endémique. Elle n’a pas encore réalisé que la protection des systèmes est un enjeu stratégique. Lorsqu’il s’agit de choisir un logiciel de sécurité, il faut pouvoir agir vite. Or, on se heurte encore à de lourdes procédures d’attribution des marchés. D’autre part, il faudrait pouvoir recruter, à Berne, les meilleurs informaticiens du marché. Mais ces derniers sont mieux payés ailleurs…

          Si demain, je décide de pirater le système informatique de l’armée suisse, comment puis-je m’y prendre?

          Actuellement, sur le marché, on trouve très facilement des hackers qui vous piratent une adresse mail pour 2000 francs: satisfait ou remboursé. En tant qu’avocat, je me suis vu proposer d’entrer dans le système de messagerie de la partie adverse… «Craquer» le système d’un Département fédéral demande quelques compétences supplémentaires, mais c’est tout à fait possible. Je dirais qu’en deux jours, un bon pirate informatique peut mettre la Suisse à terre. Pas forcément d’ailleurs en piratant le système de l’armée: il suffirait d’attaquer la bourse, le barrage de la grande Dixence, ou une centrale nucléaire. Une tentative de ce genre a eu lieu aux Etats-Unis.

          Justement: la chancellerie allemande, le département d’Etat américain, plusieurs ministères en Grande Bretagne ont déjà fait l’objet d’attaques informatiques. A croire que les hackers ont toujours une longueur d’avance sur les systèmes de sécurité. La bataille contre la cybercriminalité n’est-elle pas perdue d’avance?

          Non, à condition d’y mettre les moyens. Les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont pris des décisions en ce sens récemment. Ils s’emploient notamment à recruter la crème des informaticiens. Ce que vous dites des hackers est juste: certains mercenaires auront toujours une longueur d’avance sur les systèmes de sécurité. C’est pourquoi, pour lutter contre le piratage, les Américains vont carrément chercher les meilleurs hackers du monde. Ils les poussent à la collaboration en leur offrant l’impunité. Ceux qui travaillent pour l’armée sont formés à l’académie militaire de West Point… Par comparaison, quand j’entends que l’armée suisse a dépensé plus de 700 millions pour des logiciels non compatibles entre eux, ça me fait froid dans le dos.

          En matière de lutte contre la piraterie informatique, on dirait que les hommes sont plus importants que le matériel?

          Il existe, bien entendu, un matériel de sécurisation informatique de plus en plus performant. Mais là aussi, il y a des choix stratégiques à faire. Le logiciel le plus sûr est celui qui aura été développé spécifiquement pour tel ou tel département ou entreprise. Et pas un produit payant acheté tout fait à un géant de l’informatique.

          Et l’administration fédérale ne fait pas les bons choix stratégiques?

          Il y a encore, à Berne, trop d’ignorance en la matière. Si je devais investir dans une guerre aujourd’hui, je n’investirais pas dans le matériel militaire, mais dans l’informatique: je ne crois pas que nos gouvernants aient pris conscience de l’enjeu. N’importe quel petit Etat peut aujourd’hui partir en guerre contre des pays bien plus riches et puissants. Il lui suffit de recruter 500 hackers de pointe.

          Dans le cas qui nous occupe, vous pensez à la Libye?

          C’est une hypothèse plausible. Tout le monde y pense, sans le dire.

          Source: Journal Suisse Le Temps
          http://www.spreadthetruth.fr/?p=4735
          Dernière modification par choucha, 01 novembre 2009, 05h43.

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          • #6
            mais franchement qui va pirater une carte ou passeport algerien
            non fait arreter de se comparer aux britanniques
            y a pas d'erreurs; y a ce qu'on fait, et y a ce qu'on fait pas

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            • #7

              35 ingénieurs algériens envoyés pour une formation aux USA: Un aller sans retour ?

              4 octobre, 2009 Posté dans Confidences

              En perspective de la mise en oeuvre de la loi sur la cybercriminalité adoptée en juin dernier par les “parlementaires”, le ministère algérien des Affaires étrangères a envoyé récemment 35 ingénieurs en informatique aux États-Unis d'Amérique pour une formation dans la sécurisation des sites Internet. Selon une source informée, la plupart de ces stagiaires ont décidé de ne pas revenir en Algérie après avoir eu des propositions de recrutement par des sociétés américaines.
              El Mouhtarem

              http://ffs1963.**********/tag/confidences/

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              • #8
                le ministère algérien des Affaires étrangères a envoyé récemment 35 ingénieurs en informatique aux États-Unis d'Amérique pour une formation dans la sécurisation des sites Internet. Selon une source informée, la plupart de ces stagiaires ont décidé de ne pas revenir en Algérie après avoir eu des propositions de recrutement par des sociétés américaines.
                des ingénieurs qui ne maitrisent même pas les techniques onlines security soluitions et qui se font payer un stage aux USA pour se faire recruter par des sociétés américaines? C'est la blague !

                Il aurait été plus intéliigent, plus efficace et moins cher si on leur avait fait ramené des professionels pour les initier sur place au Bled!

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                • #9
                  >>>En deux jours, un bon pirate informatique peut mettre la Suisse à terre !

                  Ce n'est pas raisonnable si cette exagération est réaliste, avant de mettre à terre la suisse il peut proposer d'abord à la confédrération un marché = une somme d'argent équivalente à la valeur de son acte avec une remise de 20 % contre "ne rien faire".

                  Pirater un système informatique voudrait dire que ce dernier souffre de failles connues ou inconnues, le travail du hacker nécessite donc d'abord à se pencher sur les failles de sa victime tout en se gardant bien de ne pas être pris la main dans le sac...en 2 jours il sera probablement entrain de siroter un café en face de deux trois inspecteurs hélvétiques dont le rôle est de le cuisiner non pas au sujet de sa tentative mais sur les réelles motivations qui l'ont poussé à le faire.

                  S'agissant de l'algérie le pirate risque de crever avant de réussir sa tentative. Il faut qu'il se mette au travail très jeune pour pirater un système raccordé au réseau public IP. Avec un débit proche de zéro, c'est son petit fils qui finira la tentative de hacking.

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