La bombe iranienne créerait un état de psychose permanente en Israël, ce qui pousserait de nombreux Israéliens à quitter le pays, en quête de sécurité et de paix.
Le Proche-Orient —éternel «homme malade»— court le risque d’une nouvelle conflagration : le bombardement par Israël ou les Etats-Unis, peut-être même les deux à la fois, des installations nucléaires d’Iran. Si l’on en croit le «Sunday Times» qui rapporte l’information de son correspondant sur place, le décor est déjà planté et la date d’exécution fixée : ce sera fin mars 2006, c’est-à-dire dans trois mois, suite aux élections législatives dans l’Etat hébreu.
Information ou intox ? Le chef de l’Etat-major israélien, le général Dan Halouz, a écarté une opération militaire «à court terme», mais il ne l’a pas formellement exclue : «Je ne pense pas qu’une intervention militaire contre les installations nucléaires de l’Iran soit nécessaire à court terme», a-t-il déclaré à la radio israélienne. «Aucune menace ne pèse contre l’existence d’Israël aussi longtemps que l’Iran ne dispose pas de l’arme nucléaire», a-t-il ajouté. «Ils (les Iraniens) sont décidés à se doter de cette arme, mais s’ils y parviennent, nous ne serons pas les seuls à être visés, et nous devrons alors envisager de nous défendre», a ajouté le général.
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